Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
+12
cana
stana
mikomasr
_Jean Cérien
Bulle
orthon7
Lulu
Ling
dedale
M'enfin
Bean
_nawel
16 participants
Page 1 sur 19
Page 1 sur 19 • 1, 2, 3 ... 10 ... 19
Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Le but de la science est louable, ce qui peut être dangereux est l'interprétation métaphysique, spéculée, qui aurait pour conséquence le concept de sélection naturelle. Ceux qui transformeraient la vérité en vérité métaphysique ou anthropologique.
Maintenant, puisque le forum s'y prête, le mécanisme moteur de l'évolution des espèces est à mon sens conditionnée par l'environnement et d'autres facteurs.
J'imagine donc que l'homme tel qu'il était à une époque très lointaine était de même couleur et donc de même race, même hérédité, ayant le même phénotype. L'environnement, éléments biotiques ou abiotiques, facteurs de l'écosystème ont dû influencer sur la biocénose de ces humains.
Le premier homme/grand singe a été découvert (homo habilis) il y a 2.4 à 1.6 millions d'années, en Afrique, au Tchad, les théories précédentes placaient l'origine de la lignée humaine d'abord en Asie et Europe.
Les crises climatiques ont eu raison de cette lignée, la suite voir le net...
Mais quoi qu'il en soit, la similitude de certains traits d'être humains me laissent à penser que :
les inuits ont dû migrer vers la Chine et le Japon et la mongolie, de petite taille ils le seraient restés, leurs traits presque similaires.
A mon sens, les conditions climatiques de l'Afrique et la biodiversité présente sous un nombre considérable de formes et de modes de vie différents résultant de l'adaptation des espèces ont conditionné les hommes aux contraintes qui les entourent.
Se défendre, chasser pour s'alimenter, ont impliqué l'homme dans les relations qu'il a avec le biotope (désert aride, broussailles, savane, forêts).
Il y aurait mutation des gène dans le patrimoine héréditaire, la sexualité assurant un brassage des gènes en constante entre individus génétiquement différents. Afrique noire vers Afrique du Nord.
L'homme aurait étendu son territoire à l'ensemble de la planète, la biosphère.
L'homme africain a développé son squelette pour s'adapter, la sélection naturelle a donc favorisé la mutation. Les meilleurs athlètes sont noirs en général. Le triceps sural et le mollet chez le Noir africain serait plus prononcé.
L'inuit, yeux bridés, pour lutter contre le froid, les mutations génétiques se répandant dans la population pour lui conférer les avantages sélectifs particuliers. Ce serait la dérive génétique d'adaptation.
Quant aux pays nordiques, leur blondeur et couleur d'yeux clairs laissent à penser à une dégénérescence de la pigmentation suite au manque de soleil.
Il y a la spéciation allopatrique lorsque une espèce se sépare en deux populations isolées d'un point de vue reproducteur et s'éloignent génétiquement par la suite et si elles se retrouvent en contact, elles reproduisent entre elles et deux nouvelles espèces apparaissent.
Il y a la spéciation parapatrique lorsqu'une espèce est soumise à l'environnement selon l'aire géographique. La sélection naturelle conduit ces populations de l'espèce à se séparer génétiquement lorsqu'elles s'adaptent à l'habitat.
Il y a la spéciation sympatrique lorsque la sélection favorise fortement différentes adaptations à un environnement similaire au sein d'une même espèce.
Maintenant, puisque le forum s'y prête, le mécanisme moteur de l'évolution des espèces est à mon sens conditionnée par l'environnement et d'autres facteurs.
J'imagine donc que l'homme tel qu'il était à une époque très lointaine était de même couleur et donc de même race, même hérédité, ayant le même phénotype. L'environnement, éléments biotiques ou abiotiques, facteurs de l'écosystème ont dû influencer sur la biocénose de ces humains.
Le premier homme/grand singe a été découvert (homo habilis) il y a 2.4 à 1.6 millions d'années, en Afrique, au Tchad, les théories précédentes placaient l'origine de la lignée humaine d'abord en Asie et Europe.
Les crises climatiques ont eu raison de cette lignée, la suite voir le net...
Mais quoi qu'il en soit, la similitude de certains traits d'être humains me laissent à penser que :
les inuits ont dû migrer vers la Chine et le Japon et la mongolie, de petite taille ils le seraient restés, leurs traits presque similaires.
A mon sens, les conditions climatiques de l'Afrique et la biodiversité présente sous un nombre considérable de formes et de modes de vie différents résultant de l'adaptation des espèces ont conditionné les hommes aux contraintes qui les entourent.
Se défendre, chasser pour s'alimenter, ont impliqué l'homme dans les relations qu'il a avec le biotope (désert aride, broussailles, savane, forêts).
Il y aurait mutation des gène dans le patrimoine héréditaire, la sexualité assurant un brassage des gènes en constante entre individus génétiquement différents. Afrique noire vers Afrique du Nord.
L'homme aurait étendu son territoire à l'ensemble de la planète, la biosphère.
L'homme africain a développé son squelette pour s'adapter, la sélection naturelle a donc favorisé la mutation. Les meilleurs athlètes sont noirs en général. Le triceps sural et le mollet chez le Noir africain serait plus prononcé.
L'inuit, yeux bridés, pour lutter contre le froid, les mutations génétiques se répandant dans la population pour lui conférer les avantages sélectifs particuliers. Ce serait la dérive génétique d'adaptation.
Quant aux pays nordiques, leur blondeur et couleur d'yeux clairs laissent à penser à une dégénérescence de la pigmentation suite au manque de soleil.
Il y a la spéciation allopatrique lorsque une espèce se sépare en deux populations isolées d'un point de vue reproducteur et s'éloignent génétiquement par la suite et si elles se retrouvent en contact, elles reproduisent entre elles et deux nouvelles espèces apparaissent.
Il y a la spéciation parapatrique lorsqu'une espèce est soumise à l'environnement selon l'aire géographique. La sélection naturelle conduit ces populations de l'espèce à se séparer génétiquement lorsqu'elles s'adaptent à l'habitat.
Il y a la spéciation sympatrique lorsque la sélection favorise fortement différentes adaptations à un environnement similaire au sein d'une même espèce.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Il ne faut pas oublier les croisements possibles entre homo sapiens et néandertaliens:
le génome néandertalien pourrait représenter 5 % de celui des humains modernes.
Une étude de l'université de Chicago a permis d'identifier un gène lié à la croissance du cerveau qui aurait été transmis à l'homme par les Néandertaliens et qui est présent chez 70 % des humains actuels.
En 2013, une étude publiée dans le Journal of Biological Chemistry relate la découverte dans le génome de l'homme moderne européen d'un gène lié à l'immunité qui pourrait être issu du génome de l'homme de Néandertal. Cette découverte renforce l'hypothèse d'une hybridation entre les deux lignées humaines.
En 2014, l'étude du génome d'un Homo sapiens découvert à Kostenski, en Russie, et daté de 37 000 ans avant le présent, confirme encore le métissage et permet d'avancer une date à laquelle l'hybridation aurait eu lieu.
Il y eu probablement d'autres hybridations avec d'autres espèces du genre homo.
À partir d'un échantillon d'ADN microscopique prélevé sur un os vieux d'environ 80 000 ans, des chercheurs sont parvenus à décoder le génome de l'hominidé de Denisova, et à le comparer avec celui de ses proches cousins, les Néandertaliens et l'humain moderne. Leurs analyses, publiées en août 2012 dans la revue américaine Science, révèlent notamment que la diversité génétique était assez importante chez les Dénisoviens et qu'une partie non négligeable de leurs gènes a été transmise aux habitants actuels d'Asie du Sud-Est, en particulier aux Papous.
Article de Pour la science (2012)
le génome néandertalien pourrait représenter 5 % de celui des humains modernes.
Une étude de l'université de Chicago a permis d'identifier un gène lié à la croissance du cerveau qui aurait été transmis à l'homme par les Néandertaliens et qui est présent chez 70 % des humains actuels.
