Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Mais mon être ne disparaîtra pas dans le néant, il se dissoudra comme la goutte d'eau dans la mer; mon "originalité" , elle, sera par contre irrémédiablement détruite .
Personne, selon S&A, la matière noire n'aurait aucune existence réelle; ce serait une hypothèse pour essayer de comprendre certaines énigmes dans le comportement des galaxies . Une réponse définitive devrait être apportée dans quelques mois.
Personne, selon S&A, la matière noire n'aurait aucune existence réelle; ce serait une hypothèse pour essayer de comprendre certaines énigmes dans le comportement des galaxies . Une réponse définitive devrait être apportée dans quelques mois.
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Exact, on peut le dire comme ça. Et de cette mer sort à chaque instant un être plus ou moins conscient, tu seras le premier qui suivra ta perte de conscience, peut-être un scarabée ou un épagneul.gaston21 a écrit:Mais mon être ne disparaîtra pas dans le néant, il se dissoudra comme la goutte d'eau dans la mer;
La conscience de toi disparaîtra, mais il restera de ton "originalité" dans les gênes et l'éducation que tu as transmis.mon "originalité" , elle, sera par contre irrémédiablement détruite .
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Tiens: on a enfin trouvé le boson de Higs.
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Et donc on a enfin trouvé: c'est a cause du boson de Higgs qu'il y a quelque chose plutot que rien.
Golem- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Non, le champ de Higgs donne leur masse aux particules mais ne créé pas les particules. Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de masse à haute énergie lorsque de champ scalaire de Higgs est nul, que pour autant il n'y a pas de matière.Golem a écrit:Et donc on a enfin trouvé: c'est a cause du boson de Higgs qu'il y a quelque chose plutot que rien.
D'ailleurs, le photon est une particule matérielle sans masse.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
J‘aurais préféré qu ‘on ne trouve pas de boson et que le photon au repos soit doté d‘une masse infime ainsi qu‘une célérité quand il bouge se trougant à une distance infinitesimale d‘être invariante.
Enfin je crois parce si la réalité est telle qu‘on la connait alors j‘ai peur qu ‘on ne puisse pas la connaître telle qu ‘elle n‘est pas .
Je faisais une blague vulgaire en négligeant de calculer le champ, argant que celui ci fait apparaître la matière et jouant sur le fait que l‘apparence est la seule réalité que le vulgaire connaisse.
Enfin je crois parce si la réalité est telle qu‘on la connait alors j‘ai peur qu ‘on ne puisse pas la connaître telle qu ‘elle n‘est pas .
Je faisais une blague vulgaire en négligeant de calculer le champ, argant que celui ci fait apparaître la matière et jouant sur le fait que l‘apparence est la seule réalité que le vulgaire connaisse.
Golem- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Stephen Hawking également.Golem a écrit:J‘aurais préféré qu ‘on ne trouve pas de boson
Cette découverte a en effet des répercussions sur les théories physiques, c'est la moitié des modèles qui s'effondrent, mais aussi sur la métaphysique, le big bang n'est plus nécessairement le commencement, cette singularité disparait.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
hmmm finalement j'apprécie qu'on ait découvert le boson et j'attends de voir des tachions.
Pas question que je supporte plus de quelques nano secondes d'être du même avis que le proffesseur roulette (je le déteste, j'ai beaucoup souffert quand j'ai appris que les trous noirs ont des fuites).
Mon état de synchronicité d'opinion avec stephen ne peut être que hautement instable et transitoire. la résultante évidente de la signature du hasard, car en humain accomplis je conditionnerai mon environnement de façon a me détacher de lui dans le but de lui fourrer la philo, encore vivante, dans le fondement de son raisonnement sur la décadence de nos capacité á réduire l'oppacité qui régne entre nous et la compréhention des lois de la nature.
Bon c'est pas tout, normalement il y aurait quatre, bosons, lequel a t on trouvé, y en a t il vraiment quatre et seulement quatre ?
Un monde quadrianguaire est il carré ?
Pas question que je supporte plus de quelques nano secondes d'être du même avis que le proffesseur roulette (je le déteste, j'ai beaucoup souffert quand j'ai appris que les trous noirs ont des fuites).
Mon état de synchronicité d'opinion avec stephen ne peut être que hautement instable et transitoire. la résultante évidente de la signature du hasard, car en humain accomplis je conditionnerai mon environnement de façon a me détacher de lui dans le but de lui fourrer la philo, encore vivante, dans le fondement de son raisonnement sur la décadence de nos capacité á réduire l'oppacité qui régne entre nous et la compréhention des lois de la nature.
Bon c'est pas tout, normalement il y aurait quatre, bosons, lequel a t on trouvé, y en a t il vraiment quatre et seulement quatre ?
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Golem- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
big bang ou trou noir : what else ?
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Parmi les théories alternatives au Big Bang (mise à part le modèle inflationnaire), cinq théories méritent notre attention :
- L’univers quasi-stationnaire HBN de Hoyle et al.
- Le modèle FST de Fliche et consorts
- Le modèle META de Tom Van Flandern
- Le modèle plasma d’Hannes Alfvén
- L’Univers neutrino.
http://www.astrosurf.com/luxorion/cosmos-alternatives.htm
Voir également:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmologie_non_standard
Ling- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Quelles répercussions voyez-vous sur la métaphysique?zizanie a écrit:Stephen Hawking également.Golem a écrit:J‘aurais préféré qu ‘on ne trouve pas de boson
Cette découverte a en effet des répercussions sur les théories physiques, c'est la moitié des modèles qui s'effondrent, mais aussi sur la métaphysique, le big bang n'est plus nécessairement le commencement, cette singularité disparait.
De mon côté, je le répète : Il faut qu'il y ait toujours eu quelque chose pour que quelque chose soit!
Il y a un bon moment que j'ai posé ça à titre d'hypothèse scientifique au nom même de la logique. Et donc s'ensuivait la disparition de la génération spontanée. Mais c'est une bonne nouvelle puisque s'effondre un élément relevant de la pensée magique de la science...
Le prochain tour verra le hasard subir le même sort... Question de temps...
Parlant des temps, ça me fait penser aux prophéties pour l'année 2012, un renversement des pôles en quelque sorte, un nouveau paradigme, un nouveau ciel, une nouvelle terre... Certains préféreront-ils mourir plutôt que de prendre le train qui prendra pour eux le nom de satan?
Pourtant la locomotive aura comme tête d'affiche un grand sourire : tous bosos pour un nouveau homo bosonus...
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Oui mais quelque chose qui ne soit rien pour pouvoir se conserver, sinon pourquoi quelque chose plutôt que rien? Surtout éternellement.ronron a écrit:
Quelles répercussions voyez-vous sur la métaphysique?
De mon côté, je le répète : Il faut qu'il y ait toujours eu quelque chose pour que quelque chose soit!
l'existence éternelle est aussi de l'ordre de la pensée magique.ronron a écrit:
Il y a un bon moment que j'ai posé ça à titre d'hypothèse scientifique au nom même de la logique. Et donc s'ensuivait la disparition de la génération spontanée. Mais c'est une bonne nouvelle puisque s'effondre un élément relevant de la pensée magique de la science...
Il semble qu'il n'y ait ni hasard ni déterminisme mais un mixte des deux sans que l'un ni l'autre ne soit prépondérant qu'en fonction de l'environnement.ronron a écrit:
Le prochain tour verra le hasard subir le même sort... Question de temps...
La porte du délire est ouverte en métaphysique.ronron a écrit:
Parlant des temps, ça me fait penser aux prophéties pour l'année 2012, un renversement des pôles en quelque sorte, un nouveau paradigme, un nouveau ciel, une nouvelle terre... Certains préféreront-ils mourir plutôt que de prendre le train qui prendra pour eux le nom de satan?
Pourtant la locomotive aura comme tête d'affiche un grand sourire : tous bosos pour un nouveau homo bosonus...
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Il faudrait peut-être avoir la vue d'ensemble pour répondre à cette question; ce que je n'ai pas à l'évidence. Cependant qu'il n'y ait pas de réponse m'apparaîtrait difficilement défendable au nom même de la raison. J'imagine qu'il y a un plan puisqu'il semble (!) que la conscience évolue... Tout ceci ne m'empêche pas de concevoir l'éternité de l'être, l'infini – dedans (esprit) et dehors (espace).zizanie a écrit:Oui mais quelque chose qui ne soit rien pour pouvoir se conserver, sinon pourquoi quelque chose plutôt que rien? Surtout éternellement.ronron a écrit:
Quelles répercussions voyez-vous sur la métaphysique?
De mon côté, je le répète : Il faut qu'il y ait toujours eu quelque chose pour que quelque chose soit!
Je vous demandais aussi ce que vous vouliez dire par ces 'répercussions sur la métaphysique'...
Boutade, puisque vous en aviez l'esprit dans votre expression du non-commencement. Et donc comment pourrait-on concevoir ce qui n'a pas de commencement sans le considérer comme n'ayant pas de fin?l'existence éternelle est aussi de l'ordre de la pensée magique.ronron a écrit:Il y a un bon moment que j'ai posé ça à titre d'hypothèse scientifique au nom même de la logique. Et donc s'ensuivait la disparition de la génération spontanée. Mais c'est une bonne nouvelle puisque s'effondre un élément relevant de la pensée magique de la science...
Il manque au moins un troisième terme, ne fût-ce que pour les proportions. Il faut aussi penser au 'Pourquoi quelque chose plutôt que rien?' Et donc pourquoi en effet dans un sens (équilibre) plutôt que dans l'autre? Tout serait en équilibre pour rien?Il semble qu'il n'y ait ni hasard ni déterminisme mais un mixte des deux sans que l'un ni l'autre ne soit prépondérant qu'en fonction de l'environnement.ronron a écrit:
Le prochain tour verra le hasard subir le même sort... Question de temps...
Ça me rappelle ma bouteille jetée à la mer avec la question : Le Hasard existe-t-il? Imaginez donc le retour de la bouteille, pleine... de rires cosmiques...La porte du délire est ouverte en métaphysique.ronron a écrit:Parlant des temps, ça me fait penser aux prophéties pour l'année 2012, un renversement des pôles en quelque sorte, un nouveau paradigme, un nouveau ciel, une nouvelle terre... Certains préféreront-ils mourir plutôt que de prendre le train qui prendra pour eux le nom de satan?
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Si quelqu'un m'entend, qu'il se lève et qu'il parle!
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
oh! ya quelqu'un ??? et l'écho répond : "hein???"
Le potentiel , ce n'est pas rien, mais il ne s'actualise pas n'importe comment , là est la question ...
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JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Un plan potentiel qui n'est pas établi à priori mais qui se dessine au fur et à mesure en fixant les limites des futurs possibles et en choisissant arbitrairement certaines voies plutôt que d'autres. En physique, l'éternité et l'infini sont toujours des aberrations mais pas en mathématiques ni en métaphysique.ronron a écrit:Cependant qu'il n'y ait pas de réponse m'apparaîtrait difficilement défendable au nom même de la raison. J'imagine qu'il y a un plan puisqu'il semble (!) que la conscience évolue... Tout ceci ne m'empêche pas de concevoir l'éternité de l'être, l'infini – dedans (esprit) et dehors (espace).
voir ICIronron a écrit:
Je vous demandais aussi ce que vous vouliez dire par ces 'répercussions sur la métaphysique'...
On peut citer par exemple le lien ontologique rompu entre la masse et la matière.
Comme je l'ai déjà dit, concevoir à la fois le monde comme quelque chose et rien. L'équilibre stable et statique formant le "rien" et la mise en mouvement formant le "quelque chose" par séparation des polarités comme matière et anti-matière qui annihilent en présence l'une de l'autre mais qui peuvent exister séparément dans un mouvement global dynamique.ronron a écrit: Il faut aussi penser au 'Pourquoi quelque chose plutôt que rien?' Et donc pourquoi en effet dans un sens (équilibre) plutôt que dans l'autre? Tout serait en équilibre pour rien?
Alors, équilibre oui mais un équilibre dynamique. L'équilibre statique est un équilibre pour rien mais l'équilibre dynamique est un équilibre pour quelque chose.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
c'est la structure de la trinité Le monde est mathématique, c'est troublant !
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
- Spoiler:
- ton avatar est sublime, Ziz
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
- Spoiler:
Merci, je le prends pour un compliment précieux de la part de toi qui avoue par ailleurs ne pas être attirée par les femmes.JO a écrit:ton avatar est sublime, Ziz
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
quelque chose = rien
Half-moon- Affranchi des Paradoxes
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
On a envie de dire que, s'il n'y avait rien, il y aurait même pas nous pour le constater, donc, en quelque sorte, puisqu'il y a forcément "nous" (vu que sinon...), il y a pas rien.
Ce n'est pas idiot, c'est << l'argument anthropique >>.
Mais je vais tenter autre chose : peut-être qu'il y a rien, et que nous ne nous en sommes pas encore rendus compte !
Ce n'est pas idiot, c'est << l'argument anthropique >>.
Mais je vais tenter autre chose : peut-être qu'il y a rien, et que nous ne nous en sommes pas encore rendus compte !
Escape- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 17/05/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
C'est comme dans les dessins animés, lorsque nous aurons conscience du vide qui est sous nos pieds, nous tomberons.Escape a écrit:
Mais je vais tenter autre chose : peut-être qu'il y a rien, et que nous ne nous en sommes pas encore rendus compte !
C'est aussi l'argument des idéalistes qui ne se voient qu'eux mêmes rêvant le monde.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
zizanie a écrit:C'est comme dans les dessins animés, lorsque nous aurons conscience du vide qui est sous nos pieds, nous tomberons.Escape a écrit:
Mais je vais tenter autre chose : peut-être qu'il y a rien, et que nous ne nous en sommes pas encore rendus compte !
C'est aussi l'argument des idéalistes qui ne se voient qu'eux mêmes rêvant le monde.
Sauf si ce vide n'est que le reflet de notre vacuité intrasèque?
Ling- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
zizanie a écrit:C'est comme dans les dessins animés, lorsque nous aurons conscience du vide qui est sous nos pieds, nous tomberons.
Idée... abyssale !
D'ailleurs j'ai entendu Slavoj Žižek la reprendre dans une de ses conférences, ça doit donc être un argument très philosophique.
Escape- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 17/05/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Ce ne serait pas de la pensée circulaire, ça?Stirica a écrit:
Sauf si ce vide n'est que le reflet de notre vacuité intrasèque?
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
comme disait Cyrano à Christian, se plaignant de son insuffisance : "mais non! puisque tu t'en rends compte !
Il y a donc, au moins , l'interrogation qui nous occupe ...Mais l'emploi du verbe est important : dans quelle mesure ce qu'il " y a", correspond-il à ce que l'on en pense ? Le réel existe, puisque nous sommes là, mais sa réalité nous échappe largement .
Il y a donc, au moins , l'interrogation qui nous occupe ...Mais l'emploi du verbe est important : dans quelle mesure ce qu'il " y a", correspond-il à ce que l'on en pense ? Le réel existe, puisque nous sommes là, mais sa réalité nous échappe largement .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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