Des paroles.... selon votre humeur.
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Je sens que Stana va abandonner le satanisme pour devenir beaniste
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Tu crois ?
Bean- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
J'aime bien Bean, et puis j'adore "le vrai", le personnage interprèté par Rowan Atkinson, je trouve ses films hillarants, il faudra que je me les repasse un de ces jours^^
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Je n'ai a priori aucune affinité avec le satanisme mais j'apprécie beaucoup les goûts, les échanges d'idées et les conversations de Stana.
Pour moi, c'est une bien gentille sataniste et une belle personne aux vues de ce qu'elle laisse transparaître de sa personnalité et de ses sentiments.
Seulement, concernant Rowan Atkinson, le personnage de Bean (que j'apprécie beaucoup également) est très peu verbal, cela ne convient donc pas au sujet de ce fil.
Bean- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Enfin, j'ai trouvé ça, les paroles sont réduites à:
halelujah
halelujah
Bean- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Ma raison somnolait
Ma conscience me conseillait
Mon subconscient me déconseillait
Mais mon esprit veut s'envoler
Stop, repose à tes mômes
De quoi tu me parle?
Mâche un peu tes mots
T'es parano
Manipulé par un autre
Qui te laisse croire
Que le monde est noir
Mais trop tard
Perdu dans un brouillard
T'es parano
Manipulé par un autre
Tu n'es que l'ombre de toi-même
Ta raison se déchire
Tu défie tes désirs
Laisse-toi tombé, retire ces chaînes
Qui te freines, qui te freines
Stop, je tisse des liens, j'en perds le fil
Batis ma vie, construis dans le vide
Les gens me disent "l'espoir fait vivre"
Comment me faire vivre, je suis un zombie
Stop, calme un peu les choses
Là tu réalise que tout n'est pas si rose
T'es parano
Manipulé par un autre
Tu n'es pas si différent des autres
T'as commis des fautes
Chacun ses défauts
T'es parano
Manipulé par un autre
Tu n'es que l'ombre de toi-même
Ta raison se déchire
Tu défie tes désirs
Laisse-toi tomber, retire ces chaînes
Qui te freines, qui te freines
Stop, je tisse des liens
J'en perds le fil
Batis ma vie, construit dans le vide
Les gens me disent "l'espoir fait vivre"
Comment me faire vivre, je suis un zombie
Ma raison somnolait
Ma conscience me conseillait
Mon subconscient me déconseillait
Mais mon esprit veut s'envoler
Ma conscience me conseillait
Mon subconscient me déconseillait
Mais mon esprit veut s'envoler
Stop, repose à tes mômes
De quoi tu me parle?
Mâche un peu tes mots
T'es parano
Manipulé par un autre
Qui te laisse croire
Que le monde est noir
Mais trop tard
Perdu dans un brouillard
T'es parano
Manipulé par un autre
Tu n'es que l'ombre de toi-même
Ta raison se déchire
Tu défie tes désirs
Laisse-toi tombé, retire ces chaînes
Qui te freines, qui te freines
Stop, je tisse des liens, j'en perds le fil
Batis ma vie, construis dans le vide
Les gens me disent "l'espoir fait vivre"
Comment me faire vivre, je suis un zombie
Stop, calme un peu les choses
Là tu réalise que tout n'est pas si rose
T'es parano
Manipulé par un autre
Tu n'es pas si différent des autres
T'as commis des fautes
Chacun ses défauts
T'es parano
Manipulé par un autre
Tu n'es que l'ombre de toi-même
Ta raison se déchire
Tu défie tes désirs
Laisse-toi tomber, retire ces chaînes
Qui te freines, qui te freines
Stop, je tisse des liens
J'en perds le fil
Batis ma vie, construit dans le vide
Les gens me disent "l'espoir fait vivre"
Comment me faire vivre, je suis un zombie
Ma raison somnolait
Ma conscience me conseillait
Mon subconscient me déconseillait
Mais mon esprit veut s'envoler
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Merci beaucoup Bean, très drôle comme toujoursBean a écrit:Enfin, j'ai trouvé ça, les paroles sont réduites à:
halelujah
J'espère qu'un jour il tournera un nouveau film.
Merci pour le compliment, je peux te dire la même chose
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
A 20 ans, elle a peur
A 30 ans, elle a peur
A 40, à 50
Et ils se noient dans les pleurs
La peur de faire la gueule
La peur de sourire
D'un côté, la peur de vivre
De l'autre, la peur de mourir
Vivre dans ce monde
Est devenu insupportable
S'en sortir avec les honneurs
Est devenu insurmontable
Et puis, le soir à table
C'est la potence à 20H
Ca viole, ça tue
Ca vole en bas de ta rue
La misère se rapproche
La haine frappe à ta porte
Tellement peur de tout
Voilà qu'on tremble
Peur de la montée
Tellement peur de la descente
Peur de la vérité
Qu'on préfère qu'ils nous mentent
On sais de quoi ils sont capables
Et peur de savoir ce qu'ils veulent
La peur de vivre en couple
Et la peur de finir seul
Je te parle de toi, de lui, de nous
Raconte de vive voix
Comment parfois nos cœurs se nouent
La peur de perdre son temps
Son argent et son emploi
La peur de perdre sa femme
Ses enfants et puis son toit
De perdre la figure
Et peur de perdre son amour-propre
Peur de perdre pas grand chose
Parce-qu'on n'a pas grand chose
La peur d'être touché
En pleine intimité
A force de vivre couché
On en perds sa dignité
Et c'est toujours la même peur
Incisive, acèrée
Et à force d'avoir peur
On finit par accepté
Accepter que par le monde
Des enfants soient maltraités
Que les cartons de nos télés
Soient les lits des délaissés
Accepter que dans les livres
Ils trafiquent notre Histoire
C'est leur fonctionnement
Leur mode opèratoire
Les maladies qu'ils élaborent
Dans leurs laboratoires
Les puces dans les passeports
Les vaccins obligatoires
Et quand l'or noir est en jeu
Le G8 joue les arbitres
Et les semblants de présidents
Qu'ils mettent au pouvoir en Afrique
Accepter de vivre
Complètement robotisés
Que même l'indépendance
Soit colonisée
Accepter de survivre
Dettes sur dettes
Et les murs qu'on érigent dans nos têtes
C'est nos souffrances que l'on baillonne
Les libertés se privatisent
L'indifférence qui rayonne
Avec elle rien ne rivalise
Et si c'est ça être normal
Vivre toujours pressés
Sous antidépresseurs
Stressés par l'oppresseur
C'est ça être normal
Moi, je prèfère ma folie
Si c'est ça être normal
Vivre à l'agonie
Alors c'est ça, hein
Un quotidien d'alcoolique
Redeviens animal
Et fume pour supporter la vie
Mon ètat est stationnaire
Mon amour irrationnel
Ma folie est passagère
De moins en moins occasionnelle
Un œil sur le monde
Un autre vers le ciel
Mais elle n'est pas préméditée
Mon ècriture est passionnelle
Ils vous diront que je suis fou
Que je crache sur la thune
Que je vais finir sous les ponts
Entre la mer et l'amertume
Ils vous diront que je suis fou
Qu'ils connaissent mes lacunes
Que je ne traîne que dans la rue
Que j'ai niqué mes études
Ils vous diront que je suis fou
Que je regarde que la pub
Que je vais finir comme un loup
Rongé par la solitude
Mais laissez-moi devenir fou
Je marche sous la lune
L'ècriture est un combat
Moi j'y ai laissé des plumes
Et si j'avance, suivez-moi
Si je recule, tuez-moi
Si je meurs, vengez-moi
Si je suis fou, enfermez-moi
Si je suis fou, arrêtez-moi
Parce-que je ne m'arrêterai pas
J'ai peut-être perdu la tête
Mas je n'ai pas perdu la foi
Ce soir, devant la barre
Pas besoin de témoins
Je ne descends pas du singe
Moi, je descends de chez moi
Et je ne suis qu'un homme
Lancé en pleine course
Si je suis fou, alors nous le sommes tous
Ils racontent que je suis fou
Que je ferais mieux de me taire
Que je ne sais pas tout
Que rien ne peux me satisfaire
Que dehors c'est l'été
Mais je vois bien que c'est l'hiver
Que la Terre tourne à l'envers
A l'endroit, à l'enfer
De toute façon, c'est comme ça
Je ne pourrai rien y faire
A 30 ans, elle a peur
A 40, à 50
Et ils se noient dans les pleurs
La peur de faire la gueule
La peur de sourire
D'un côté, la peur de vivre
De l'autre, la peur de mourir
Vivre dans ce monde
Est devenu insupportable
S'en sortir avec les honneurs
Est devenu insurmontable
Et puis, le soir à table
C'est la potence à 20H
Ca viole, ça tue
Ca vole en bas de ta rue
La misère se rapproche
La haine frappe à ta porte
Tellement peur de tout
Voilà qu'on tremble
Peur de la montée
Tellement peur de la descente
Peur de la vérité
Qu'on préfère qu'ils nous mentent
On sais de quoi ils sont capables
Et peur de savoir ce qu'ils veulent
La peur de vivre en couple
Et la peur de finir seul
Je te parle de toi, de lui, de nous
Raconte de vive voix
Comment parfois nos cœurs se nouent
La peur de perdre son temps
Son argent et son emploi
La peur de perdre sa femme
Ses enfants et puis son toit
De perdre la figure
Et peur de perdre son amour-propre
Peur de perdre pas grand chose
Parce-qu'on n'a pas grand chose
La peur d'être touché
En pleine intimité
A force de vivre couché
On en perds sa dignité
Et c'est toujours la même peur
Incisive, acèrée
Et à force d'avoir peur
On finit par accepté
Accepter que par le monde
Des enfants soient maltraités
Que les cartons de nos télés
Soient les lits des délaissés
Accepter que dans les livres
Ils trafiquent notre Histoire
C'est leur fonctionnement
Leur mode opèratoire
Les maladies qu'ils élaborent
Dans leurs laboratoires
Les puces dans les passeports
Les vaccins obligatoires
Et quand l'or noir est en jeu
Le G8 joue les arbitres
Et les semblants de présidents
Qu'ils mettent au pouvoir en Afrique
Accepter de vivre
Complètement robotisés
Que même l'indépendance
Soit colonisée
Accepter de survivre
Dettes sur dettes
Et les murs qu'on érigent dans nos têtes
C'est nos souffrances que l'on baillonne
Les libertés se privatisent
L'indifférence qui rayonne
Avec elle rien ne rivalise
Et si c'est ça être normal
Vivre toujours pressés
Sous antidépresseurs
Stressés par l'oppresseur
C'est ça être normal
Moi, je prèfère ma folie
Si c'est ça être normal
Vivre à l'agonie
Alors c'est ça, hein
Un quotidien d'alcoolique
Redeviens animal
Et fume pour supporter la vie
Mon ètat est stationnaire
Mon amour irrationnel
Ma folie est passagère
De moins en moins occasionnelle
Un œil sur le monde
Un autre vers le ciel
Mais elle n'est pas préméditée
Mon ècriture est passionnelle
Ils vous diront que je suis fou
Que je crache sur la thune
Que je vais finir sous les ponts
Entre la mer et l'amertume
Ils vous diront que je suis fou
Qu'ils connaissent mes lacunes
Que je ne traîne que dans la rue
Que j'ai niqué mes études
Ils vous diront que je suis fou
Que je regarde que la pub
Que je vais finir comme un loup
Rongé par la solitude
Mais laissez-moi devenir fou
Je marche sous la lune
L'ècriture est un combat
Moi j'y ai laissé des plumes
Et si j'avance, suivez-moi
Si je recule, tuez-moi
Si je meurs, vengez-moi
Si je suis fou, enfermez-moi
Si je suis fou, arrêtez-moi
Parce-que je ne m'arrêterai pas
J'ai peut-être perdu la tête
Mas je n'ai pas perdu la foi
Ce soir, devant la barre
Pas besoin de témoins
Je ne descends pas du singe
Moi, je descends de chez moi
Et je ne suis qu'un homme
Lancé en pleine course
Si je suis fou, alors nous le sommes tous
Ils racontent que je suis fou
Que je ferais mieux de me taire
Que je ne sais pas tout
Que rien ne peux me satisfaire
Que dehors c'est l'été
Mais je vois bien que c'est l'hiver
Que la Terre tourne à l'envers
A l'endroit, à l'enfer
De toute façon, c'est comme ça
Je ne pourrai rien y faire
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Merci, Stana, pour cette chanson. Le texte et très parlant et me touche particulièrement.
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Merci Magnus je me retrouve beaucoup dans ce texte, bien qu'il ai été écrit au masculin lol de même que dans la manière passionnée dont il est interprèté. Oui c'est très parlant en effet, ravie que ça te plaise
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Et une petite dernière de Mylène Farmer puisque j'y reviens toujours
Pauvres poupées
Qui vont qui viennent (Allan, Allan)
Pauvres fantômes
Etranges et blêmes (Allan, Allan)
J'entends ton chant monotone
La nuit frissonne (Allan, Allan)
J'entends ton cœur fatigué
D'avoir aimé (Allan, Allan)
D'étranges rêveries comptent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D'étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre
L'étrange goût de mort
S'offre mon corps
Saoule mon âme jusqu'à l'aurore
L'étrange Ligeia renaît en moi
De tout mon être je viens vers toi
Masque blafard
Tu meurs ce soir (Allan, Allan)
Masque empourpré
De sang séché (Allan, Allan)
D'où vient ta peur du néant
Tes pleurs d'enfants (Allan, Allan)
Qui sont les larmes
De tes tourments? (Allan, Allan)
D'étranges rêveries comptent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D'étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre
L'étrange goût de mort
S'offre mon corps
Saoule mon âme jusqu'à l'aurore
L'étrange Ligeia renait en moi
De tout mon être je viens vers toi
Pauvres poupées
Qui vont qui viennent (Allan, Allan)
Pauvres fantômes
Etranges et blêmes (Allan, Allan)
J'entends ton chant monotone
La nuit frissonne (Allan, Allan)
J'entends ton cœur fatigué
D'avoir aimé (Allan, Allan)
D'étranges rêveries comptent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D'étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre
L'étrange goût de mort
S'offre mon corps
Saoule mon âme jusqu'à l'aurore
L'étrange Ligeia renaît en moi
De tout mon être je viens vers toi
Masque blafard
Tu meurs ce soir (Allan, Allan)
Masque empourpré
De sang séché (Allan, Allan)
D'où vient ta peur du néant
Tes pleurs d'enfants (Allan, Allan)
Qui sont les larmes
De tes tourments? (Allan, Allan)
D'étranges rêveries comptent mes nuits
D'un long voyage où rien ne vit
D'étranges visions couvrent mon front
Tout semble revêtu d'une ombre
L'étrange goût de mort
S'offre mon corps
Saoule mon âme jusqu'à l'aurore
L'étrange Ligeia renait en moi
De tout mon être je viens vers toi
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
L'onde est si calme
Un présage d'automne
Là, la peur s'engage
Sur mon visage
Le doute frissonne
Suis-je faite pour les rêves
D'une voix faible
Dis-moi de ne plus être
A l'ombre
Risquer de n'être personne
On se cache et on se cogne
A l'ombre
On se coupe de sois-même
On s'arrache un signe au ciel
A l'ombre
Sans se dire que l'on se lâche
Que rien ni personne ne sache
Quand la nuit tombe
Las de cette vie trop brève
On devient l'ombre de sois-même
L'âme est la lumière
Mais l'âme ère
Sur tous les chemins
Mon cœur se ferme
Le diable harcèle
Nos lendemain
Et là sous les érables
Le froid se cabre
Mais toi dis-moi
De ne pas être
A l'ombre
Risquer de n'être personne
On se cache et on se cogne
A l'ombre
On se coupe de sois-même
On s'arrache un signe au ciel
A l'ombre
Et sans dire que l'on se lâche
Que rien ni personne ne sache
Quand la nuit tombe
Las de cette vie trop brève
On devient l'ombre de sois-même
Un présage d'automne
Là, la peur s'engage
Sur mon visage
Le doute frissonne
Suis-je faite pour les rêves
D'une voix faible
Dis-moi de ne plus être
A l'ombre
Risquer de n'être personne
On se cache et on se cogne
A l'ombre
On se coupe de sois-même
On s'arrache un signe au ciel
A l'ombre
Sans se dire que l'on se lâche
Que rien ni personne ne sache
Quand la nuit tombe
Las de cette vie trop brève
On devient l'ombre de sois-même
L'âme est la lumière
Mais l'âme ère
Sur tous les chemins
Mon cœur se ferme
Le diable harcèle
Nos lendemain
Et là sous les érables
Le froid se cabre
Mais toi dis-moi
De ne pas être
A l'ombre
Risquer de n'être personne
On se cache et on se cogne
A l'ombre
On se coupe de sois-même
On s'arrache un signe au ciel
A l'ombre
Et sans dire que l'on se lâche
Que rien ni personne ne sache
Quand la nuit tombe
Las de cette vie trop brève
On devient l'ombre de sois-même
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
J'ai fais mon bout de chemin, baba
J'suis peu bavard
J'me pose et puis j'observe
Mon bout de chemin, baba
J'suis peu bavard
J'me pose et puis j'observe
C'est bientôt la fin du monde, mais le monde s'en fout
Le monde, lui, veux faire des lovés, autant que dans le foot
Certains seront sûrement sauvés, mais moi, j'sais pas
Trop de péchés exposés, ouais rien que j'dérape
Tu veux que je te raconte ma story, ces moments maudits
Où l'Sheitan est le seul spectateur qui applaudit?
Eh bah non, j'peux pas me plaindre, mon compte il est blindé
Mon savoir est une arme qui ne cesse de tout flinguer
Mais la vie c'est pas le rap, même si je rappe ma vie
Un mal fou à être présent parce-que le monde vas vite
Les petits frères sont timbrés, ne cessent de se flinguer
Les commlissaires, eux, prennent plaisir à les épingler
Et quand à nos sistas, rien qu'on assiste à
Des auto-destructions, des femmes tristes
Pimpées, bimbos, pour séduire les gringos
Akhi, les gens sont prets à tout pour remplir le frigo
Je te dis que je suis:
Spectateur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte, si j'pouvais, réélement j'la referais
Spectateur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte
*
Parce-que maman se lève tôt, et mes ennemis me testent
Et entre nous, dans le ghetto, j'ai pus constater qu'on se blesse
Oui, j'ai au-dessus de ma tête l'épée de Damoclès
Oui, certes, on s'fait la guerre
Mais c'est pour avoir l'âme en paix
Spectateur d'un monde en péril
Où la paix a signé un contrat d'interim
Où devenir un homme saint, c'est puéril
J'ai cherché la tranquillité, putain, c'est un périple
Témoin de leurs débats, ils nous trouvent incultes
Khouya, je suis venu, j'ai vu, j'ai été vaincu
On a tous vu des choses qui traumatisent
Les soirs d'hiver glacial, j'peux dire que le métro m'attriste
Des fois, les larmes coulent, c'est automatique
C'est peut-être la saison, ou alors, c'est trop la crise
J'ai vu cet homme seul, sale, qui pue la tise
Seul, saoul, ça l'saoul plus, y a que son fils qui l'soutient
J'ai vu la solitude de cet homme, qui jadis était un leader fort et dur
Spectateur fatigué, on s'est trop tiré les cheveux
Donc, à force, on encaisse, on prèfère fermer les yeux
Spectateur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte, si j'pouvais, réélement j'la ref'erais
Spectaeur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte
Tout c'que j'ai vu
M'a démontré qu'les p'tits frères seront perdus
J'ai vu qu'le mal se propage et puis perdure
P't'être dur et lâche
J'vois qu'on est perdus, perdus, perdus, hélas
J'suis peu bavard
J'me pose et puis j'observe
Mon bout de chemin, baba
J'suis peu bavard
J'me pose et puis j'observe
C'est bientôt la fin du monde, mais le monde s'en fout
Le monde, lui, veux faire des lovés, autant que dans le foot
Certains seront sûrement sauvés, mais moi, j'sais pas
Trop de péchés exposés, ouais rien que j'dérape
Tu veux que je te raconte ma story, ces moments maudits
Où l'Sheitan est le seul spectateur qui applaudit?
Eh bah non, j'peux pas me plaindre, mon compte il est blindé
Mon savoir est une arme qui ne cesse de tout flinguer
Mais la vie c'est pas le rap, même si je rappe ma vie
Un mal fou à être présent parce-que le monde vas vite
Les petits frères sont timbrés, ne cessent de se flinguer
Les commlissaires, eux, prennent plaisir à les épingler
Et quand à nos sistas, rien qu'on assiste à
Des auto-destructions, des femmes tristes
Pimpées, bimbos, pour séduire les gringos
Akhi, les gens sont prets à tout pour remplir le frigo
Je te dis que je suis:
Spectateur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte, si j'pouvais, réélement j'la referais
Spectateur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte
*
Parce-que maman se lève tôt, et mes ennemis me testent
Et entre nous, dans le ghetto, j'ai pus constater qu'on se blesse
Oui, j'ai au-dessus de ma tête l'épée de Damoclès
Oui, certes, on s'fait la guerre
Mais c'est pour avoir l'âme en paix
Spectateur d'un monde en péril
Où la paix a signé un contrat d'interim
Où devenir un homme saint, c'est puéril
J'ai cherché la tranquillité, putain, c'est un périple
Témoin de leurs débats, ils nous trouvent incultes
Khouya, je suis venu, j'ai vu, j'ai été vaincu
On a tous vu des choses qui traumatisent
Les soirs d'hiver glacial, j'peux dire que le métro m'attriste
Des fois, les larmes coulent, c'est automatique
C'est peut-être la saison, ou alors, c'est trop la crise
J'ai vu cet homme seul, sale, qui pue la tise
Seul, saoul, ça l'saoul plus, y a que son fils qui l'soutient
J'ai vu la solitude de cet homme, qui jadis était un leader fort et dur
Spectateur fatigué, on s'est trop tiré les cheveux
Donc, à force, on encaisse, on prèfère fermer les yeux
Spectateur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte, si j'pouvais, réélement j'la ref'erais
Spectaeur d'un film gore et je t'avoue que la suite m'effraie
Spectateur d'une vie trop courte
Tout c'que j'ai vu
M'a démontré qu'les p'tits frères seront perdus
J'ai vu qu'le mal se propage et puis perdure
P't'être dur et lâche
J'vois qu'on est perdus, perdus, perdus, hélas
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Il y a un petit côté "Blanche-Neige"
Miroir, dis-moi qui est le plus beau
Quitte à devenir mégalo
Viens donc chatouiller mon ego
Allez, allez, allez
Laisse-moi entrer dans ta matrice
Goûter à tes délices
Personne ne peux m'en dissuader
Allez, allez, allez
Je ferai tout pour t'accompagner
Tellement je suis borné
Je suis bien dans ma bulle
Allez, allez, allez
Tout est beau, tout est rose
Tans que je l'impose
Dis-moi qui est le plus beau
Allez, allez, allez
Miroir, qu'as-tu donc fait de ma tête
Cette transformation malhonnête
Ce n'est pas ce que j'ai demandé
Allez, allez, allez
Le buzz n'était que factice
Je ne suis plus dans la matrice
Il n'y a plus personne pour en parler
Allez, allez, allez
Je ferai tout pour récupèrer
Ce que je suis en train de gâcher
Enfin sorti de ma bulle
Allez, allez, allez
Tout est beau, tout est rose
Avant que mon ego s'impose
J'ai fini de te regarder
Allez, allez, allez
EGO, EGO...
Miroir, dis-moi qui est le plus beau
Quitte à devenir mégalo
Viens donc chatouiller mon ego
Allez, allez, allez
Laisse-moi entrer dans ta matrice
Goûter à tes délices
Personne ne peux m'en dissuader
Allez, allez, allez
Je ferai tout pour t'accompagner
Tellement je suis borné
Je suis bien dans ma bulle
Allez, allez, allez
Tout est beau, tout est rose
Tans que je l'impose
Dis-moi qui est le plus beau
Allez, allez, allez
Miroir, qu'as-tu donc fait de ma tête
Cette transformation malhonnête
Ce n'est pas ce que j'ai demandé
Allez, allez, allez
Le buzz n'était que factice
Je ne suis plus dans la matrice
Il n'y a plus personne pour en parler
Allez, allez, allez
Je ferai tout pour récupèrer
Ce que je suis en train de gâcher
Enfin sorti de ma bulle
Allez, allez, allez
Tout est beau, tout est rose
Avant que mon ego s'impose
J'ai fini de te regarder
Allez, allez, allez
EGO, EGO...
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Le 24 juin c’est la fête nationale des québécois. Un peuple qui se bat pour vivre en français. Voici les paroles d’une chanson de Michel Rivard qui représente bien se que nous sommes:
LE COEUR DE MA VIE
paroles et musique: Michel Rivard
C'est la langue qui court dans les rues de ma ville
Comme une chanson d'amour aux refrains malhabiles
Elle est fière et rebelle, et se blesse souvent
Sur les murs des gratte-ciels, contre les tours d'argent
Elle n'est pas toujours belle on la malmène un peu
C'est pas toujours facile d'être seul au milieu
D'un continent immense où ils règlent le jeu
Où ils mènent la danse, où ils sont si nombreux
Elle n'est pas toujours belle mais vivante elle se bat
En mémoire fidèle de nos mots de nos voix
De nos éclats de rire, et de colère aussi
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
On la parle tout bas aux moments de tendresse
Elle a des mots si doux qu'ils se fondent aux carresses
Mais quand il faut crier qu'on est là, qu'on existe
Elle a le son qui mord, et les mots qui résistent
Refrain
C'est une langue de France aux accents d'Amérique
Elle déjoue le silence à grands coups de musique
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
Il faut pour la défendre la parler de son mieux
Il faut la faire entendre, faut la secouer un peu
Il faut la faire aimer à ces gens près de nous
Qui se croient menacés de nous savoir debout
Il faut la faire aimer à ces gens de partout
Venus trouver chez-nous un goût de liberté
Elle a les mots qu'il faut pour nommer le pays
Pour qu'on parle de lui, qu'on le chante tout haut
Refrain
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
LE COEUR DE MA VIE
paroles et musique: Michel Rivard
C'est la langue qui court dans les rues de ma ville
Comme une chanson d'amour aux refrains malhabiles
Elle est fière et rebelle, et se blesse souvent
Sur les murs des gratte-ciels, contre les tours d'argent
Elle n'est pas toujours belle on la malmène un peu
C'est pas toujours facile d'être seul au milieu
D'un continent immense où ils règlent le jeu
Où ils mènent la danse, où ils sont si nombreux
Elle n'est pas toujours belle mais vivante elle se bat
En mémoire fidèle de nos mots de nos voix
De nos éclats de rire, et de colère aussi
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
On la parle tout bas aux moments de tendresse
Elle a des mots si doux qu'ils se fondent aux carresses
Mais quand il faut crier qu'on est là, qu'on existe
Elle a le son qui mord, et les mots qui résistent
Refrain
C'est une langue de France aux accents d'Amérique
Elle déjoue le silence à grands coups de musique
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
Il faut pour la défendre la parler de son mieux
Il faut la faire entendre, faut la secouer un peu
Il faut la faire aimer à ces gens près de nous
Qui se croient menacés de nous savoir debout
Il faut la faire aimer à ces gens de partout
Venus trouver chez-nous un goût de liberté
Elle a les mots qu'il faut pour nommer le pays
Pour qu'on parle de lui, qu'on le chante tout haut
Refrain
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Que jamais elle ne meurt, que jamais on ne l'oublie
C'est la langue de mon coeur et le coeur de ma vie
Nailsmith- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1675
Localisation : Québec,Canada
Identité métaphysique : Chrétien lucide
Humeur : Égale
Date d'inscription : 06/01/2011
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Des paroles.... selon votre humeur.
Mes amis, entendez la vie que j'ai eue
Où les gens m'attendaient, je n'suis pas venu
Si je les emmèle, si je dérange
C'est qu'je suis un pêle-mêle, un mélange
J'suis trop compliqué, je n'choisirai jamais
Que les deux côté, ne me demandez pas
Où je veux aller, même les singes singent les sages
Et tous ces singes ont fait des cases où tous nous ranger
Si je vous gêne, ben c'est la même
Si je vous gêne, ben c'est la même
On prends des boîtes, on y range des gens, qu'au fond jamais,
jamais l'on ne comprends
Et comme l'Homme est fait de mille boîtes
Aucune de ces boîtes n'est assez grande
J'ai suivi mille chemins, serré dix-mille mains
On peux aimer Brel et Meugui
Aimer même nos ennemis
J'suis trop compliqué, je n'rentrerai jamais
Dans vos petites cases, je vis au jour le jour
Alors je zigzague, toujours avec ces lunettes noires
J'entends les gens se demander
"Quand est-ce-que tombe le masque?"
Si je vous gêne, ben c'est la même
Si je vous gêne, ben c'est la même
T'es entré dans ma vie, ô ma liberté chérie
La vie c'est des envies, l'envie avant les avis
Où les gens m'attendaient, je n'suis pas venu
Si je les emmèle, si je dérange
C'est qu'je suis un pêle-mêle, un mélange
J'suis trop compliqué, je n'choisirai jamais
Que les deux côté, ne me demandez pas
Où je veux aller, même les singes singent les sages
Et tous ces singes ont fait des cases où tous nous ranger
Si je vous gêne, ben c'est la même
Si je vous gêne, ben c'est la même
On prends des boîtes, on y range des gens, qu'au fond jamais,
jamais l'on ne comprends
Et comme l'Homme est fait de mille boîtes
Aucune de ces boîtes n'est assez grande
J'ai suivi mille chemins, serré dix-mille mains
On peux aimer Brel et Meugui
Aimer même nos ennemis
J'suis trop compliqué, je n'rentrerai jamais
Dans vos petites cases, je vis au jour le jour
Alors je zigzague, toujours avec ces lunettes noires
J'entends les gens se demander
"Quand est-ce-que tombe le masque?"
Si je vous gêne, ben c'est la même
Si je vous gêne, ben c'est la même
T'es entré dans ma vie, ô ma liberté chérie
La vie c'est des envies, l'envie avant les avis
stana- Seigneur de la Métaphysique
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