Le cerveau des homosexuels
+3
Gerard
bernard1933
fred
7 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Le cerveau des homosexuels
Des scientifiques anglais ont étudié le cerveau d'individus hétérosexuels et homosexuels.
Ils ont remarqué que le cerveau de l'homme hétérosexuel est plus gros que celui de la femme hétérosexuelle. En outre, ils ont constaté que la femme hétérosexuelle possède plus de matière grise que l'homme hétérosexuel.
Ils ont en outre remarqué que le cerveau des hommes hétérosexuels est plus gros que celui des hommes homosexuels. Les femmes homosexuelles, elles, auraient un cerveau plus gros et possèderaient moins de matière grise que les femmes hétérosexuelles.
Il ressort aussi de leur étude que l'homme homosexuel réagirait aux phéromones dégagées par la transpiration masculine, constatation faite au moyen de l'imagerie médicale.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Cette étude confirmerait que l'homosexualité est innée et non acquise, selon moi. Et selon vous ?
Ils ont remarqué que le cerveau de l'homme hétérosexuel est plus gros que celui de la femme hétérosexuelle. En outre, ils ont constaté que la femme hétérosexuelle possède plus de matière grise que l'homme hétérosexuel.
Ils ont en outre remarqué que le cerveau des hommes hétérosexuels est plus gros que celui des hommes homosexuels. Les femmes homosexuelles, elles, auraient un cerveau plus gros et possèderaient moins de matière grise que les femmes hétérosexuelles.
Il ressort aussi de leur étude que l'homme homosexuel réagirait aux phéromones dégagées par la transpiration masculine, constatation faite au moyen de l'imagerie médicale.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Cette étude confirmerait que l'homosexualité est innée et non acquise, selon moi. Et selon vous ?
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Thiébault a écrit:Des scientifiques anglais ont étudié le cerveau d'individus hétérosexuels et homosexuels.
Ils ont remarqué que le cerveau de l'homme hétérosexuel est plus gros que celui de la femme hétérosexuelle. En outre, ils ont constaté que la femme hétérosexuelle possède plus de matière grise que l'homme hétérosexuel.
Ils ont en outre remarqué que le cerveau des hommes hétérosexuels est plus gros que celui des hommes homosexuels. Les femmes homosexuelles, elles, auraient un cerveau plus gros et possèderaient moins de matière grise que les femmes hétérosexuelles.
Il ressort aussi de leur étude que l'homme homosexuel réagirait aux phéromones dégagées par la transpiration masculine, constatation faite au moyen de l'imagerie médicale.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Cette étude confirmerait que l'homosexualité est innée et non acquise, selon moi. Et selon vous ?
la comparaison avec les jumeaux , me parait plus pertinente génétiquement que les cerveaux...
Parmi les 324 couples de vrais jumeaux (même patrimoine génétique), 6 reconnaissaient être tous les deux homosexuels ou bisexuels et 19 que l'un des deux était homosexuel alors que son binôme ne l'était pas.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
6 contre 19
ca prouve que la génétique n'a rien a voir avec l'homoséxualité , l'homoséxualité n'est pas inée , c'est un acquis
fred- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 181
Identité métaphysique : Deiste oeucuméniste
Humeur : attentif
Date d'inscription : 13/04/2008
Re: Le cerveau des homosexuels
Thiébault, que veux-tu prouver? Que les homos sont inférieurs aux hétéros? Je signale de suite que je suis hétéro pour montrer mon objectivité.
Le catéchisme dit, art.2357:
" S'appuyant sur la Sainte Ecriture, qui les présente comme des dépravations graves, la Tradition a toujours déclaré que les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés. Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l'acte sexuel au don de la vie...."
Et puis, la pommade:
" Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse."
Comme avec les infirmes et les handicapés? Ah, quelle miséricorde!
Hitler avait trouvé une solution plus radicale, dans son délire et sa perversité. Il était moins hypocrite!
Ce forum a déjà tant débattu de ce sujet qu'il me semble inutile de poursuivre.
Le catéchisme dit, art.2357:
" S'appuyant sur la Sainte Ecriture, qui les présente comme des dépravations graves, la Tradition a toujours déclaré que les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés. Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l'acte sexuel au don de la vie...."
Et puis, la pommade:
" Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse."
Comme avec les infirmes et les handicapés? Ah, quelle miséricorde!
Hitler avait trouvé une solution plus radicale, dans son délire et sa perversité. Il était moins hypocrite!
Ce forum a déjà tant débattu de ce sujet qu'il me semble inutile de poursuivre.
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le cerveau des homosexuels
QUAND L’HOMOPHOBIE RAVIT L’HOMOSEXUEL
J’avais un ami virtuel, je dis virtuel, car nous ne nous sommes jamais rencontrés autrement que par la voix du téléphone et les mots du courrier électronique, et je parle au passé car on ne peut avoir pour ami une personne qui a décidé de ne plus être le vôtre, j’avais un ami, donc, qui a un jour piétiné notre amitié sans que je comprenne pourquoi… Ce compagnon d’outre-Atlantique aimait mon travail, m’a contacté pour me le dire, et n’a jamais ménagé son énergie pour le défendre aux États-unis.
Je ne connaissais de lui qu’une simple photographie sur son site et la musique de sa voix rauque et de son souffle haché – probablement les vestiges d’anciens pépins de santé – et puis de récurrents problèmes de dos dont il semblait souffrir le martyre. J’aimais nos conversations sur la philosophie française, car il avait bien connu Deleuze, Guattari, Foucault, Hocquenghem et Schérer, autrement dit, les philosophes qui donnent des boutons aux contempteurs de la Pensée 68. Nous partagions lui et moi une même ferveur pour ces pensées de barricades.
Accessoirement, il est homosexuel. J’écris « accessoirement » car je ne définis jamais un être par l’une de ses qualités, sinon, on court le risque de l’assigner au fragment, donc de le mutiler. Noir ou blanc, homme ou femme, juif ou goy, homo ou hétérosexuel, croyant ou athée, ces qualités agissent à mes yeux comme des accidents métaphysiques, sûrement pas comme une essence autour de laquelle tout s’organiserait. Je ne développe pas une vision ontologique communautariste ni même essentialiste. Sur ce sujet, je suis clairement existentialiste. L’être est ce qu’il fait, autrement dit : ce qu’il fait de ce qu’on a fait de lui.
Quelle ne fut pas ma stupeur de recevoir un jour un courriel comminatoire me demandant si j’avais bien écrit, dans l’Antimanuel de philosophie en l’occurrence , que les homosexuels se choisissaient tels en fonctions de circonstances et d’évènements de l’enfance qui, de fait, déterminent les fameuses préférences sexuelles ! Certes le « se choisir » renvoie implicitement au vocabulaire de Sartre : quand dans Saint Genet le philosophe explique comment l’écrivain devient homosexuel en se choisissant tel que le regard d’autrui l’a déterminé, il donne le mode d’emploi de toute constitution d’identité.
« Acte up », qui a le droit d’ignorer Sartre et sa généalogie de l’homosexualité, avait en effet dépêché sa police, ses renseignements généraux, ses commissaires aux archives, sa milice punitive, pour informer le réseau gay de mon homophobie ! En deux mots : « Méfiez vous d’Onfray comme de Le Pen et de Christine Boutin »… Aimable…
D’où vient donc que des homosexuels puissent attaquer l’un de ceux qui les défend – voir Féeries anatomiques qui milite pour le mariage des homosexuels, l’homoparentalité, le recours aux procréations assistées, Théorie du corps amoureux qui propose une nouvelle érotique entre deux êtres et non pas entre deux sexes opposés, et d’autres textes de l’Antimanuel de philosophie défendant toutes les sexualités pourvu qu’elles soient consentantes ? Probablement de cette étrange raison : se tromper d’ennemis permet en effet de laisser inconsciemment ses véritables adversaires proliférer dangereusement, ce qui entretient si bien le statut de victime dont on a besoin pour faire avancer sa cause. Mais ce jeu me semble dangereux et contreproductif : on ne lutte pas contre l’homophobie en la voyant partout car dès lors, elle n’est plus nulle part…
Michel Onfray
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
On voit avec ce texte que l'idée que théoriser que "devenir" homosexuel pour x raisons peut être considéré par les homos eux même comme homophobe.
Parce que en fait est ce que ça ne revient pas à dire que c'est du à une forme de maladie psychologique ?
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
bernard1933 a écrit:Thiébault, que veux-tu prouver? Que les homos sont inférieurs aux hétéros? Je signale de suite que je suis hétéro pour montrer mon objectivité.
Le catéchisme dit, art.2357:
" S'appuyant sur la Sainte Ecriture, qui les présente comme des dépravations graves, la Tradition a toujours déclaré que les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés. Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l'acte sexuel au don de la vie...."
Et puis, la pommade:
" Ils doivent être accueillis avec respect, compassion et délicatesse."
Comme avec les infirmes et les handicapés? Ah, quelle miséricorde!
Hitler avait trouvé une solution plus radicale, dans son délire et sa perversité. Il était moins hypocrite!
Ce forum a déjà tant débattu de ce sujet qu'il me semble inutile de poursuivre.
Pourquoi me fais-tu un procès d'intention ? Je ne fais que reporter le résultat d'études menées par des scientifiques. Ces études me semblent intéressantes car elles appuient le caractère inné de l'homosexualité.
Pourquoi compares-tu les homosexuels à des handicapés et des infirmes ? Sais-tu que de tels propos sont condamnables par la justice ? Pourquoi pars-tu dans des délires nazis ? Serais-tu néo-nazi ?
Thiébault
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Qwatybaal a écrit:On voit avec ce texte que l'idée que théoriser que "devenir" homosexuel pour x raisons peut être considéré par les homos eux même comme homophobe.
Parce que en fait est ce que ça ne revient pas à dire que c'est du à une forme de maladie psychologique ?
On peut prétendre que l'homosexualité est une conséquence de l'environnement sans pour autant aller jusqu'à prétendre qu'il s'agit d'une maladie "psychologique". L'homosexualité peut être le résultat d'un parcours particulier au cours de l'enfance et de l'adolescence (notamment par une mauvaise résolution du complexe d'Oedipe, selon certains théoriciens) mais cela ne permet pas de dire qu'ils sont malades.
Thiébault
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Il est dit dans l'étude que la taille du cerveau et la proportion de matière grise est en partie dû à certain hormones libérés lors des premiers mois de vie du foetus. EN PARTIE. Il se peut donc que le développement de la taille du cerveau et de la matière grise puissent avoir aussi des origines dû à l'acquis. Pour être clair, rien n'empêche que ces deux caractéristiques du cerveau soient des conséquences d'un penchant homosexuel acquis.
L'étude n'est donc pas suffisante.
L'étude n'est donc pas suffisante.
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
tony a écrit:Il est dit dans l'étude que la taille du cerveau et la proportion de matière grise est en partie dû à certain hormones libérés lors des premiers mois de vie du foetus. EN PARTIE. Il se peut donc que le développement de la taille du cerveau et de la matière grise puissent avoir aussi des origines dû à l'acquis. Pour être clair, rien n'empêche que ces deux caractéristiques du cerveau soient des conséquences d'un penchant homosexuel acquis.
L'étude n'est donc pas suffisante.
Mais le résultat le plus surprenant de cette étude est la réaction du cerveau des homosexuels aux phéromones dégagées par la transpiration masculine. Là, il ne peut s'agir que d'un caractère inné.
Reste à savoir quand la matière grise atteint la maturité de son développement.
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Oui mais tu vois, tu parles d'une mauvaise résolution du complexe d'OedipedoncThiébault a écrit:On peut prétendre que l'homosexualité est une conséquence de l'environnement sans pour autant aller jusqu'à prétendre qu'il s'agit d'une maladie "psychologique". L'homosexualité peut être le résultat d'un parcours particulier au cours de l'enfance et de l'adolescence (notamment par une mauvaise résolution du complexe d'Oedipe, selon certains théoriciens) mais cela ne permet pas de dire qu'ils sont malades.
Thiébault
il y a toujours l'idée d'un problême , il y à toujours l'idée de "maladie."
Et puis avec ce genre d'idées de pychologue-marabout on peut imaginer que c'est soignable (en revenant sur l'oedipe par ex)
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Qwatybaal a écrit:Oui mais tu vois, tu parles d'une mauvaise résolution du complexe d'OedipedoncThiébault a écrit:On peut prétendre que l'homosexualité est une conséquence de l'environnement sans pour autant aller jusqu'à prétendre qu'il s'agit d'une maladie "psychologique". L'homosexualité peut être le résultat d'un parcours particulier au cours de l'enfance et de l'adolescence (notamment par une mauvaise résolution du complexe d'Oedipe, selon certains théoriciens) mais cela ne permet pas de dire qu'ils sont malades.
Thiébault
il y a toujours l'idée d'un problême , il y à toujours l'idée de "maladie."
Et puis avec ce genre d'idées de pychologue-marabout on peut imaginer que c'est soignable (en revenant sur l'oedipe par ex)
Non, d'après Freud (et Erikson), rater un stade est irrécupérable. En revanche, les théories humanistes plaident en faveur d'un redressement toujours possible mais je ne pense pas qu'ils défendent le concept du complexe d'oedipe.
Mais toujours est-il que rater un stade ne rend pas "malade". Tout au plus, il y a inadaptation ou mésadaptation mais pas "maladie".
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Déjà, l'énoncé de l'étude est un non-sens, puisqu'on sait qu'il n'y a pas UNE homosexualité mais DES homosexualités.Thiébault a écrit: Cette étude confirmerait que l'homosexualité est innée et non acquise, selon moi. Et selon vous ?
Ensuite, il y a des bisexuels qui choisissent une personne du même sexe par amour, mais ils auraient aussi bien pu choisir une personne du sexe opposé pour la même raison. Ils vont donc se retrouver assimilés homosexuels, alors qu'ils ne le sont pas vraiment.
Ensuite, si les homosexuels exclusifs avaient réellement une différence de morphologie cervicale, ça voudrait dire qu'un biologiste pourrait connaitre les tendances sexuelles d'un individu, simplement en observant son cerveau ? On pourait donc dépister les homosexuels dès la naissance ? Je ne crois pas que ce soit le cas...
:sicroll: Et puis, si les hommes homosexuels ont "un cerveau féminin" alors les femmes homosexuelles auraient un "cerveau masculin" ?
Je crois qu'il y a une confusion avec la transexualité. Mais les transexuels ne sont pas des homosexuels. Ils ont seulement un problème d'identité qu'ils arrivent à résoudre en changeant de sexe.
Mais les homosexuels ne veulent pas changer de sexe ! Ce n'est donc pas une question d'identité sexuelle. C'est une question d'attirance.
...
_________________
" On sait tout sur rien et on sait rien sur tout. "
Re: Le cerveau des homosexuels
Gerard a écrit:Déjà, l'énoncé de l'étude est un non-sens, puisqu'on sait qu'il n'y a pas UNE homosexualité mais DES homosexualités.Thiébault a écrit: Cette étude confirmerait que l'homosexualité est innée et non acquise, selon moi. Et selon vous ?
Oui, et on peut pousser plus loin : il n'y a pas une hétérosexualité mais des hétérosexualités. Je ne vois pas ce que cette nuance apporte au problème !
Ensuite, il y a des bisexuels qui choisissent une personne du même sexe par amour, mais ils auraient aussi bien pu choisir une personne du sexe opposé pour la même raison. Ils vont donc se retrouver assimilés homosexuels, alors qu'ils ne le sont pas vraiment.
La question des bisexuels est différente. Ils ne sont ni hétérosexuels ni homosexuels puisqu'ils sont bisexuels. Et je serais curieux de connaître le résultat que donnerait une étude sur eux.
Ensuite, si les homosexuels exclusifs avaient réellement une différence de morphologie cervicale, ça voudrait dire qu'un biologiste pourrait connaitre les tendances sexuelles d'un individu, simplement en observant son cerveau ? On pourait donc dépister les homosexuels dès la naissance ? Je ne crois pas que ce soit le cas...
À la naissance, les différences de taille du cerveau sont minimales. Je ne sais même pas si elles sont décelables pour distinguer les sexes. Il est bien connu qu'une différence de 5% est plus importante à mesure que la quantité mesurée est grande. C'est la magie de la proportionnalité et de l'exponentialité !
:sicroll: Et puis, si les hommes homosexuels ont "un cerveau féminin" alors les femmes homosexuelles auraient un "cerveau masculin" ?
Fatalement. Mais ce ne sont pas des cerveaux à proprement parler "féminin" ou "masculin". Ce sont des cerveaux qui présentent des particularités similaires en certains points à ceux du sexe opposé.
Je crois qu'il y a une confusion avec la transexualité. Mais les transexuels ne sont pas des homosexuels. Ils ont seulement un problème d'identité qu'ils arrivent à résoudre en changeant de sexe.
Mais les homosexuels ne veulent pas changer de sexe ! Ce n'est donc pas une question d'identité sexuelle. C'est une question d'attirance.
...
Aucunement. Le transexuel souffre d'un problème purement psychologique. L'homosexuel(le) n'a pas conscience de ce qui se passe dans son cerveau. Il est attiré par les hommes ou les femmes, point barre. Est-ce que tu cherches à savoir pourquoi tu es attiré par les femmes ? Moi, je ne me suis jamais posé la question : c'est ainsi.
En revanche, le transexuel a le sentiment d'avoir un corps qui ne colle pas avec ce qu'il est psychiquement. Il y a donc une réflexion, une réaction de sa part. Chose qui ne se voit pas, sauf dans le cas des homosexuel(le)s qui, souffrant du regard des autres, croient pouvoir être guéris de leur état physiologique.
Tu le vois, la différence au niveau du cerveau induit des caractéristiques physiologiques, contrairement au transexuel où ce n'est que psychologique.
Amicalement,
Thiébault
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Je précise ma pensée:
J'ai connu la guerre dans ma chair; je sais donc ce qu'était le nazisme et ses conséquences, sans parler de ce que j'ai appris ensuite. C'était une abomination. Je penche plutôt de l'autre côté...
Je ne visais absolument personne, mais une institution, l'Eglise, qui condamne ouvertement l'homosexualité mais passe ensuite de la "pommade" ; elle plaint les homosexuels de la même façon qu'elle parle de sa miséricorde envers les infirmes et les handicapés. Je parle de son hypocrisie à elle!
Je ne crois pas, personnellement, à la liberté individuelle. Je pense, comme Henri Laborit qui m'a beaucoup marqué par ses livres, que nous sommes entièrement déterminés, comme un disque dur; mais qu'en serait-il si la société acceptait cette notion? Il n'y aurait plus de coupables, conséquences? Vous les tirez vous-mêmes.
Compte tenu de ma philosophie personnelle, je ne m'oppose jamais à
tel ou tel, mais aux concepts. J'ai défendu jadis mordicus, en toute bonne foi, des croyances qui m'apparaissent aujourd'hui d'un autre siècle. Mais ceci est un autre sujet...
J'ai connu la guerre dans ma chair; je sais donc ce qu'était le nazisme et ses conséquences, sans parler de ce que j'ai appris ensuite. C'était une abomination. Je penche plutôt de l'autre côté...
Je ne visais absolument personne, mais une institution, l'Eglise, qui condamne ouvertement l'homosexualité mais passe ensuite de la "pommade" ; elle plaint les homosexuels de la même façon qu'elle parle de sa miséricorde envers les infirmes et les handicapés. Je parle de son hypocrisie à elle!
Je ne crois pas, personnellement, à la liberté individuelle. Je pense, comme Henri Laborit qui m'a beaucoup marqué par ses livres, que nous sommes entièrement déterminés, comme un disque dur; mais qu'en serait-il si la société acceptait cette notion? Il n'y aurait plus de coupables, conséquences? Vous les tirez vous-mêmes.
Compte tenu de ma philosophie personnelle, je ne m'oppose jamais à
tel ou tel, mais aux concepts. J'ai défendu jadis mordicus, en toute bonne foi, des croyances qui m'apparaissent aujourd'hui d'un autre siècle. Mais ceci est un autre sujet...
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le cerveau des homosexuels
bernard1933 a écrit:Je précise ma pensée:
J'ai connu la guerre dans ma chair; je sais donc ce qu'était le nazisme et ses conséquences, sans parler de ce que j'ai appris ensuite. C'était une abomination. Je penche plutôt de l'autre côté...
Je ne visais absolument personne, mais une institution, l'Eglise, qui condamne ouvertement l'homosexualité mais passe ensuite de la "pommade" ; elle plaint les homosexuels de la même façon qu'elle parle de sa miséricorde envers les infirmes et les handicapés. Je parle de son hypocrisie à elle!
Je ne crois pas, personnellement, à la liberté individuelle. Je pense, comme Henri Laborit qui m'a beaucoup marqué par ses livres, que nous sommes entièrement déterminés, comme un disque dur; mais qu'en serait-il si la société acceptait cette notion? Il n'y aurait plus de coupables, conséquences? Vous les tirez vous-mêmes.
Compte tenu de ma philosophie personnelle, je ne m'oppose jamais à
tel ou tel, mais aux concepts. J'ai défendu jadis mordicus, en toute bonne foi, des croyances qui m'apparaissent aujourd'hui d'un autre siècle. Mais ceci est un autre sujet...
L'exemple du disque dur est mal choisi, me semble-t-il. S'il y a bien un objet qui n'est pas déterminé, c'est le disque dur. Il n'est pas déterminé à enregistrer tel fichier ou tel autre. Il est, au contraire, susceptible d'enregistrer n'importe quel fichier.
Quant à l'hypocrisie de l'Église, elle le serait si son discours avait changé. Mais il n'en est rien : il est toujours en accord avec l'enseignement du Nouveau Testament. Tu parles de coupables. Où, quand et comment l'Église a qualifiés les homosexuels de coupables ? L'homosexuel qui persiste dans son comportement homosexuel est un pécheur au même titre que tous les autres pécheurs, ni plus ni moins.
Tu fais des amalgames dangeureux : tu mélanges la position de l'Église vis-à-vis de l'homosexualité et le malheur qui accable les handicapés. De la compassion ? Tant que ce n'est pas de la pitié ! Si le monde entier avait de la compassion pour les plus faibles, l'humanité se porterait mieux qu'actuellement. La compassion, c'est prendre conscience que tel individu est "différent" de soi mais de faire en sorte que celui-ci n'en souffre pas. L'hypocrisie, c'est vouloir faire croire au handicapé, par exemple, qu'il est égal à celui qui ne souffre pas du handicap. C'est illusoire. C'est humiliant pour le handicapé qui sait, lui, intérieurement, que ce n'est pas vrai.
Il y a une expression, en Wallonie, qui dit en substance ceci : "On est toujours sali par plus noir pot que soi." Tu as traité l'Église d'hypocrite ; le boomerang est revenu, tout droit, en plein dans ton pif.
Thiébault
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Thiébault a écrit:
Tu parles de coupables. Où, quand et comment l'Église a qualifiés les homosexuels de coupables ? L'homosexuel qui persiste dans son comportement homosexuel est un pécheur au même titre que tous les autres pécheurs, ni plus ni moins.
Un pécheur ? Mais pourquoi diable un pécheur ?
Tu précises : "s'il persiste dans son comportement homosexuel".
Donc, pour cesser d'être homo, il doit
. Soit abandonner toute sexualité, sous prétexte que la sienne est "pécheresse".
. Soit devenir hétéro.
D'où ma question :
dis-moi comment un homo peut parvenir à devenir hétéro ?
Perso, je suis hétéro et si on me disait que je dois devenir homo, je ne vois pas du tout comment j'y arriverais, n'ayant absolument aucun goût pour l'homosexualité.
Donc, c'est simple : je n'y arriverais pas.
Mais toi, tu dis que l'inverse est possible, qu'un homo doit pouvoir réussir à devenir hétéro.
Mais COMMENT, stp.... ?
Tu précises : "s'il persiste dans son comportement homosexuel".
Donc, pour cesser d'être homo, il doit
. Soit abandonner toute sexualité, sous prétexte que la sienne est "pécheresse".
. Soit devenir hétéro.
D'où ma question :
dis-moi comment un homo peut parvenir à devenir hétéro ?
Perso, je suis hétéro et si on me disait que je dois devenir homo, je ne vois pas du tout comment j'y arriverais, n'ayant absolument aucun goût pour l'homosexualité.
Donc, c'est simple : je n'y arriverais pas.
Mais toi, tu dis que l'inverse est possible, qu'un homo doit pouvoir réussir à devenir hétéro.
Mais COMMENT, stp.... ?
Re: Le cerveau des homosexuels
Magnus a écrit:Thiébault a écrit:
Tu parles de coupables. Où, quand et comment l'Église a qualifiés les homosexuels de coupables ? L'homosexuel qui persiste dans son comportement homosexuel est un pécheur au même titre que tous les autres pécheurs, ni plus ni moins.Un pécheur ? Mais pourquoi diable un pécheur ?
Tu précises : "s'il persiste dans son comportement homosexuel".
Donc, pour cesser d'être homo, il doit
. Soit abandonner toute sexualité, sous prétexte que la sienne est "pécheresse".
. Soit devenir hétéro.
D'où ma question :
dis-moi comment un homo peut parvenir à devenir hétéro ?
Perso, je suis hétéro et si on me disait que je dois devenir homo, je ne vois pas du tout comment j'y arriverais, n'ayant absolument aucun goût pour l'homosexualité.
Donc, c'est simple : je n'y arriverais pas.
Mais toi, tu dis que l'inverse est possible, qu'un homo doit pouvoir réussir à devenir hétéro.
Mais COMMENT, stp.... ?
Non, je n'ai pas dit que l'homo devait devenir hétéro. Il y a d'autres voies pour ne plus pratiquer l'homosexualité. Le célibat, par exemple.
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
Pourquoi cette certitude? Pourquoi ne pourrait on pas devenir sensible au phéromone masculin avec avec le temps? j'en sais rien, je suis pas médecin, mais je ne vois pas pourquoi, en l'état, ce serait impossible.Mais le résultat le plus surprenant de cette étude est la réaction du cerveau des homosexuels aux phéromones dégagées par la transpiration masculine. Là, il ne peut s'agir que d'un caractère inné.
Tiens une expérience personnelle qui me fait penser que l'homosexualité n'est pas innée. Je suis hétéro, et pourtant dans mon adolescence j'avais des attirances pour un garçon de ma classe. J'étais pas bi, mais presque. Ce n'est que vers mes 16-17 ans que je suis devenu à proprement parlé hétéro. Si c'était inné, j'aurais toujours ce pendant homo en moi, mais ce n'est pas le cas. J'étais un peu homo sur les bords dans mon adolescence, parce que c'est pendant ce moment là qu'on fait ses choix quasi définitif en terme de sexualité (je dis bien quasi). Bon c'est vrai que y'a toujours un petit pendant qui se manisfeste par le fantasme de la fellation. Un résidu de ce que j'aurais pu devenir. Enfin bon, ça ne prouve rien. Ni même cette étude. Par contre c'est vrai que c'est intéressant à étudier.
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
[quote="Thiébault"]
Magnus a écrit:Thiébault a écrit:
Tu parles de coupables. Où, quand et comment l'Église a qualifiés les homosexuels de coupables ? L'homosexuel qui persiste dans son comportement homosexuel est un pécheur au même titre que tous les autres pécheurs, ni plus ni moins.Un pécheur ? Mais pourquoi diable un pécheur ?
Tu précises : "s'il persiste dans son comportement homosexuel".
Donc, pour cesser d'être homo, il doit
. Soit abandonner toute sexualité, sous prétexte que la sienne est "pécheresse".
. Soit devenir hétéro.
D'où ma question :
dis-moi comment un homo peut parvenir à devenir hétéro ?
Perso, je suis hétéro et si on me disait que je dois devenir homo, je ne vois pas du tout comment j'y arriverais, n'ayant absolument aucun goût pour l'homosexualité.
Donc, c'est simple : je n'y arriverais pas.
Mais toi, tu dis que l'inverse est possible, qu'un homo doit pouvoir réussir à devenir hétéro.
Mais COMMENT, stp.... ?
Qu'entends-tu par "célibat", dans ce cas ? La chasteté, abandonner toute sexualité ?Non, je n'ai pas dit que l'homo devait devenir hétéro. Il y a d'autres voies pour ne plus pratiquer l'homosexualité. Le célibat, par exemple.
Re: Le cerveau des homosexuels
La chasteté, abandonner toute sexualité ?
Si c'est ce que tu souhaite au homo, mon cher Thibeault, je te prie d'au moins ''essayer'' ton remede ; la chasteté (ne pas ''baiser'' .. durant un temps assez long indéterminé) amene des problemes physiques ainsi que psychiques qui peuvent etre grave à long terme !
On a qu'a voir nos fameux ''pretre'' qui y persiste .. devenir ''amoureux'' de petits enfants ! Ils ne savent vraiment plus où mettre la tete quand leur petite personne ne se sente pas aimé (et ''baisé'' ..) de temps en temps !
Pour ce qui est de l'étude .. la taille du cerveau de l'homme est plus gros homme VS femme car l'homme est plus ''gros'' que la femme .. en général !
Pour ce qui est de la matiere grise .. cela peut dépendre de l'innée des parents (genes + formation du foetus) et de la facon dont la personne s'en sert durant sa croissance !
Pas tres concluant ..
WerdoX- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 239
Localisation : Chicoutimi / Québec / Canada (pour les poches en géo)
Identité métaphysique : athée
Humeur : changeantes ..
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le cerveau des homosexuels
Le cerveau, un disque dur? En ce qui concerne l'inné, oui si on considère qu'à l'achat y sont déjà gravés les caractéristiques génétiques. Quant à l'acquis, c'est le propre du milieu (famille, école, relations sociales, profession...) d'y enregistrer les dossiers qu'il veut y mettre.
Je ne mélange pas homos et infirmes ou handicapés! Drôle de raccourci!
Je cite simplement les termes du catéchisme. Les homos "doivent être accueillis avec "respect, compassion et délicatesse." Quelle condescendance! Et les hétéros? Tiens, cet article ne concerne que les homos!
Je ne mélange pas homos et infirmes ou handicapés! Drôle de raccourci!
Je cite simplement les termes du catéchisme. Les homos "doivent être accueillis avec "respect, compassion et délicatesse." Quelle condescendance! Et les hétéros? Tiens, cet article ne concerne que les homos!
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le cerveau des homosexuels
WerdoX a écrit:La chasteté, abandonner toute sexualité ?
Si c'est ce que tu souhaite au homo, mon cher Thibeault, je te prie d'au moins ''essayer'' ton remede ; la chasteté (ne pas ''baiser'' .. durant un temps assez long indéterminé) amene des problemes physiques ainsi que psychiques qui peuvent etre grave à long terme !
C'est un autre débat. Avec l'amour de Dieu, tout est possible.
On a qu'a voir nos fameux ''pretre'' qui y persiste .. devenir ''amoureux'' de petits enfants ! Ils ne savent vraiment plus où mettre la tete quand leur petite personne ne se sente pas aimé (et ''baisé'' ..) de temps en temps !
La pédophilie n'a rien à voir avec la chasteté. Que faire, alors, de Dutrous qui avait une femme, de Derochette qui avait une femme, de Fourniret qui avait une femme et de tous ces instituteurs, ces imams, ces rabbins qui peuvent se marier ? Comme si la pédophilie ne touchait que les prêtres, catholiques romains de surcroît !
Pour ce qui est de l'étude .. la taille du cerveau de l'homme est plus gros homme VS femme car l'homme est plus ''gros'' que la femme .. en général !
Pour ce qui est de la matiere grise .. cela peut dépendre de l'innée des parents (genes + formation du foetus) et de la facon dont la personne s'en sert durant sa croissance !
Pas tres concluant ..
Il faut voir la taille proportionnellement à la taille du corps. Ce sont des scientifiques qui ont mené cette étude. Je pense qu'ils ont pensé à ce genre de détail...
Invité- Invité
Re: Le cerveau des homosexuels
:sicroll: Beh ça veut juste dire que le titre de l'étude ne signifie rien. C'est plutôt un mauvais début pour prouver quelque chose , non ?Thiébault a écrit:Gerard a écrit:Déjà, l'énoncé de l'étude est un non-sens, puisqu'on sait qu'il n'y a pas UNE homosexualité mais DES homosexualités.Thiébault a écrit: Cette étude confirmerait que l'homosexualité est innée et non acquise, selon moi. Et selon vous ?
Oui, et on peut pousser plus loin : il n'y a pas une hétérosexualité mais des hétérosexualités. Je ne vois pas ce que cette nuance apporte au problème !
Pour pouvoir les étudier faudrait déjà les identifier. Et comment cela serait-il possible puisqu'un grand nombre d'entre eux restent dans un comportement "apparement" hétérosexuel ou "apparement" homosexuel ?...Thiébault a écrit:La question des bisexuels est différente. Ils ne sont ni hétérosexuels ni homosexuels puisqu'ils sont bisexuels. Et je serais curieux de connaître le résultat que donnerait une étude sur eux.
Admettons, mais donc, plus tard, "l'homosexualité" deviendrait une classification biologique que l'on pourrait établir sans même connaitre la vie du patient, mais juste en étudiant son cerveau ? Là aussi, j'en doute.Thiébault a écrit:Gerard a écrit: si les homosexuels exclusifs avaient réellement une différence de morphologie cervicale, ça voudrait dire qu'un biologiste pourrait connaitre les tendances sexuelles d'un individu, simplement en observant son cerveau ? On pourait donc dépister les homosexuels dès la naissance ?
À la naissance, les différences de taille du cerveau sont minimales. Je ne sais même pas si elles sont décelables pour distinguer les sexes.
Non c'est toi qui te trompe ! Le transexualisme est un problème inné.Thiébault a écrit:Gerard a écrit: Je crois qu'il y a une confusion avec la transexualité. Mais les transexuels ne sont pas des homosexuels. Ils ont seulement un problème d'identité qu'ils arrivent à résoudre en changeant de sexe.
Mais les homosexuels ne veulent pas changer de sexe ! Ce n'est donc pas une question d'identité sexuelle. C'est une question d'attirance.
Aucunement. Le transexuel souffre d'un problème purement psychologique. L'homosexuel(le) n'a pas conscience de ce qui se passe dans son cerveau. Il est attiré par les hommes ou les femmes, point barre. Est-ce que tu cherches à savoir pourquoi tu es attiré par les femmes ? Moi, je ne me suis jamais posé la question : c'est ainsi.
En revanche, le transexuel a le sentiment d'avoir un corps qui ne colle pas avec ce qu'il est psychiquement. Il y a donc une réflexion, une réaction de sa part..
"contrairement à la vision stigmatisante et pathologisante de la transsexualité que s'acharnent à donner de nombreux psychanalystes et behavioristes, une transsexuelle est bien une femme avec un problème physique et un transsexuel un homme avec un problème physique."
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Quant au fait de savoir, si les homosexuels n'ont pas conscience de ce qui se passe dans leur cerveau, c'est certain, mais cela ne veut pas dire que ce soit inné !
J'aime bien la couleur verte plutôt que la couleur bleue. J'en ignore la raison, mais je doute que ce soit déterminé par mon inné ! Et quand bien même ça serait inné, tu ne peux pas nier l'importance de l'acquis.
Donc un "homosexuel inné" pourrait devenir hétérosexuel et inversement.
:sicroll: Comment veux-tu faire une étude sérieuse avec autant de facteurs ?
...
_________________
" On sait tout sur rien et on sait rien sur tout. "
Re: Le cerveau des homosexuels
Thiébault,
Le célibat comme remède? C'est-à-dire la chasteté?
Dois-je signaler que "la main est le meilleur allié de la prostate"! Alors, entre un adénome ou un cancer de la prostate, entre la chasteté et la prostate, je choisis l'activité manuelle, même si Dieu me fait les gros yeux!
Le célibat comme remède? C'est-à-dire la chasteté?
Dois-je signaler que "la main est le meilleur allié de la prostate"! Alors, entre un adénome ou un cancer de la prostate, entre la chasteté et la prostate, je choisis l'activité manuelle, même si Dieu me fait les gros yeux!
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Sur la chasteté et sur les excès vénériens
Puisqu'il en est question dans ce sujet, voici un texte portant sur la chasteté et aussi sur les excès vénériens.
À côté de la masturbation, il faut placer les excès vénériens, qui, portés à un degré excessif, produisent habituellement un certain degré de faiblesse intellectuelle et surtout une impossibilité absolue d’application au travail, dont le roi Louis XV et les sultans modernes nous ont offert des exemples historiques.
Mais, dans les cas malheureux, les excès vénériens conduisent à la paralysie générale. Aussi, cette affection se développe-t-elle quelquefois avec des hommes jeunes, ardents et nouvellement mariés, qui, dans l’excès d’une ardeur légitime, ont oublié que les lois de la nature ne sont pas absolument parallèles aux prescriptions du Code. J’ai eu, personnellement, l’occasion d’observer, dans ma clientèle, quelques cas de ce genre, et Maudsley attribue, avec raison, aux abus conjugaux, une large part dans la production de la paralysie générale.
Les excès vénériens, nous l’avons déjà dit, paraissent être infiniment moins graves chez la femme. Il ne faudrait pas cependant conclure l’impunité absolue pour le sexe féminin. On sait que les prostituées payent un large tribut à la paralysie générale.
Nous arrivons maintenant à la condition inverse. La continence absolue peut-elle engendrer l’aliénation mentale, comme on le croit généralement ? C’est là, en tout état de cause, un point de départ assez peu commun ; mais voyons d’abord quels sont les effets physiologiques de la continence longtemps prolongée. Ils ont été soigneusement décrits par Haller, qui les avait observés sur lui-même. On éprouve d’abord une sensation de plénitude et de congestion, qui se traduit assez souvent par des céphalalgies ; mais, après un assez court espace de temps, les désirs sexuels s’éteignent complètement, et le sujet éprouve un accroissement évident de la force musculaire et une augmentation très notable de la mémoire. Peut-être Haller se faisait-il illusion sur ce point, et prenait-il la mémoire extraordinaire dont la nature l’avait gratifié pour une Conséquence de sa manière de vivre ; mais il est certain que les hommes qui pratiquent vraiment la continence sont doués, en général, d’une plus grande énergie que les autres, et peuvent donner une somme beaucoup plus considérable de travail, soit physique, soit intellectuel. Chez les animaux, tels que les chevaux, les ânes et les mulets, dont la force musculaire est la principale qualité, ces règles s’appliquent avec une exactitude rigoureuse. Ce qui paraît évident, c’est que la continence indéfiniment pratiquée peut s’allier à l’équilibre le plus parfait des fonctions organiques et à la plus robuste santé. Cependant, chez des hommes d’un tempérament génital excessif, comme le curé cité par Buffon, elle peut déterminer des accès de manie à forme érotique, accompagnes d’hallucinations diverses. Mais il ne faut point oublier que les inconvénients de la continence sont infiniment moins considérables que ses avantages, surtout au point de vue intellectuel. C’est là une vérité trop souvent méconnue, et qu’il importe essentiellement de mettre en lumière.
À côté de la masturbation, il faut placer les excès vénériens, qui, portés à un degré excessif, produisent habituellement un certain degré de faiblesse intellectuelle et surtout une impossibilité absolue d’application au travail, dont le roi Louis XV et les sultans modernes nous ont offert des exemples historiques.
Mais, dans les cas malheureux, les excès vénériens conduisent à la paralysie générale. Aussi, cette affection se développe-t-elle quelquefois avec des hommes jeunes, ardents et nouvellement mariés, qui, dans l’excès d’une ardeur légitime, ont oublié que les lois de la nature ne sont pas absolument parallèles aux prescriptions du Code. J’ai eu, personnellement, l’occasion d’observer, dans ma clientèle, quelques cas de ce genre, et Maudsley attribue, avec raison, aux abus conjugaux, une large part dans la production de la paralysie générale.
Les excès vénériens, nous l’avons déjà dit, paraissent être infiniment moins graves chez la femme. Il ne faudrait pas cependant conclure l’impunité absolue pour le sexe féminin. On sait que les prostituées payent un large tribut à la paralysie générale.
Nous arrivons maintenant à la condition inverse. La continence absolue peut-elle engendrer l’aliénation mentale, comme on le croit généralement ? C’est là, en tout état de cause, un point de départ assez peu commun ; mais voyons d’abord quels sont les effets physiologiques de la continence longtemps prolongée. Ils ont été soigneusement décrits par Haller, qui les avait observés sur lui-même. On éprouve d’abord une sensation de plénitude et de congestion, qui se traduit assez souvent par des céphalalgies ; mais, après un assez court espace de temps, les désirs sexuels s’éteignent complètement, et le sujet éprouve un accroissement évident de la force musculaire et une augmentation très notable de la mémoire. Peut-être Haller se faisait-il illusion sur ce point, et prenait-il la mémoire extraordinaire dont la nature l’avait gratifié pour une Conséquence de sa manière de vivre ; mais il est certain que les hommes qui pratiquent vraiment la continence sont doués, en général, d’une plus grande énergie que les autres, et peuvent donner une somme beaucoup plus considérable de travail, soit physique, soit intellectuel. Chez les animaux, tels que les chevaux, les ânes et les mulets, dont la force musculaire est la principale qualité, ces règles s’appliquent avec une exactitude rigoureuse. Ce qui paraît évident, c’est que la continence indéfiniment pratiquée peut s’allier à l’équilibre le plus parfait des fonctions organiques et à la plus robuste santé. Cependant, chez des hommes d’un tempérament génital excessif, comme le curé cité par Buffon, elle peut déterminer des accès de manie à forme érotique, accompagnes d’hallucinations diverses. Mais il ne faut point oublier que les inconvénients de la continence sont infiniment moins considérables que ses avantages, surtout au point de vue intellectuel. C’est là une vérité trop souvent méconnue, et qu’il importe essentiellement de mettre en lumière.
Source
Re: Le cerveau des homosexuels
Bonjour,
Pour les Prophètes il s'agit d'un comportement pervers et interdit par Dieu.
Le fait que Dieu aie fait apparaître le sida dans cette communauté n'est pas sans lien avec ce qui précède et Dieu est plus savant.
Maryam
Pour les Prophètes il s'agit d'un comportement pervers et interdit par Dieu.
Le fait que Dieu aie fait apparaître le sida dans cette communauté n'est pas sans lien avec ce qui précède et Dieu est plus savant.
Maryam
lechanteur- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 117
Date d'inscription : 28/03/2008
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» Le cerveau fabrique-t-il la conscience ?
» Don de cerveau
» Mysticisme et Cerveau
» Valeur sémantique des noms bibliques
» Mort et cerveau
» Don de cerveau
» Mysticisme et Cerveau
» Valeur sémantique des noms bibliques
» Mort et cerveau
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum