Une omission est-elle un mensonge ?
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Une omission fait-elle mentir le sujet ?
Une omission est-elle un mensonge ?
Coucou!
Une omission est-elle un mensonge ? (Une question qui me trotte dans la tête en ce moment - mieux vaut tard que jamais.)
A priori, ne pas dire est différent de dire faux.
-Je suppose que cela dépend de si on en est conscient (de l'omission), ou pas - étant donné les deux sens de ce substantif.
Mais alors ?
-En base de données, il est important d'avoir conscience (justement) que l'on met dans la base nos croyances au sujet du monde réel.
Ca semble confirmer.
Par contre, une perte d'information(s) reste une perte d'information(s). Un système peut perdre sa cohérence à cause d'une perte.
Alors:
Est-il possible de mentir (par omission) de facto, i. e.: même si on n'en est pas conscient ?
A priori, ne pas dire est différent de dire faux.
-Je suppose que cela dépend de si on en est conscient (de l'omission), ou pas - étant donné les deux sens de ce substantif.
Mais alors ?
-En base de données, il est important d'avoir conscience (justement) que l'on met dans la base nos croyances au sujet du monde réel.
Ca semble confirmer.
Par contre, une perte d'information(s) reste une perte d'information(s). Un système peut perdre sa cohérence à cause d'une perte.
Alors:
Est-il possible de mentir (par omission) de facto, i. e.: même si on n'en est pas conscient ?
AC*- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Une omission est-elle un mensonge ?
Salut AC, comment vas-tu?
Pour moi, par définition, le mensonge sert à nous favoriser nous-même, qu'il soit pieux ou criminel. J'ai été éduqué à haïr le mensonge sous toutes ses formes, même le compromis. Il m'a fallu toute la vie pour découvrir que le compromis était utile à la bonne entente, mais j'en suis encore à l'étape du compromis réciproque. Impossible pour moi de croire à l'amour puisqu'il s'agit de compromis unidirectionnel. Pour moi, nos omissions font partie intégrante de nos messages, elles ont autant de signification que le reste, ce sont les creux des vagues, sans eux il n'y aurait pas de vagues, donc pas de message.
De quoi sommes-nous conscients au juste quand nous parlons? De très peu de choses finalement puisque la parole est un automatisme. De la direction et de l'importance que nous accordons à nos messages, peut-être. On ne peut pas se mentir à soi-même si c'est pour favoriser les autres, mais on le fait quand c'est un compromis parce que la bonne entente nous favorise nécessairement. On n'a pas besoin d'être conscients de nos compromis, ça peut être un automatisme, ou encore le devenir. C'est pareil pour nos omissions. On ne peut pas dire qu'on ment si on en est inconscient, mais on peut dire qu'on a menti au début, avant que ça devienne un automatisme.
Pour moi, le mensonge est l'équivalent intellectuel de l'esquive et de la feinte pour un mouvement. On peut donc mentir pour feindre ou pour esquiver, pour blesser ou pour éviter une blessure, mais jamais pour favoriser l'adversaire comme la définition du pieux mensonge le suggère.
Pour moi, par définition, le mensonge sert à nous favoriser nous-même, qu'il soit pieux ou criminel. J'ai été éduqué à haïr le mensonge sous toutes ses formes, même le compromis. Il m'a fallu toute la vie pour découvrir que le compromis était utile à la bonne entente, mais j'en suis encore à l'étape du compromis réciproque. Impossible pour moi de croire à l'amour puisqu'il s'agit de compromis unidirectionnel. Pour moi, nos omissions font partie intégrante de nos messages, elles ont autant de signification que le reste, ce sont les creux des vagues, sans eux il n'y aurait pas de vagues, donc pas de message.
De quoi sommes-nous conscients au juste quand nous parlons? De très peu de choses finalement puisque la parole est un automatisme. De la direction et de l'importance que nous accordons à nos messages, peut-être. On ne peut pas se mentir à soi-même si c'est pour favoriser les autres, mais on le fait quand c'est un compromis parce que la bonne entente nous favorise nécessairement. On n'a pas besoin d'être conscients de nos compromis, ça peut être un automatisme, ou encore le devenir. C'est pareil pour nos omissions. On ne peut pas dire qu'on ment si on en est inconscient, mais on peut dire qu'on a menti au début, avant que ça devienne un automatisme.
Pour moi, le mensonge est l'équivalent intellectuel de l'esquive et de la feinte pour un mouvement. On peut donc mentir pour feindre ou pour esquiver, pour blesser ou pour éviter une blessure, mais jamais pour favoriser l'adversaire comme la définition du pieux mensonge le suggère.
M'enfin- Le Repteux
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Re: Une omission est-elle un mensonge ?
Si on n'en est pas conscient, il ne s'agit plus d'une omission, puisque l'omission suppose une connaissance, donc une conscience de.Acourvoisier a écrit:Est-il possible de mentir (par omission) de facto, i. e.: même si on n'en est pas conscient ?
Lulu- Maître du Temps
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Re: Une omission est-elle un mensonge ?
-Mais bien, et toi donc ?M'enfin a écrit:Salut AC, comment vas-tu?
-Compromis réciproque... tu veux dire qu'il existe des compromis unilatéraux ? -j'avoue que je n'y avais pas pensé... être vraiment possible de "promettre avec" sans que ce soit bilatéral ?M'enfin a écrit:
Pour moi, par définition, le mensonge sert à nous favoriser nous-même, qu'il soit pieux ou criminel. J'ai été éduqué à haïr le mensonge sous toutes ses formes, même le compromis. Il m'a fallu toute la vie pour découvrir que le compromis était utile à la bonne entente, mais j'en suis encore à l'étape du compromis réciproque.
-Ce serait comme Dieu, en quelque sorte ? (je tendrais à le considérer ainsi). Et si par coïncidence il y avais simultanéité ?M'enfin a écrit:
Impossible pour moi de croire à l'amour puisqu'il s'agit de compromis unidirectionnel.
-Joli, ça. De la poésie en prose.M'enfin a écrit:
Pour moi, nos omissions font partie intégrante de nos messages, elles ont autant de signification que le reste, ce sont les creux des vagues, sans eux il n'y aurait pas de vagues, donc pas de message.
-La parole est un automatisme !M'enfin a écrit:
De quoi sommes-nous conscients au juste quand nous parlons? De très peu de choses finalement puisque la parole est un automatisme.
Est-ce à dire que les futures réponses de nos interlocuteurs ne comptent pas ?
-Par ailleurs: la parole serait-elle donc gérée par le système nerveux parasympathique (pour ma part, j'en doute) ?
-Si une femme que tu trouve bête et moche te demande si elle est jolie et intelligente, et que tu réponds positivement, tu ne la favorise pas ?M'enfin a écrit:
De la direction et de l'importance que nous accordons à nos messages, peut-être. On ne peut pas se mentir à soi-même si c'est pour favoriser les autres, mais on le fait quand c'est un compromis parce que la bonne entente nous favorise nécessairement. On n'a pas besoin d'être conscients de nos compromis, ça peut être un automatisme, ou encore le devenir. C'est pareil pour nos omissions. On ne peut pas dire qu'on ment si on en est inconscient, mais on peut dire qu'on a menti au début, avant que ça devienne un automatisme.
Pour moi, le mensonge est l'équivalent intellectuel de l'esquive et de la feinte pour un mouvement. On peut donc mentir pour feindre ou pour esquiver, pour blesser ou pour éviter une blessure, mais jamais pour favoriser l'adversaire comme la définition du pieux mensonge le suggère.
-Je pense que si. Il a été montré dans des études psychologiques (je n'ai pas de référence, c'est du terrain, et c'est relativement évident), qu'on évite de démolir ainsi la personne. Non contents de cela, il a été vérifié statistiquement avec une probabilité inescomptée, que même seules nos idées au sujet de quelqu'un (positives/négatives) peuvent l'influer positivement, respectivement négativement.
Ce qui me mène à avoir l'idée qu'on peut changer à partir de notre première impression, en relativisant et en voulant agir pour le bien, en considérant le plus possible la personne dans l'aspect positif, afin d'influer en bien.
N. B. à M'enfin:
Tu crois que les gens sentent la pensée, lorsque tu vis/travaille avec eux ? -Je crois que oui.
AC*- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Une omission est-elle un mensonge ?
Moi, ça flotte, mais les vents sont toujours contraire pour ce qui est de ma théorie. J'ai jeté l'ancre chez des forums scientifiques anglophones pour leur montrer mon youyou. M'ont dit qu'il flottait pas, pourtant, il ne prend pas l'eau. J'ai fait venir le CD de Comsol pour voir si je pouvais m'en servir pour simuler les petits pas, ce groupe que tu m'avais conseillé, mais je n'ai pas trouvé d'application appropriée. En espérant tomber sur le gros, je pêche la sardine ici et là.ACourvoisier a écrit:-Mais bien, et toi donc ?M'enfin a écrit:Salut AC, comment vas-tu?
Simultanéité entre quoi et quoi?-Ce serait comme Dieu, en quelque sorte ? (je tendrais à le considérer ainsi). Et si par coïncidence il y avais simultanéité ?M'enfin a écrit:
Impossible pour moi de croire à l'amour puisqu'il s'agit de compromis unidirectionnel.
-Joli, ça. De la poésie en prose.M'enfin a écrit:
Pour moi, nos omissions font partie intégrante de nos messages, elles ont autant de signification que le reste, ce sont les creux des vagues, sans eux il n'y aurait pas de vagues, donc pas de message.
Nous anticipons les paroles des autres, mais l'anticipation est aussi un automatisme. Écrire nous semble moins automatique, mais c'est juste parce que c'est plus long et qu'on peut réfléchir plus longtemps. À la fin, nous n'ajoutons pas grand chose de nouveau à ce que nous disons, à part le sens et l'importance de nos idées qui peuvent changer quelque peu.-La parole est un automatisme !M'enfin a écrit:
De quoi sommes-nous conscients au juste quand nous parlons? De très peu de choses finalement puisque la parole est un automatisme.
Est-ce à dire que les futures réponses de nos interlocuteurs ne comptent pas ?
La parole est constituée de gestes, et je suppose qu'elle est gérée de la même manière que tous nos gestes une fois qu'ils sont acquis. On peut prendre conscience de marcher si on veut, mais on n'est pas obligés. Par contre pour améliorer notre marche, là, on est obligés. On est forcés de prendre conscience de ce qu'on fait seulement pour apprendre ou développer un nouveau geste, et ça devrait être pareil pour la parole.-Par ailleurs: la parole serait-elle donc gérée par le système nerveux parasympathique (pour ma part, j'en doute) ?
Héhé, je ne vois vraiment pas la chose comme toi. Je suis pratiquement incapable de complimenter gratuitement, et si quelqu'un me complimente, je sens que ce n'est pas gratuit. J'ai besoin d'être compris, mais pas par les sentiments. Pour moi, ceux qui font les choses gratuitement en espèrent un retour dans l'au-delà, ce qui n'est finalement pas vraiment gratuit. Est-ce que ce comportement est plus utile que le mien? Est-ce qu'il permet de mieux nous entendre entre nous par exemple? Vu qu'il faut croire à l'au-delà pour l'avoir et vu les problèmes que nous avons avec nos croyances présentement, j'en doute.-Si une femme que tu trouve bête et moche te demande si elle est jolie et intelligente, et que tu réponds positivement, tu ne la favorise pas ?M'enfin a écrit:
De la direction et de l'importance que nous accordons à nos messages, peut-être. On ne peut pas se mentir à soi-même si c'est pour favoriser les autres, mais on le fait quand c'est un compromis parce que la bonne entente nous favorise nécessairement. On n'a pas besoin d'être conscients de nos compromis, ça peut être un automatisme, ou encore le devenir. C'est pareil pour nos omissions. On ne peut pas dire qu'on ment si on en est inconscient, mais on peut dire qu'on a menti au début, avant que ça devienne un automatisme.
Pour moi, le mensonge est l'équivalent intellectuel de l'esquive et de la feinte pour un mouvement. On peut donc mentir pour feindre ou pour esquiver, pour blesser ou pour éviter une blessure, mais jamais pour favoriser l'adversaire comme la définition du pieux mensonge le suggère.
-Je pense que si. Il a été montré dans des études psychologiques (je n'ai pas de référence, c'est du terrain, et c'est relativement évident), qu'on évite de démolir ainsi la personne. Non contents de cela, il a été vérifié statistiquement avec une probabilité inescomptée, que même seules nos idées au sujet de quelqu'un (positives/négatives) peuvent l'influer positivement, respectivement négativement.
Ce qui me mène à avoir l'idée qu'on peut changer à partir de notre première impression, en relativisant et en voulant agir pour le bien, en considérant le plus possible la personne dans l'aspect positif, afin d'influer en bien.
D'une certaine façon, oui, puisque nous acquérons des automatismes à force de vivre avec les gens. Inconsciemment, nous pouvons anticiper ce qu'ils vont faire ou dire à partir de ce qu'ils viennent de faire ou de dire, mais si tu parles de lecture de pensée sans perception, là, je n'y crois pas.N. B. à M'enfin:
Tu crois que les gens sentent la pensée, lorsque tu vis/travaille avec eux ? -Je crois que oui.
M'enfin- Le Repteux
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Humeur : ...qui sait?
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Re: Une omission est-elle un mensonge ?
Bon à savoir. En même temps, si tu participe à un nouveau concept, il y avait peu de chance que ce fût intégré à un logiciel pré-existant - mais bon, ne savait-on jamais.M'enfin a écrit:
Moi, ça flotte, mais les vents sont toujours contraire pour ce qui est de ma théorie. J'ai jeté l'ancre chez des forums scientifiques anglophones pour leur montrer mon youyou. M'ont dit qu'il flottait pas, pourtant, il ne prend pas l'eau. J'ai fait venir le CD de Comsol pour voir si je pouvais m'en servir pour simuler les petits pas, ce groupe que tu m'avais conseillé, mais je n'ai pas trouvé d'application appropriée. En espérant tomber sur le gros, je pêche la sardine ici et là.
M'enfin a écrit:Simultanéité entre quoi et quoi?ACourvoisier a écrit:-Ce serait comme Dieu, en quelque sorte ? (je tendrais à le considérer ainsi). Et si par coïncidence il y avais simultanéité ?M'enfin a écrit:
Impossible pour moi de croire à l'amour puisqu'il s'agit de compromis unidirectionnel.
-Entre deux compromis ("unidirectionnels"), en devenant ainsi bilatéraux.
M'enfin a écrit:Nous anticipons les paroles des autres, mais l'anticipation est aussi un automatisme. Écrire nous semble moins automatique, mais c'est juste parce que c'est plus long et qu'on peut réfléchir plus longtemps. À la fin, nous n'ajoutons pas grand chose de nouveau à ce que nous disons, à part le sens et l'importance de nos idées qui peuvent changer quelque peu.ACourvoisier a écrit:-La parole est un automatisme !M'enfin a écrit:
De quoi sommes-nous conscients au juste quand nous parlons? De très peu de choses finalement puisque la parole est un automatisme.
Est-ce à dire que les futures réponses de nos interlocuteurs ne comptent pas ?
-On peut espérer en avoir un retour dans le présent... un sourire, ça fait toujours plaisir.M'enfin a écrit:Héhé, je ne vois vraiment pas la chose comme toi. Je suis pratiquement incapable de complimenter gratuitement, et si quelqu'un me complimente, je sens que ce n'est pas gratuit. J'ai besoin d'être compris, mais pas par les sentiments. Pour moi, ceux qui font les choses gratuitement en espèrent un retour dans l'au-delà, ce qui n'est finalement pas vraiment gratuit. Est-ce que ce comportement est plus utile que le mien? Est-ce qu'il permet de mieux nous entendre entre nous par exemple? Vu qu'il faut croire à l'au-delà pour l'avoir et vu les problèmes que nous avons avec nos croyances présentement, j'en doute.ACourvoisier a écrit:-Si une femme que tu trouve bête et moche te demande si elle est jolie et intelligente, et que tu réponds positivement, tu ne la favorise pas ?M'enfin a écrit:
De la direction et de l'importance que nous accordons à nos messages, peut-être. On ne peut pas se mentir à soi-même si c'est pour favoriser les autres, mais on le fait quand c'est un compromis parce que la bonne entente nous favorise nécessairement. On n'a pas besoin d'être conscients de nos compromis, ça peut être un automatisme, ou encore le devenir. C'est pareil pour nos omissions. On ne peut pas dire qu'on ment si on en est inconscient, mais on peut dire qu'on a menti au début, avant que ça devienne un automatisme.
Pour moi, le mensonge est l'équivalent intellectuel de l'esquive et de la feinte pour un mouvement. On peut donc mentir pour feindre ou pour esquiver, pour blesser ou pour éviter une blessure, mais jamais pour favoriser l'adversaire comme la définition du pieux mensonge le suggère.
-Je pense que si. Il a été montré dans des études psychologiques (je n'ai pas de référence, c'est du terrain, et c'est relativement évident), qu'on évite de démolir ainsi la personne. Non contents de cela, il a été vérifié statistiquement avec une probabilité inescomptée, que même seules nos idées au sujet de quelqu'un (positives/négatives) peuvent l'influer positivement, respectivement négativement.
Ce qui me mène à avoir l'idée qu'on peut changer à partir de notre première impression, en relativisant et en voulant agir pour le bien, en considérant le plus possible la personne dans l'aspect positif, afin d'influer en bien.
-Par contre je n'ai pas écrit "complimenter gratuitement"; j'ai voulu dire: faire ressortir les bons côtés... pré-existants!
ACourvoisier a écrit:N. B. à M'enfin:
Tu crois que les gens sentent la pensée, lorsque tu vis/travaille avec eux ? -Je crois que oui.
Alors avec "perception"!M'enfin a écrit:D'une certaine façon, oui, puisque nous acquérons des automatismes à force de vivre avec les gens. Inconsciemment, nous pouvons anticiper ce qu'ils vont faire ou dire à partir de ce qu'ils viennent de faire ou de dire, mais si tu parles de lecture de pensée sans perception, là, je n'y crois pas.
Sur ce, je vais dormir.
À demain, si vous le voulez bien.
AC*- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Une omission est-elle un mensonge ?
Ça s'appelle un miracle, mais ça arrive!ACourvoisier a écrit:-Entre deux compromis ("unidirectionnels"), en devenant ainsi bilatéraux.M'enfin a écrit:Simultanéité entre quoi et quoi?ACourvoisier a écrit:-Ce serait comme Dieu, en quelque sorte ? (je tendrais à le considérer ainsi). Et si par coïncidence il y avais simultanéité ?M'enfin a écrit:
Impossible pour moi de croire à l'amour puisqu'il s'agit de compromis unidirectionnel.
, mais toujours en anticipant que ce ne sera pas suffisant pour nous comprendre. La compréhension mutuelle, ça aussi c'est un miracle!-On peut espérer en avoir un retour dans le présent... un sourire, ça fait toujours plaisir.M'enfin a écrit:Héhé, je ne vois vraiment pas la chose comme toi. Je suis pratiquement incapable de complimenter gratuitement, et si quelqu'un me complimente, je sens que ce n'est pas gratuit. J'ai besoin d'être compris, mais pas par les sentiments. Pour moi, ceux qui font les choses gratuitement en espèrent un retour dans l'au-delà, ce qui n'est finalement pas vraiment gratuit. Est-ce que ce comportement est plus utile que le mien? Est-ce qu'il permet de mieux nous entendre entre nous par exemple? Vu qu'il faut croire à l'au-delà pour l'avoir et vu les problèmes que nous avons avec nos croyances présentement, j'en doute.
-Par contre je n'ai pas écrit "complimenter gratuitement"; j'ai voulu dire: faire ressortir les bons côtés... pré-existants!
M'enfin- Le Repteux
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