En 2013, une étude publiée dans le Journal of Biological Chemistry relate la découverte dans le génome de l'homme moderne européen d'un gène lié à l'immunité qui pourrait être issu du génome de l'homme de Néandertal. Cette découverte renforce l'hypothèse d'une hybridation entre les deux lignées humaines.
En 2014, l'étude du génome d'un Homo sapiens découvert à Kostenski, en Russie, et daté de 37 000 ans avant le présent, confirme encore le métissage et permet d'avancer une date à laquelle l'hybridation aurait eu lieu.
Il y eu probablement d'autres hybridations avec d'autres espèces du genre homo.
À partir d'un échantillon d'ADN microscopique prélevé sur un os vieux d'environ 80 000 ans, des chercheurs sont parvenus à décoder le génome de l'hominidé de Denisova, et à le comparer avec celui de ses proches cousins, les Néandertaliens et l'humain moderne. Leurs analyses, publiées en août 2012 dans la revue américaine Science, révèlent notamment que la diversité génétique était assez importante chez les Dénisoviens et qu'une partie non négligeable de leurs gènes a été transmise aux habitants actuels d'Asie du Sud-Est, en particulier aux Papous.
Article de Pour la science (2012)
Dernière édition par Bean le Mer 8 Avr 2015 - 12:57, édité 2 fois (Raison : référence documentaire du web)
Bean- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6964
Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Je ne vois pas où tu veux en venir Nawel. Veux-tu dire que tu trouves la théorie de l'évolution dangereuse?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
M'enfin a écrit:Je ne vois pas où tu veux en venir Nawel. Veux-tu dire que tu trouves la théorie de l'évolution dangereuse?
Non M'Enfin j'ai pris les devants
Je suppute, alors voilà...
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Ça n'explique pas pourquoi tu as posé cette question.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
nawel a écrit:Le but de la science est louable, ce qui peut être dangereux est l'interprétation métaphysique, spéculée, qui aurait pour conséquence le concept de sélection naturelle. Ceux qui transformeraient la vérité en vérité métaphysique ou anthropologique.
Ce qui est dangereux, c'est d'interpréter une théorie scientifique par le biais d'une idéologie, ou de justifier une idéologie avec des arguments scientifiques.
Par exemple, on prend la théorie de la sélection naturelle, on n'en décrypte que ce qui sert l'idéologie en question (la sélection naturelle, c'est le plus fort qui survit) et on en déduit que les plus faibles doivent crever pour que la race humaine s'épanouisse. De telles idéologies ont existé, et existent certainement toujours.
Cela peut conduire à des raisonnements catastrophiques qui n'ont plus aucun rapport avec ce que l'on observe dans la nature.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5839
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
@ dedale, il ne faut pas être pessimiste. La sélection naturelle est aussi signe d'évolution.
Quant à ce que je prétends, nul n'est obligé d'adhérer, c'est une idée comme une autre, et c'est ainsi que j'imagine que ce sont déterminées les races, en fonction du milieu naturel. Et tout être humain a sa caractéristique, aucun ne prévaut, tous se valent, mais j'ai une admiration pour les gens de race noire, leur adaptation au milieu naturel ont fait d'eux des gens au corps d'ébène très athlétique (j'aime beaucoup Denzel Washington )
Quant à ce que je prétends, nul n'est obligé d'adhérer, c'est une idée comme une autre, et c'est ainsi que j'imagine que ce sont déterminées les races, en fonction du milieu naturel. Et tout être humain a sa caractéristique, aucun ne prévaut, tous se valent, mais j'ai une admiration pour les gens de race noire, leur adaptation au milieu naturel ont fait d'eux des gens au corps d'ébène très athlétique (j'aime beaucoup Denzel Washington )
- dw:
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Si je comprends bien, c'est une question que tu poses aux croyants alors que tu l'es toi-même. Donc tu contestes la position des créationnistes, c'est ça?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
M'enfin a écrit:Si je comprends bien, c'est une question que tu poses aux croyants alors que tu l'es toi-même. Donc tu contestes la position des créationnistes, c'est ça?
Le but de la science est louable, ce qui peut être dangereux est l'interprétation métaphysique, spéculée, qui aurait pour conséquence le concept de sélection naturelle. Ceux qui transformeraient la vérité en vérité métaphysique ou anthropologique.
C'est un sujet un peu pointu du fait que je spécule sur l'origine des races, c'est la raison pour laquelle j'ai attribué ce titre pour prendre les devants, et j'ai bien fait, preuve en est Ce n'est nullement aux croyants que ce sujet s'adresserait, à tous, au sens large, mais le fait que je puisse "tourner autour d'une mutation génétique de l'homme à travers les âges, et le milieu naturel dans lequel il évoluait" te fait croire que je conteste la position des créationnistes, c'est exact.
Je crois nullement à travers ce que les autres croyants puissent croire ou penser, je serais dans ce domaine libre de ma propre pensée et j'avoue ne pas avoir pensé que :
"Le créationnisme désigne au sens large une doctrine d'ordre religieux ou philosophique selon laquelle un ou plusieurs êtres divins sont les créateurs de la vie, et qui s'oppose généralement à la théorie de l'évolution du vivant."wiki
En ce domaine, je fais ma propre expérience, comme tout un chacun, ma vision et les termes de ce type ne me sont pas familiers, pourquoi entrer dans une case ?
Maintenant, il est évident qu'il s'agit là de morphologie et nullement d'évolution de quelque autre ordre que ce soit, cette réflexion ne s'adressant qu'à cette restriction, je n'aborde pas le thème de la conscience que j'ai toutefois suggéré dans le sens où le chainon manquant représentait le moment précis où l'homme en a été doté (Adam et Eve) mais là, nous revenons à la croyance... et le sujet risque de tourner en rond et il s'agit là aussi d'une dangereuse interprétation métaphysique, idéologique
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Nous sommes de passage, et pour que le passage dure, mieux vaut ne pas nous accorder trop d'importance. C'est ce que nos découvertes scientifiques nous apprennent, mais que nous oublions trop facilement.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
@ M'enfin
Qui ne risque rien n'a rien
Qui ne risque rien n'a rien
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Le risque est excitant, et notre intelligence en a besoin.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Et pourtant Coluche disait:nawel a écrit:mais j'ai une admiration pour les gens de race noire, leur adaptation au milieu naturel ont fait d'eux des gens au corps d'ébène très athlétique (j'aime beaucoup Denzel Washington )
- dw:
Il vaut mieux être blanc et droit que Black et Decker.
Mais aussi:
Dieu a dit : il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes grands, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes beaux et il y aura des hommes moches, et tous seront égaux ; mais ça sera pas facile…
Et puis il a ajouté : il y en aura qui seront noirs, petits et moches et pour eux, ce sera très dur !
Bean- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6964
Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
@ Bean
Ou, ou tes sources
ahh tu tentes le Diable....copies colles
Ou, ou tes sources
ahh tu tentes le Diable....copies colles
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
En voila une source ...
Bean- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6964
Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Nawel a écrit:L'homme africain a développé son squelette pour s'adapter, la sélection naturelle a donc favorisé la mutation. Les meilleurs athlètes sont noirs en général. Le triceps sural et le mollet chez le Noir africain serait plus prononcé.
L'inuit, yeux bridés, pour lutter contre le froid, les mutations génétiques se répandant dans la population pour lui conférer les avantages sélectifs particuliers. Ce serait la dérive génétique d'adaptation.
et
Nawel a écrit:les inuits ont dû migrer vers la Chine et le Japon et la mongolie, de petite taille ils le seraient restés, leurs traits presque similaires.
Point 1: les migrations humaines se sont faites dans les sens. Des groupes quittaient l'Afrique, d'autres y revenaient.
Point 2: Les régions du sud asiatique ont été occupée avant les zones du grand nord. (donc la migration des Inuits...) et les yeux bridés ne sont pas propres aux peuples asiatiques. Beaucoup d'européens ont les yeux bridés.
Il y a beaucoup de "clichés" dans vos propos
Ling- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 21694
Localisation : .
Identité métaphysique : .
Humeur : .
Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Ling a écrit:Nawel a écrit:L'homme africain a développé son squelette pour s'adapter, la sélection naturelle a donc favorisé la mutation. Les meilleurs athlètes sont noirs en général. Le triceps sural et le mollet chez le Noir africain serait plus prononcé.
L'inuit, yeux bridés, pour lutter contre le froid, les mutations génétiques se répandant dans la population pour lui conférer les avantages sélectifs particuliers. Ce serait la dérive génétique d'adaptation.
etNawel a écrit:les inuits ont dû migrer vers la Chine et le Japon et la mongolie, de petite taille ils le seraient restés, leurs traits presque similaires.
Point 1: les migrations humaines se sont faites dans les sens. Des groupes quittaient l'Afrique, d'autres y revenaient.
Point 2: Les régions du sud asiatique ont été occupée avant les zones du grand nord. (donc la migration des Inuits...) et les yeux bridés ne sont pas propres aux peuples asiatiques. Beaucoup d'européens ont les yeux bridés.
Il y a beaucoup de "clichés" dans vos propos
Oui Ling d'où le titre, c'est un cliché, rien n'est scientifiquement prouvé, quant aux européens aux yeux bridés, un mélange d'ethnies certainement, il n'y a pas de secret, les eurasiens existent. La Russie elle, est peuplée de gens aux yeux bridés, la Mongolie n'étant pas loin, quant aux Turcs, y étant allée, les gens sont assez typés- type Russe blonds yeux bridés yeux clairs. Les pays frontaliers favorisent le brassage, mon mari italien est blond aux yeux bleus, Italie du Nord, (Venise) frontière avec la Yougoslavie.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Voir :
Lire plus sur : http://www.chine-informations.com/guide/yeux-brides_3934.html
Les cheveux blonds et les yeux bleus se sont développé sur les bords de la Baltique. Vous les retrouvez aussi loin que le moyen orient. Il ne s'agit pas d'une question de "pays frontaliers" qui sont une innovation récente à l'échelle de l'age de l'humanité.
Pareillement chez les Scandinaves ou les Samis, les Polonais, les Allemands, les Irlandais ou encore les Britanniques, soit des groupements ethniques européens qui présentent un remarquable penchant à posséder un épicanthus. De plus, l'on admet que dans la plupart des cas, l'épicanthus est bien plus présent chez les femmes et les enfants, même s'il est moins visible avec l'âge.
Lire plus sur : http://www.chine-informations.com/guide/yeux-brides_3934.html
Les cheveux blonds et les yeux bleus se sont développé sur les bords de la Baltique. Vous les retrouvez aussi loin que le moyen orient. Il ne s'agit pas d'une question de "pays frontaliers" qui sont une innovation récente à l'échelle de l'age de l'humanité.
Ling- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 21694
Localisation : .
Identité métaphysique : .
Humeur : .
Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
nawel a écrit:J'imagine donc que l'homme tel qu'il était à une époque très lointaine était de même couleur et donc de même race, même hérédité, ayant le même phénotype. L'environnement, éléments biotiques ou abiotiques, facteurs de l'écosystème ont dû influencer sur la biocénose de ces humains.
Faut préciser que le terme de "race" ne se réfère pas à une étude scientifique car il est établi sur des critères arbitraires (religion, nationalité, couleur de la peau, origine géographique…)
- Il y a l'.espèce humaine, composée d'une diversité de sous-groupes dont les critères sont principalement génétiques,
Le premier homme/grand singe a été découvert (homo habilis) il y a 2.4 à 1.6 millions d'années, en Afrique, au Tchad, les théories précédentes placaient l'origine de la lignée humaine d'abord en Asie et Europe.
Il y a environ 2 millions d'années, se produit un phénomène nouveau :
Dans le groupe dominant qui est celui des australopithèques, d'Afrique australe, composé d'au moins 6 à 7 sous-groupes, sinon plus, apparaît une mutation du gène FoxP2.
C'est le gène qui régit le langage articulé : Une véritable innovation dans la nature qui ouvre la porte à de nouvelles dispositions intellectuelles.
L'être humain développe alors un type de communication, d'échange d'informations, et de faculté de partage de la compréhension et donc de toute son organisation, qui va le projeter au-devant de la scène évolutive.
La mutation de ce gène vaut aussi bien une évolution des zones cérébrales qui régissent la pensée verbale que l'organe vocal qui va se transformer pour permettre une articulation de plus en plus aisée.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5839
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
URGENT merci de prêter attention s'il vous plait.
Le pain, les céréales et le blé( plus particulièrement car le plus répandu)et les maladies.(CELIAQUE et .CROHN.) et d'autres certainement mais celles ci sont déjà liées au Gluten.
L'industrialisation galopante nous prend pour des niais, et nous sommes confrontés à ces maladies car il faut produire à tout prix, et faire du bénéfice, tant pis pour les maladies, et je me demande pourquoi la recherche ne se penche pas sur ce problème d'une simplicité enfantine, après tout ce qui à lire sur le net, il est facile de se faire un avis.
L'industrie du PAIN du blé et des céréales en général et tous les dérivés (pates etc....)est une industrie mondialement florissante, alors, pourquoi trouver des remèdes à ces maladies, proposons un autre produit du SANS GLUTEN et le tour est joué, nous augmenterons notre chiffre d'affaires et c'est un effet de mode, tant pis pour ceux qui souffrent et qui meurent de surcroit.
Alors je boycotte le pain à dater de ce jour.
Le pain composé de blé lequel comprend de l'azote dans la jeune plante et beaucoup d'azote dans la graine, de l'amidon, donc très peu de matières non alibiles c'est à dire impropres à la consommation sauf si elles sont correctement séparées.
Le blé séjourne dans des silos, après avoir été lavé, mais il faut déjà qu'il soit bien lavé pour que l'azote et l'amidon soient bien distincts eu égard à ce qui est dit avant.
Le blé ayant naturellement de la levure, laquelle levure est un champignon unicellulaire qui provoque la fermentation des matières. Par conséquent, si le blé n'est pas sec, la fermentation s'opère déjà.
Mais le pain est aussi composé de gluten qui est un mélange de protéines combiné avec de l'amidon dans l'endosperme des céréales. Ces protéines sont indissolubles dans l'eau.
D'après une étude de l'usipa, la teneur en gluten aujourd'hui n'est pas plus importante qu'auparavant quant à la teneur en protéines se situe aujourd'hui en moyenne à 11.5 %.
Le métier de l'amidonnier consiste à extraire les constituants des céréales : l'amidon, les protéines, les fibres et les lipides (huile de germe), séparation physique par broyage tamisage centrifugation, après la levée du silo qui lui, d'après les photos ci-après, aurait les conséquences négatives de la condensation, le dit silo étant probablement fabriqués en aluminium au visuel de la photo,
il est cependant dit sur wikipédia :
Des greniers protohistoriques et fosses à grains jusqu'aux silos modernes, les groupes humains ont développé de nombreuses solutions pour la maîtrise des dangers inhérents à la conservation des céréales. Les écrits des ingénieurs militaires, les traités des agronomes latins, des hygiénistes ou des mécaniciens du XIXe siècle témoignent encore des efforts mis en œuvre pour améliorer les conditions de stockage. Parallèlement, si archéologues et ethnologues ont perçu l’importance des modes de conservation dans l’organisation des sociétés humaines, c’est aussi parce que la dimension sociale et économique de la technique est sous-jacente.
Si les modalités techniques ont varié avec les époques et les lieux, les enjeux sont toujours restés les mêmes et l’évolution technique a surtout permis une augmentation des capacités de st Tout grain stocké est susceptible de subir une dégradation de ses qualités technologiques, alimentaires et sanitaires. Dans ce paragraphe, on utilisera le terme de danger pour désigner, « tout agent biologique, chimique ou physique présent dans un aliment ou un état de cet aliment pouvant entraîner un effet néfaste sur la santé »N 1. Il s’agira notamment de bactéries, de virus, de parasites, de substances chimiques, de corps étrangers. Le danger concerne le consommateur, avec les conséquences en termes de santé publique, mais aussi le produit, en affectant sa valeur économique.
En matière de conservation des céréales, trois types de dangers sont couramment identifiés :
1. Les dangers physiques correspondant à la présence de corps étrangers
2. Les dangers chimiques : essentiellement présence de métaux lourds, de résidus d'insecticides et les dioxines
3. Les dangers biologiques : les insectes et acariens, les rongeurs et volatiles et/ou leurs traces macroscopiques, les moisissures, les mycotoxines, les salmonelles et le Bacillus cereus.
Les insectes
Les insectes engendrent une altération des grains et sont source de souillures et de contaminations : ce sont des vecteurs de germes. Malgré une lutte de plus en plus technique leur éradication semble impossible. Les contrats commerciaux stipulent que tout lot de grain doit être refusé si un seul insecte vivant y est repéré
La plupart des insectes des grains stockés appartiennent à deux ordres biologiques : les coléoptères et les lépidoptères. Les principaux insectes ravageurs sont :
• Les charançons : charançon du blé (Sitophilus granarius) et charançon du riz (Sitophilus oryzae). Les femelles attaquent les grains entiers et pondent leurs œufs à l'intérieur, puis les larves se développent dans l'amande de blé, d'orge, de maïs et de riz principalement. Les températures optimales de développement se situent entre 30 et 32 °C : dans ces conditions une nouvelle génération d'insectes apparaît en 24 à 26 jours. Les charançons sont les insectes contaminants du grain les plus résistants mais, en dessous de 12 °C, ils ne peuvent plus se reproduire. Un séjour de trois mois à une température de 5 °C entraîne la mort des adultes et de toutes les autres formes (œufs, nymphes et larves) : le maintien de températures froides constitue donc une protection naturelle efficace ;
• Les triboliums : Tribolium castaneum, Tribolium confusum (Tribolium brun de la farine). En France, on trouve cet insecte plutôt au sud de la Loire. Les triboliums se nourrissent de grains cassés. Leur température optimale de développement se situe entre 32,5 et 36 °C et la durée de leur cycle varie de 18 à 25 jours. C'est l'insecte prédateur des grains le plus prolifique avec en moyenne 400 à 600 œufs par femelle ;
• Les silvains (Oryzaephilus surinamensis) se nourrissent exclusivement de grains cassés de céréales. Leur température optimale de développement comprise entre 30 et 33 °C permet l'apparition d'une autre génération d'adultes en 20 jours. Ils ne peuvent plus se reproduire en dessous de 21 °C ;
• Les capucins des grains (Rhizopertha dominica) : présents surtout en régions méridionales, les capucins adultes font beaucoup plus de dégâts que leurs larves contrairement aux autres insectes. Les adultes se nourrissent de grains entiers de céréales qu'ils dégradent mécaniquement par frottement avant de les consommer. Ils peuvent se développer dans des grains très secs (jusqu'à 8 à 9 % d'humidité). La température optimale de développement est de 34 °C et à ce niveau, une nouvelle génération d'insecte apparaît en 25 jours. En dessous de 21 °C leur reproduction est impossible ;
• Les teignes. Plusieurs espèces sont susceptibles de se nourrir de grains de céréales à paille et de maïs, en s'attaquant au germe : teigne des fruits secs (Plodia interpunctella), teigne des grains (Nemapogon granella). La chenille trahit sa présence par un fil de soie ce qui, en cas de forte infestation, se manifeste par un enchevêtrement de fils blancs sur le dessus du tas de grain. À la température optimale de 30 °C, le cycle de développement ne dure que 23 jours et en dessous de 17 °C il n'y a plus de reproduction possible ;
• Les alucites : alucite des céréales (Sitotroga cereallela). La chenille infeste le stock (céréales à paille et surtout maïs) en se nourrissant du germe, puis de l'intérieur du grain. Les fortes attaques entraînent une perte de pouvoir germinatif et communiquent au grain une odeur de rance. Le cycle évolutif est au minimum de 20 jours à 35 °C et en dessous de 15 °C la reproduction est arrêtée ;
• Les psoques : les poux des livres ou Psocoptera sont des petits insectes de couleur blanchâtre. Du fait de leur petite taille, ils passent souvent inaperçus tant que leur population reste faible et leur action nuisible est plus liée à leur nombre qu'à leurs déprédations. Par contre si l'environnement leur est favorable, en particulier si l'humidité du grain est supérieure à 15 %, ils peuvent pulluler très rapidement, même à basse température. Ils s'alimentent de débris de grain et peuvent aussi s'attaquer au péricarpe ou au germe ;
• Les cryptolestes (Cryptolestes ferrugineus), le dermeste du grain (Trogoderma granarium), la cadelle (Tenebrioides mauritanicus)
Les résidus d'insecticides
On appelle insecticide toute substance utilisée pour lutter contre la présence ou le développement des insectes et acariens dans les grains stockés. Leur présence peut provenir des traitements réalisés en cours de culture (risque faible) et des traitements de désinsectisation réalisés en vue du stockage (risque beaucoup plus important). Leur toxicité peut poser problème lorsque leur teneur est élevée (supérieure voire très supérieure à la limite maximale règlementaire (LMR) définie par la réglementation car les LMR sont plus sévères que les limites toxicologiques)5. Seules certaines matières actives sont homologuées pour le traitement des céréales stockées dont trois sont actives sur les adultes : le pyrimiphos-méthyl, le deltaméthrine et le chlorpyriphos-méthyl. La perspective récente d'un abaissement des Limites Maximales de Résidus fait craindre une impasse technique pour la conservation des céréales en Europe avec un rejet potentiel de 15 à 20 % des tonnages de céréales importés du fait de leur non-conformité règlementaire.
À titre d'illustration des dangers, rappelons l'« affaire du pain maudit » de Pont-Saint-Esprit : l'intoxication par le dicyandiamide de méthylmercure, un produit contenu dans un fongicide (Panogen) utilisé pour la conservation des grains ayant servi à faire la farine a été évoquée comme une explication possible aux troubles de la population. La justice a retenu cette hypothèse mais cette piste a finalement été abandonnée à la suite d'une thèse en pharmacie soutenue en 1965.
Les oiseaux
Les dégâts occasionnés par les oiseaux sont d'ordre quantitatif, par prélèvement de grains, et surtout qualitatif, par dépôts de fientes, de plumes, de cadavres sur les grains ou de débris végétaux utilisés pour la construction de leur nids. Ils constituent donc des vecteurs de germes4. Leur présence est liée à un mauvais entretien des locaux et des abords extérieurs : en ce sens ils sont un indicateur des pratiques hygiéniques mises en œuvre dans l'installation de stockage.
Donc je suis consciente de l'urgence, l'industrialisation aujourd'hui n'est pas très alertée par les dangers que représentent les maladies de Céliaque et de crohn, j'essaye de vous transmettre ce message qui, j'espère sera pris au sérieux.
D'autre part, non seulement le pain a un levain naturel, il est rajouté de la levure de boulanger dite de boulanger fraiche avec une date de péremption !! Pate fraiche pressée distribuée en grande quantité, dans des camions qui doivent être réfrigérées, un bouillon de culture si cette levure n'est pas correctement utilisée en temps et heure.
Alors que les chimistes se penchent sur ce grave problème de maladie, dans mon entourage, plus d'une personne sont atteintes, et la mode "au bio" offre du sans gluten, offrons plutôt du vrai pain fait correctement car, sans dire aucune anerie, avons nous déjà souffert de cette maladie avant ?
silo
et
le levain est une levure naturelle, la levure étant un champignon >>> bactérie lactique des bactéries à Gram positif, anaérobies partiellement tolérantes à l'oxygène, ne produisant pas en général de spores, se présentant sous formes de coques ou de bâtonnets et capables de fermenter les sucres en acide lactique1. On les caractérise2 aussi par le faible contenu de leur ADN en paires de bases G-C guanine-cytosine (< 50 %) sauf pour les bifidobactéries qui ont un taux supérieur à 50 % de GC. Elles ont pour habitat de nombreux milieux naturels et accompagnent l'activité humaine en tant que bactéries de la flore commensale des muqueuses et de la flore alimentaire.
Suivant la classification taxonomique courante3, elles appartiennent au phylum Firmicutes, la classe Bacilli et à l'ordre Lactobacillales, comportant les familles suivantes : Aerococcaceae, Carnobacteriaceae, Enterococcaceae, Lactobacillaceae, Leuconostocaceae et Streptococcaceae. Les Bifidobacteriaceae (en) de l'ordre des Bifidobacteriales (en) sont aussi classées parmi les bactéries lactiques. Sa taille est de 45mm.
Il existe trois cent cinquante espèces de levures connues, regroupées en trente-neuf genres différents. La cellule de levure constitue à elle seule une véritable usine métabolitique miniaturisée.
Les levures sont capables de :
• dégrader les aliments qui se trouvent dans leur milieu de culture grâce à une gamme très étendue d'enzymes d'hydrolyse telle que des lipases, protéases, saccharases, lactases.
• effectuer toutes ou presque les synthèses dont elles ont besoin pour leur croissance.
La levure fraiche pressée utilisée est composé entre autres de :
Saccharomyces cerevisiae qui est un micro-organisme, mais La levure de boulangerie est composée de micro-organismes vivants, par conséquent c’est un produit périssable. Pour une meilleure conservation, elle doit être conservée en permanence aux conditions de froid indiquées sur l’emballage, où figure également une date d’utilisation optimale (DLUO).
La maladie cœliaque (parfois appelée cœliaquie ou intolérance au gluten ou sprue nostras, prononcée /seljak/), est une maladie auto-immune, caractérisée par une atrophie villositaire (destruction de la paroi de l'intestin grêle). Cette maladie est une intolérance permanente à différentes fractions protéiques du gluten contenues dans différents types de céréales telles que le blé (froment, épeautre, Kamut®), l'orge, le seigle et le triticale (hybride du blé et du seigle). Il en résulte une malabsorption de certains nutriments (vitamines, fer, calcium…), donc des carences alimentaires. Les personnes atteintes doivent suivre un régime strict sans gluten à vie. Aujourd'hui, aucun traitement médicamenteux n’existe.
maladie de celiaque
La maladie coeliaque reste encore peu connue et bien souvent peu diagnostiquée. On estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes en France mais 80 % à 90 % ne seraient pas diagnostiquées.
Je pense sincèrement que cette maladie est d'ordre protéique le gluten de la farine appartiennent à ce groupe, alors qu'il est officiellement dit qu'elle est simplement dû à une intolérance au Gluten !
Le pain, les céréales et le blé( plus particulièrement car le plus répandu)et les maladies.(CELIAQUE et .CROHN.) et d'autres certainement mais celles ci sont déjà liées au Gluten.
L'industrialisation galopante nous prend pour des niais, et nous sommes confrontés à ces maladies car il faut produire à tout prix, et faire du bénéfice, tant pis pour les maladies, et je me demande pourquoi la recherche ne se penche pas sur ce problème d'une simplicité enfantine, après tout ce qui à lire sur le net, il est facile de se faire un avis.
L'industrie du PAIN du blé et des céréales en général et tous les dérivés (pates etc....)est une industrie mondialement florissante, alors, pourquoi trouver des remèdes à ces maladies, proposons un autre produit du SANS GLUTEN et le tour est joué, nous augmenterons notre chiffre d'affaires et c'est un effet de mode, tant pis pour ceux qui souffrent et qui meurent de surcroit.
Alors je boycotte le pain à dater de ce jour.
Le pain composé de blé lequel comprend de l'azote dans la jeune plante et beaucoup d'azote dans la graine, de l'amidon, donc très peu de matières non alibiles c'est à dire impropres à la consommation sauf si elles sont correctement séparées.
Le blé séjourne dans des silos, après avoir été lavé, mais il faut déjà qu'il soit bien lavé pour que l'azote et l'amidon soient bien distincts eu égard à ce qui est dit avant.
Le blé ayant naturellement de la levure, laquelle levure est un champignon unicellulaire qui provoque la fermentation des matières. Par conséquent, si le blé n'est pas sec, la fermentation s'opère déjà.
Mais le pain est aussi composé de gluten qui est un mélange de protéines combiné avec de l'amidon dans l'endosperme des céréales. Ces protéines sont indissolubles dans l'eau.
D'après une étude de l'usipa, la teneur en gluten aujourd'hui n'est pas plus importante qu'auparavant quant à la teneur en protéines se situe aujourd'hui en moyenne à 11.5 %.
Le métier de l'amidonnier consiste à extraire les constituants des céréales : l'amidon, les protéines, les fibres et les lipides (huile de germe), séparation physique par broyage tamisage centrifugation, après la levée du silo qui lui, d'après les photos ci-après, aurait les conséquences négatives de la condensation, le dit silo étant probablement fabriqués en aluminium au visuel de la photo,
il est cependant dit sur wikipédia :
Des greniers protohistoriques et fosses à grains jusqu'aux silos modernes, les groupes humains ont développé de nombreuses solutions pour la maîtrise des dangers inhérents à la conservation des céréales. Les écrits des ingénieurs militaires, les traités des agronomes latins, des hygiénistes ou des mécaniciens du XIXe siècle témoignent encore des efforts mis en œuvre pour améliorer les conditions de stockage. Parallèlement, si archéologues et ethnologues ont perçu l’importance des modes de conservation dans l’organisation des sociétés humaines, c’est aussi parce que la dimension sociale et économique de la technique est sous-jacente.
Si les modalités techniques ont varié avec les époques et les lieux, les enjeux sont toujours restés les mêmes et l’évolution technique a surtout permis une augmentation des capacités de st Tout grain stocké est susceptible de subir une dégradation de ses qualités technologiques, alimentaires et sanitaires. Dans ce paragraphe, on utilisera le terme de danger pour désigner, « tout agent biologique, chimique ou physique présent dans un aliment ou un état de cet aliment pouvant entraîner un effet néfaste sur la santé »N 1. Il s’agira notamment de bactéries, de virus, de parasites, de substances chimiques, de corps étrangers. Le danger concerne le consommateur, avec les conséquences en termes de santé publique, mais aussi le produit, en affectant sa valeur économique.
En matière de conservation des céréales, trois types de dangers sont couramment identifiés :
1. Les dangers physiques correspondant à la présence de corps étrangers
2. Les dangers chimiques : essentiellement présence de métaux lourds, de résidus d'insecticides et les dioxines
3. Les dangers biologiques : les insectes et acariens, les rongeurs et volatiles et/ou leurs traces macroscopiques, les moisissures, les mycotoxines, les salmonelles et le Bacillus cereus.
Les insectes
Les insectes engendrent une altération des grains et sont source de souillures et de contaminations : ce sont des vecteurs de germes. Malgré une lutte de plus en plus technique leur éradication semble impossible. Les contrats commerciaux stipulent que tout lot de grain doit être refusé si un seul insecte vivant y est repéré
La plupart des insectes des grains stockés appartiennent à deux ordres biologiques : les coléoptères et les lépidoptères. Les principaux insectes ravageurs sont :
• Les charançons : charançon du blé (Sitophilus granarius) et charançon du riz (Sitophilus oryzae). Les femelles attaquent les grains entiers et pondent leurs œufs à l'intérieur, puis les larves se développent dans l'amande de blé, d'orge, de maïs et de riz principalement. Les températures optimales de développement se situent entre 30 et 32 °C : dans ces conditions une nouvelle génération d'insectes apparaît en 24 à 26 jours. Les charançons sont les insectes contaminants du grain les plus résistants mais, en dessous de 12 °C, ils ne peuvent plus se reproduire. Un séjour de trois mois à une température de 5 °C entraîne la mort des adultes et de toutes les autres formes (œufs, nymphes et larves) : le maintien de températures froides constitue donc une protection naturelle efficace ;
• Les triboliums : Tribolium castaneum, Tribolium confusum (Tribolium brun de la farine). En France, on trouve cet insecte plutôt au sud de la Loire. Les triboliums se nourrissent de grains cassés. Leur température optimale de développement se situe entre 32,5 et 36 °C et la durée de leur cycle varie de 18 à 25 jours. C'est l'insecte prédateur des grains le plus prolifique avec en moyenne 400 à 600 œufs par femelle ;
• Les silvains (Oryzaephilus surinamensis) se nourrissent exclusivement de grains cassés de céréales. Leur température optimale de développement comprise entre 30 et 33 °C permet l'apparition d'une autre génération d'adultes en 20 jours. Ils ne peuvent plus se reproduire en dessous de 21 °C ;
• Les capucins des grains (Rhizopertha dominica) : présents surtout en régions méridionales, les capucins adultes font beaucoup plus de dégâts que leurs larves contrairement aux autres insectes. Les adultes se nourrissent de grains entiers de céréales qu'ils dégradent mécaniquement par frottement avant de les consommer. Ils peuvent se développer dans des grains très secs (jusqu'à 8 à 9 % d'humidité). La température optimale de développement est de 34 °C et à ce niveau, une nouvelle génération d'insecte apparaît en 25 jours. En dessous de 21 °C leur reproduction est impossible ;
• Les teignes. Plusieurs espèces sont susceptibles de se nourrir de grains de céréales à paille et de maïs, en s'attaquant au germe : teigne des fruits secs (Plodia interpunctella), teigne des grains (Nemapogon granella). La chenille trahit sa présence par un fil de soie ce qui, en cas de forte infestation, se manifeste par un enchevêtrement de fils blancs sur le dessus du tas de grain. À la température optimale de 30 °C, le cycle de développement ne dure que 23 jours et en dessous de 17 °C il n'y a plus de reproduction possible ;
• Les alucites : alucite des céréales (Sitotroga cereallela). La chenille infeste le stock (céréales à paille et surtout maïs) en se nourrissant du germe, puis de l'intérieur du grain. Les fortes attaques entraînent une perte de pouvoir germinatif et communiquent au grain une odeur de rance. Le cycle évolutif est au minimum de 20 jours à 35 °C et en dessous de 15 °C la reproduction est arrêtée ;
• Les psoques : les poux des livres ou Psocoptera sont des petits insectes de couleur blanchâtre. Du fait de leur petite taille, ils passent souvent inaperçus tant que leur population reste faible et leur action nuisible est plus liée à leur nombre qu'à leurs déprédations. Par contre si l'environnement leur est favorable, en particulier si l'humidité du grain est supérieure à 15 %, ils peuvent pulluler très rapidement, même à basse température. Ils s'alimentent de débris de grain et peuvent aussi s'attaquer au péricarpe ou au germe ;
• Les cryptolestes (Cryptolestes ferrugineus), le dermeste du grain (Trogoderma granarium), la cadelle (Tenebrioides mauritanicus)
Les résidus d'insecticides
On appelle insecticide toute substance utilisée pour lutter contre la présence ou le développement des insectes et acariens dans les grains stockés. Leur présence peut provenir des traitements réalisés en cours de culture (risque faible) et des traitements de désinsectisation réalisés en vue du stockage (risque beaucoup plus important). Leur toxicité peut poser problème lorsque leur teneur est élevée (supérieure voire très supérieure à la limite maximale règlementaire (LMR) définie par la réglementation car les LMR sont plus sévères que les limites toxicologiques)5. Seules certaines matières actives sont homologuées pour le traitement des céréales stockées dont trois sont actives sur les adultes : le pyrimiphos-méthyl, le deltaméthrine et le chlorpyriphos-méthyl. La perspective récente d'un abaissement des Limites Maximales de Résidus fait craindre une impasse technique pour la conservation des céréales en Europe avec un rejet potentiel de 15 à 20 % des tonnages de céréales importés du fait de leur non-conformité règlementaire.
À titre d'illustration des dangers, rappelons l'« affaire du pain maudit » de Pont-Saint-Esprit : l'intoxication par le dicyandiamide de méthylmercure, un produit contenu dans un fongicide (Panogen) utilisé pour la conservation des grains ayant servi à faire la farine a été évoquée comme une explication possible aux troubles de la population. La justice a retenu cette hypothèse mais cette piste a finalement été abandonnée à la suite d'une thèse en pharmacie soutenue en 1965.
Les oiseaux
Les dégâts occasionnés par les oiseaux sont d'ordre quantitatif, par prélèvement de grains, et surtout qualitatif, par dépôts de fientes, de plumes, de cadavres sur les grains ou de débris végétaux utilisés pour la construction de leur nids. Ils constituent donc des vecteurs de germes4. Leur présence est liée à un mauvais entretien des locaux et des abords extérieurs : en ce sens ils sont un indicateur des pratiques hygiéniques mises en œuvre dans l'installation de stockage.
Donc je suis consciente de l'urgence, l'industrialisation aujourd'hui n'est pas très alertée par les dangers que représentent les maladies de Céliaque et de crohn, j'essaye de vous transmettre ce message qui, j'espère sera pris au sérieux.
D'autre part, non seulement le pain a un levain naturel, il est rajouté de la levure de boulanger dite de boulanger fraiche avec une date de péremption !! Pate fraiche pressée distribuée en grande quantité, dans des camions qui doivent être réfrigérées, un bouillon de culture si cette levure n'est pas correctement utilisée en temps et heure.
Alors que les chimistes se penchent sur ce grave problème de maladie, dans mon entourage, plus d'une personne sont atteintes, et la mode "au bio" offre du sans gluten, offrons plutôt du vrai pain fait correctement car, sans dire aucune anerie, avons nous déjà souffert de cette maladie avant ?
silo
et
le levain est une levure naturelle, la levure étant un champignon >>> bactérie lactique des bactéries à Gram positif, anaérobies partiellement tolérantes à l'oxygène, ne produisant pas en général de spores, se présentant sous formes de coques ou de bâtonnets et capables de fermenter les sucres en acide lactique1. On les caractérise2 aussi par le faible contenu de leur ADN en paires de bases G-C guanine-cytosine (< 50 %) sauf pour les bifidobactéries qui ont un taux supérieur à 50 % de GC. Elles ont pour habitat de nombreux milieux naturels et accompagnent l'activité humaine en tant que bactéries de la flore commensale des muqueuses et de la flore alimentaire.
Suivant la classification taxonomique courante3, elles appartiennent au phylum Firmicutes, la classe Bacilli et à l'ordre Lactobacillales, comportant les familles suivantes : Aerococcaceae, Carnobacteriaceae, Enterococcaceae, Lactobacillaceae, Leuconostocaceae et Streptococcaceae. Les Bifidobacteriaceae (en) de l'ordre des Bifidobacteriales (en) sont aussi classées parmi les bactéries lactiques. Sa taille est de 45mm.
Il existe trois cent cinquante espèces de levures connues, regroupées en trente-neuf genres différents. La cellule de levure constitue à elle seule une véritable usine métabolitique miniaturisée.
Les levures sont capables de :
• dégrader les aliments qui se trouvent dans leur milieu de culture grâce à une gamme très étendue d'enzymes d'hydrolyse telle que des lipases, protéases, saccharases, lactases.
• effectuer toutes ou presque les synthèses dont elles ont besoin pour leur croissance.
La levure fraiche pressée utilisée est composé entre autres de :
Saccharomyces cerevisiae qui est un micro-organisme, mais La levure de boulangerie est composée de micro-organismes vivants, par conséquent c’est un produit périssable. Pour une meilleure conservation, elle doit être conservée en permanence aux conditions de froid indiquées sur l’emballage, où figure également une date d’utilisation optimale (DLUO).
La maladie cœliaque (parfois appelée cœliaquie ou intolérance au gluten ou sprue nostras, prononcée /seljak/), est une maladie auto-immune, caractérisée par une atrophie villositaire (destruction de la paroi de l'intestin grêle). Cette maladie est une intolérance permanente à différentes fractions protéiques du gluten contenues dans différents types de céréales telles que le blé (froment, épeautre, Kamut®), l'orge, le seigle et le triticale (hybride du blé et du seigle). Il en résulte une malabsorption de certains nutriments (vitamines, fer, calcium…), donc des carences alimentaires. Les personnes atteintes doivent suivre un régime strict sans gluten à vie. Aujourd'hui, aucun traitement médicamenteux n’existe.
maladie de celiaque
La maladie coeliaque reste encore peu connue et bien souvent peu diagnostiquée. On estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes en France mais 80 % à 90 % ne seraient pas diagnostiquées.
Je pense sincèrement que cette maladie est d'ordre protéique le gluten de la farine appartiennent à ce groupe, alors qu'il est officiellement dit qu'elle est simplement dû à une intolérance au Gluten !
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Je voudrais rajouter plusieurs choses :
- C'est un post dédié aux spéculations scientifiques, en l'occurrence, en ce domaine je n'ai pas vraiment de connaissance, mais la liste surement non exhaustive des problèmes liés au céréales, en particulier la maladie de céliaque, m'a laissé pantoise, et je n'ai pas hésité à vous en faire part.
Il est dit sur le net qu'elle serait héréditaire et uniquement qu'elle serait à une intolérance au gluten
Maintenant, avons nous du recul pour nous fier à l'hérédité ? J'en doute... Mais si tel est le cas, ce serait une maladie dite génétique (et auto-immune), donc le processus aurait été bien engendré pour que cette maladie soit si fréquente aujourd'hui par la voie des gènes.
Sur le net : Les maladies auto-immunes sont fréquentes sont héréditaires, car les familles partagent les mêmes gênes et le même environnement .
Certaines études laissent entendre qu'entre 10 et 50 millions de personnes sont atteintes d'une maladie auto-immune aux États-Unis. On ne connaît pas précisément la nature de leur étiologie, mais on a démontré que la susceptibilité génétique d'un individu et les facteurs environnementaux sont tous deux en cause.
Il y a toujours une explication à toutes choses, et là encore je reste coi et ne vais pas me taire pour autant
Alors les Mac Do et autres, et toute l'industrialisation qui pourtant fait l'objet d'un service "qualité" (quoique la viande n'a pas été très adéquat récemment) alors le pain, je me pose ces questions, ne pourrais t on pas se remettre un peu en question ?
C'est une supputation mais il faut quand même réfléchir un peu à tout, car où sont les Empires ? Et que vont devenir nos enfants qui s'offrent un mac do toutes les deux secondes ?
Le gluten est un élément naturel puisque il s'agit de la fraction protéique insoluble du grain c'est-à-dire la substance azotée visqueuse, obtenue par lixiviation (lavage par l'eau) d'une pâte de farine panifiable.
Pourquoi un élément naturel s'opposerait à notre organisme si ce ne sont d'autres facteurs dont la liste est longue qui entreraient en ligne de compte ?
- A savoir d'autre part que le monde entier serait touché sauf les pays asiatiques qui ne mangent pas de pain mais du riz et les pays africains également qui le seraient moins, pareillement la denrée est déjà rare, le pain n'est pas un aliment très courant. Les pays caucasiens, l'Europe et l'Amérique du Nord seraient touchées, ne pas s'étonner avec les méga restaurants rapides qui servent des petits sandwiches avec une tranche de viande au centre, et quelques tomates et autres ingrédients.
Ce marché est très important, et florissant et l'américain est bien friand ainsi que bien d'autres habitants de la planète de toutes ces choses là.
Une vérité scientifique pourrait être dangereuse, j'ai été inspirée car ce sujet je ne l'ai pensé réellement qu'après en avoir traité un autre, et il était destiné au premier sujet, et ainsi prendre cette phrase dans son sens objectif et non plus subjectif.
- C'est un post dédié aux spéculations scientifiques, en l'occurrence, en ce domaine je n'ai pas vraiment de connaissance, mais la liste surement non exhaustive des problèmes liés au céréales, en particulier la maladie de céliaque, m'a laissé pantoise, et je n'ai pas hésité à vous en faire part.
Il est dit sur le net qu'elle serait héréditaire et uniquement qu'elle serait à une intolérance au gluten
Maintenant, avons nous du recul pour nous fier à l'hérédité ? J'en doute... Mais si tel est le cas, ce serait une maladie dite génétique (et auto-immune), donc le processus aurait été bien engendré pour que cette maladie soit si fréquente aujourd'hui par la voie des gènes.
Sur le net : Les maladies auto-immunes sont fréquentes sont héréditaires, car les familles partagent les mêmes gênes et le même environnement .
Certaines études laissent entendre qu'entre 10 et 50 millions de personnes sont atteintes d'une maladie auto-immune aux États-Unis. On ne connaît pas précisément la nature de leur étiologie, mais on a démontré que la susceptibilité génétique d'un individu et les facteurs environnementaux sont tous deux en cause.
Il y a toujours une explication à toutes choses, et là encore je reste coi et ne vais pas me taire pour autant
Alors les Mac Do et autres, et toute l'industrialisation qui pourtant fait l'objet d'un service "qualité" (quoique la viande n'a pas été très adéquat récemment) alors le pain, je me pose ces questions, ne pourrais t on pas se remettre un peu en question ?
C'est une supputation mais il faut quand même réfléchir un peu à tout, car où sont les Empires ? Et que vont devenir nos enfants qui s'offrent un mac do toutes les deux secondes ?
Le gluten est un élément naturel puisque il s'agit de la fraction protéique insoluble du grain c'est-à-dire la substance azotée visqueuse, obtenue par lixiviation (lavage par l'eau) d'une pâte de farine panifiable.
Pourquoi un élément naturel s'opposerait à notre organisme si ce ne sont d'autres facteurs dont la liste est longue qui entreraient en ligne de compte ?
- A savoir d'autre part que le monde entier serait touché sauf les pays asiatiques qui ne mangent pas de pain mais du riz et les pays africains également qui le seraient moins, pareillement la denrée est déjà rare, le pain n'est pas un aliment très courant. Les pays caucasiens, l'Europe et l'Amérique du Nord seraient touchées, ne pas s'étonner avec les méga restaurants rapides qui servent des petits sandwiches avec une tranche de viande au centre, et quelques tomates et autres ingrédients.
Ce marché est très important, et florissant et l'américain est bien friand ainsi que bien d'autres habitants de la planète de toutes ces choses là.
Une vérité scientifique pourrait être dangereuse, j'ai été inspirée car ce sujet je ne l'ai pensé réellement qu'après en avoir traité un autre, et il était destiné au premier sujet, et ainsi prendre cette phrase dans son sens objectif et non plus subjectif.
Dernière édition par nawel le Jeu 9 Avr 2015 - 21:14, édité 1 fois
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
En recherche, le danger, c'est de sauter les étapes. On peut très bien imaginer pouvoir voler comme un oiseau, et on peut essayer de le faire en se fabricant des ailes, mais il ne faut pas se jeter en bas du pont avant de s'être jeté en bas d'une chaise. Quand ça risque de faire mal, il faut y aller progressivement quoi!
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
M'enfin, j'ai entendu dire dans ce forum que même si des sujets scientifiques étaient traités par Les Scientifiques, il était toujours utile de supputer d'autres arguments, et je suis entièrement d'accord et n'ai pas eu l'occasion de le dire. Ainsi les étapes sont largement sautées
Maintenant, quand quelque chose se présente, et que la première étage que j'envisage est déjà sauté comment veux tu que je puisse en sauter ? Et quel danger cela peut il représenter ?
Il y a une évidence qui pour moi me parait (évidente) mais apparemment je ne recueille pas les suffrages.
Voler comme un oiseau ? Quelle gloire pourrais en tirer ? Je suis anonyme et même pas scientifique !!
Quelles ailes fabriquer ? Quand vous parlez de l'espace/temps vous supputez un peu tout et n'importe quoi, ainsi que moi quoi qu'il en soit, et dès qu'un sujet sérieux pointe, je fais comme Icare ?
Il est certain que quand ça risque de faire mal, il faut y aller progressivement mais, en l'occurrence, quel risque représente d'en parler ? De mourir ou laisser mourir nos descendants, tout bonnement.
Alors moi les discours des "ça existe mais on ne sait pas vraiment comment et pourquoi" ça ne me convient nullement, car, je sais qu'à la clef, il y a beaucoup d'intérêt.
Ici nous ne sommes pas là pour "changer le monde" mais débattre sur des sujets qui sont susceptibles de nous intéresser, s'il n'y a aucun intérêt, bien les choses en resteront là et l'avenir nous le dira.
peut être....
Maintenant, quand quelque chose se présente, et que la première étage que j'envisage est déjà sauté comment veux tu que je puisse en sauter ? Et quel danger cela peut il représenter ?
Il y a une évidence qui pour moi me parait (évidente) mais apparemment je ne recueille pas les suffrages.
Voler comme un oiseau ? Quelle gloire pourrais en tirer ? Je suis anonyme et même pas scientifique !!
Quelles ailes fabriquer ? Quand vous parlez de l'espace/temps vous supputez un peu tout et n'importe quoi, ainsi que moi quoi qu'il en soit, et dès qu'un sujet sérieux pointe, je fais comme Icare ?
Il est certain que quand ça risque de faire mal, il faut y aller progressivement mais, en l'occurrence, quel risque représente d'en parler ? De mourir ou laisser mourir nos descendants, tout bonnement.
Alors moi les discours des "ça existe mais on ne sait pas vraiment comment et pourquoi" ça ne me convient nullement, car, je sais qu'à la clef, il y a beaucoup d'intérêt.
Ici nous ne sommes pas là pour "changer le monde" mais débattre sur des sujets qui sont susceptibles de nous intéresser, s'il n'y a aucun intérêt, bien les choses en resteront là et l'avenir nous le dira.
peut être....
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Visiblement, on n'est pas sur la même longueur d'onde nous deux. Tu subjectivises ce que je te dis, alors que moi j'objectivise ce que tu dis. Je ne pensais pas du tout à toi quand je disais qu'il ne fallait pas sauter les étapes, et tu m'as répondu comme si ça s'adressait principalement à toi.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
M'enfin a écrit:Visiblement, on n'est pas sur la même longueur d'onde nous deux. Tu subjectivises ce que je te dis, alors que moi j'objectivise ce que tu dis. Je ne pensais pas du tout à toi quand je disais qu'il ne fallait pas sauter les étapes, et tu m'as répondu comme si ça s'adressait principalement à toi.
En fait M'Enfin je le sais....enfin je m'en doutais.....j'espérais toutefois quelque chose d'un peu plus "concret" que la subjectivité dont tu as fait preuve
mais je suis un peu hors de moi désolée (ce sujet me tenant à cœur), j'ai voulu argumenter, profiter de ton intervention, excuses moi stp, pour étayer encore et je vais le faire plus loin encore.
car ta phrase est quelque peu ambiguë
M'enfin a écrit:En recherche, le danger, c'est de sauter les étapes. On peut très bien imaginer pouvoir voler comme un oiseau, et on peut essayer de le faire en se fabricant des ailes, mais il ne faut pas se jeter en bas du pont avant de s'être jeté en bas d'une chaise. Quand ça risque de faire mal, il faut y aller progressivement quoi! "
qu'entends tu alors par "sauter les étapes" et le reste..... j'avoue que je ne saisis pas ta métaphore....
- Spoiler:
- Les conséquences des protéïnes de stockage, les villosités intestinales des structures (replis de la muqueuse et du tissu conjonctif sous-jacent) de l'intestin grêle entrainent l'amplification des processus d'absorption par augmentation de la surface intestinale et donc du nombre de cellules. Ce sont des replis de la paroi intestinale dont la finesse permet aux nutriments de passer facilement vers le sang.
Un facteur de risque, ma tante qui a la maladie de Céliaque est grande consommatrice de viande, charcuterie car étant limité par le choix des aliments du fait qu'elle sélectionne rigoureusement tout ce qu'elle achète pour éviter tout gluten, aussi bien dans la composition d'un simple plat cuisiné ou d'une boite de conserve (elle lit systématiquement tout ce qui est indiqué sur l'emballage) elle ingère ainsi beaucoup de protéines, quoi qu'il en soit cela ne changera rien du fait qu'elle est malade d'ores et déjà.
Mais elle fut toujours une grande consommatrice de viande et la famille est sujette au cancer du colon. Donc il y a hérédité, les membres de ma famille est ainsi touchée par ce code génétique défavorisant.
Similitude entre le cancer du colon et la maladie de céliaque.
Cancer du colon : toxines des protéines animales
Cancer qui se forme dans les tissus de l'intestin grêle (partie du tube digestif située entre l'estomac et le gros intestin). Son type le plus courant est l'adénocarcinome (cancer qui débute dans les cellules qui produisent et libèrent le mucus ainsi que d'autres fluides). Les autres types de cancers de l'intestin grêle incluent le sarcome (cancer qui apparaît dans les tissus conjonctifs ou de soutien), les tumeurs carcinoïdes (un type de cancer à croissance lente), les tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST, un type de sarcome des tissus mous) et le lymphome (cancer qui apparaît dans les cellules du système immunitaire).
céliaque : probabilité de toxines des protéines animales issues des insectes (charançons etc..), rongeurs, volatiles....
Jusqu'à un tiers des maladies cœliaques répondent de manière imparfaite au régime. Il faut dans ce cas réévaluer soigneusement le diagnostic et traquer les entorses au régime prescrit. Cependant, même en cas de régime fait de manière rigoureuse avec un diagnostic bien établi, 5 % des patients n'ont pas d'amélioration de leurs signes. On parle alors de « maladie cœliaque réfractaire ». Dans un certain nombre de cas, il existe une prolifération de lymphocytes dans l'épithélium digestif avec une évolution possible vers un lymphome. Un traitement par corticoïdes peut être efficace à court terme. D'autres médicaments ont été essayés avec un succès variable : infliximab43, auto-greffe de moelle44… Le pronostic de cette forme proliférative reste cependant sombre avec une survie inférieure à 5 ans42.
La maladie des céliaque deviendrait un cancer puisque lymphome : Un lymphome ou cancer des ganglions est un cancer du système lymphatique qui se développe aux dépens des lymphocytes. Il est caractérisé par des proliférations cellulaires malignes (ou cancers) dans les organes lymphoïdes secondaires.
- Spoiler:
- gastro entérites très aigues. La chimie a démontré qu'il se produisait dans le farines altérées un véritable poison occasionnant cette affection. L'altération des farines peut venir de plusieurs causes, soit de la manière dont s'est formé le grain, comme dans le seigle ergoté, par exemple ; soit par des matières délétères mêlées au grain ; soit enfin par les farines qui, abandonnées à elles-mêmes, se sont avariées en subissant un commencement de fermentation. Dans ces cas là, l'estomac soumis longtemps à des aliments chargés de principes délétères, devient malade, plus ou moins longtemps après, selon le degré de susceptibilité de cet organe
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Page 1 sur 19 • 1, 2, 3 ... 10 ... 19
Sujets similaires
» La science peut-elle être utile à la religion? Et vice versa?
» Étre agnostique , être déiste : quelqu´un peut-il m´expliquer ?
» Une vérité ne peut en contredire une autre
» La vérité est-elle toujours bonne à dire ?
» La vérité est-elle toujours bonne à dire ?
» Étre agnostique , être déiste : quelqu´un peut-il m´expliquer ?
» Une vérité ne peut en contredire une autre
» La vérité est-elle toujours bonne à dire ?
» La vérité est-elle toujours bonne à dire ?
Page 1 sur 19
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum