Re: Comment être heureux ...!

[_Dayo]

Non il n'est pas saoul le dédé 95...c'est juste que ma réponse dans la section histoire sur la laïcité lui a fait entendre que j'étais un sot abruti triple idiot...c'est donc naturellement qu'il m'a associé a un préjugé du même acabit pour lui...c'est a dire un supporter du PSG sans culture générale voilà tout...rien de méchant.ça lui passera sans doute dans 10 ans quand il aura pris assez de recule...lol

[M'enfin]

Dix ans c'est trop long, il faut régler ça avant qu'il ne soit plus de ce monde.

[orthon7]

être heureux et éphémère alors profitons de nos moment de bonheur.

[JO]

Le bonheur , c'est toujours du passé ou du futur.
On vit le présent sans se poser la question .

[orthon7]

Le bonheur , c'est toujours du passé ou du futur.
On vit le présent sans se poser la question .

Qu'est ce donc que La Question ?

[M'enfin]

La question c'est: suis-je heureux?
Mais on n'a pas besoin de se la poser. Comme pour tous nos automatismes, la sensation présente sert à reconnaître si nos automatismes fonctionnent comme prévu. Si tout va bien, on ne change rien, sinon, on change quelque chose, mais quoi? La vraie question serait donc: comment être plus heureux dans l'avenir que je ne le suis maintenant, mais sans savoir comment procéder?

[Golem]

Alors sans préciser que ce que je dis est mon opinion, je dis qu'il est rarement bon de faire le devin, il vaut mieux faire le prophète.

Autrement dit, à bas les "suis-je heureux ?" et vive les "puisque j'ai choisi de vivre heureux, que dois-je faire pour atteindre ce but?".

Le bonheur n'est pas un accident chanceux dont on se demande s'il nous arrive en ce moment. Dans le monde où l'on vit, si on est un tant soit peu au courant de la misère du monde, soit on est un monstre et on en jouit soit on est malheureux. Si on refuse d'être soit méchant soit malheureux on peut aussi appliquer la solution bien connue et largement pratiquée de devenir complètement con, c'est à dire simple d'esprit, anesthésié par un égocentrisme absolu et salvateur associé à recherche du plaisir et une joie portative et temporaire de chaque instant de répits en attendant les temps de paix quand les autorités auront fini d'opprimer les peuples.

Le bonheur est d'abord une possibilité et ensuite un devoir. J'admire immensément les cons bouffis d'orgueil qui dominent le monde de la hauteur de leur bourgeoise supériorité morale républicaine, mercantile et libérale.
Sa majesté toute puissante a délibéré, la double colonne au simple $erpent, le roi de l'empire financier de la terre à décrété que la guerre n'est pas une bonne solution pour l'économie. Réjouissez vous gens du peuple, des temps de paix sont annoncés. Il y à décidément plus de clients quand on ne les tue pas.

Si vous vous contentez du merdier général et que vous êtes satisfait avec cela, vous êtes libre de ne rien faire pour tenter de changer les choses.
Si vous pensez que la vie serait plus belles avec plus de sourires, souriez à la vie.

Il est bien d'éviter de combattre l'ombre (l’innommable) car nous sommes tous immortels et on ne peut pas tuer ses ennemis, on ne peut donc pas vaincre sans dominer son ennemi et l'introduire dans sa propre organisation. Parmi les immortels, on ne peut pas gagner sans faire de son ennemi un ami. Il en découle qu'on ne peut pas vaincre le mal ! Ne dramatisons pas, cela veut simplement dire que la voie de la réussite n'est pas de vaincre.

Pour gagner, il est bien mieux de répandre le bien. On peut se focaliser sur les belles parties de la réalité et développer ces parties, c'est la voie du plus grand nombre, c'est la voie du roi et du peuple qui le suit.


Quand on a la possibilité d'être heureux, si on en est capable, on doit le devenir, pour l'amour du genre humain. Ensuite, si on y parvient le bonheur devient un état et cet état participe de l'ambiance générale.

[Golem]

être heureux et éphémère alors profitons de nos moment de bonheur.

[Golem]

Alors je retiens :c'est surtout dans la tête, optimisme, individuel, re-la-ti-vi-ser.
Et puis, tant qu'à être tombé à l'eau, autant nager .

Dans l'eau il faut nager, ainsi les autres on moins peur de l'eau.
Quand il y a moins de peur, il y a moins d’agressivité.

[M'enfin]

Quand on a la possibilité d'être heureux, si on en est capable, on doit le devenir, pour l'amour du genre humain.

T'as pas oublié quelque chose dans ta prière là par hasard? Y a pas la recette, je la vois nulle part. Allez, soit pas si pingre, aboule la recette qu'on se farcisse nous aussi notre petit bonheur universel à nous.

[Golem]

Commencer par soi, parce que c'est sur soi qu'on à le plus d'influence. Après le premier cercle, passer au suivant.

Il ne s'agit pas d'essayer, il s'agit de faire.
C'est de la méditation transcendantale, ne cherche pas a comprendre, regarde à l'intérieur de toi, tout est là et tout restera la, ne t'occupe pas de changer ce qui est ou n'est pas. Dans tout ce qui est là, il y a des choses visibles, c'est ta conscience, et des choses invisibles, ton subconscient.

Tu ne vois pas ton subconscient mais lui t'entend et il est aussi docile et de bonne volonté pour faire ce que tu lui demande que l'est ta conscience pour les mêmes choses.




Quand tu as un moment de répits, qu'aucune raison impérieuse et immédiate ne te contraint au combat, pratique le bonheur. C'est une pratique méditative.
Prends tout ce que tu vois en toi qui n'est pas le bonheur, place le sous le tapis, à un endroit où tu ne le vois plus, ensuite fait ressortir et fait briller ce qui te suggère un état de béatitude.

A faire minimum 10 minutes deux fois par jour, idéalement au réveil avant de commencer à bouger et au coucher avant de commencer à dormir.





Il n'y a pas que cette méthode, Pythagore nous a donné une voie plus facile et raisonnable dans ses vers d'or.

Ce que je présente ici comme recette ne sera pas forcément à la porté du premier mitron venu.

[M'enfin]

Prends tout ce que tu vois en toi qui n'est pas le bonheur, place le sous le tapis, à un endroit où tu ne le vois plus, ensuite fait ressortir et fait briller ce qui te suggère un état de béatitude.

C'est pas une recette de bonheur ça, sinon on serait tous heureux depuis longtemps, car c'est exactement ce que procure la prière: nous déculpabiliser de nos fautes. Je le sais puisque je l'utilise au besoin. Ça marche pour nos fautes, mais ça n'assure pas le bonheur du lendemain, c'est toujours à recommencer. Je parlais d'une recette qu'on concocte une fois, et qui dure toute la vie. Quelle déception! Je crois bien que je vais me suicider là! Tu as une recette pour se suicider une bonne fois pour toutes?

[Golem]

Ce n'est pas un scoop. Il faut vivre tous les jours, pour cela il faut avoir un minimum de classe.

Les suicidés n'ont pas de classe. C'est la honte le suicide.
Le sacrifice je comprends, mais un suicide n'a jamais aidé personne, ni soi ni les autres.

[Golem]

Êtes vous sur de vouloir parler de suicide ?
On peut aussi parler d'autre choses horribles et dramatiques dans ce sujet de conversation, ne nous arrêtons pas au suicide.

[Ladysan]

Je crois que je ne me suis pas encore exprimée sur la notion de bonheur.

Mais de quel bonheur parle-on ?

J'ai appris jadis (à mes dépens), que...
...Nous partons souvent dans la vie avec l'idée que l'on peut trouver le bonheur dans le monde "et grâce au monde" Beaucoup de gens d'ailleurs achèvent leur existence sans jamais se demander si une telle conception est sensée ou non.
Le bonheur, c'est quelque chose de fugace et de changeant. Son véritable nom est "plaisir"
Comme les plaisirs sont légion, et que nous les avons souvent vus venir à nous et passer comme un fleuve qui coule, nous en avons déduis qu'ils forment la substance même du bonheur, alors que le plaisir n'est que notre réaction à la perception d'objets extérieurs à nous et sur lesquels nous n'avons pas d'influences. Certains nous causent du plaisir, et d'autres de la souffrance.

Pour moi, le bonheur relève "exclusivement" de notre nature intérieure, et le plaisir n'a pas d'existence "indépendante"
En réalité, (La mienne ), le désir n'est pas une libération, mais un feu dévorant, qui brule avec d'autant plus de force qu'on lui donne davantage de combustible. Quelles que soient nos préférences personnelles, il y a toujours deux ennemis à notre bonheur : Le désir et la crainte. Le désir nous dit : "obtient cela", la crainte de son coté nous commande d'éviter certaines choses...

[M'enfin]

Chercher la recette du bonheur à deux, c'est risquer de ne pas s'entendre, mais vouloir conserver son propre point de vue à tout prix est un bonheur pour beaucoup d'entre nous. Certains vont même jusqu'à se faire exploser pour le démontrer. Pour moi le bonheur n'existe pas, mais sa recherche oui, et je me sens heureux de le démontrer, mais en le comparant au suicide de ceux qui espèrent le trouver au ciel: horrible bonneur, quand tu me tiens!

Tiens, v´là l´bonheur
Où c´est qu´t´étais?
Maudit sans-coeur
Où tu t´cachais?
J´ai manqué d´veine
Tu t´es poussé
Là tu t´ramènes
Le bout du nez
Tiens, v´là l´bonheur
Tout pomponné
Penses-tu qu´à stheure
J´vais t´écouter?
Sacré voleur
Tu m´as floué
Là tu reviens
T´faire pardonner
Dans un creux d´vague
L´amour zigzague
L´âme divague
Le coeur prend l´eau
T´as eu la chienne
J´ai eu d´la peine
Maudit bonheur
T´as eu ma peau!

Tiens, v´là l´bonheur
Pourquoi tu m´colles?
En quel honneur?
T´as pas d´parole
Maudit menteur
Insiste pas
J´pourrais te suivre
Encore une fois

Tiens, v´là l´bonheur
Tu sens bien bon
J´connais l´odeur
C´est son parfum non?
Méchant farceur
Qu´est-ce qu´elle t´a dit?
T´es d´bonne humeur
Moi j´me méfie
Dans un creux d´vague
L´amour zigzague
L´âme divague
Le coeur prend l´eau
T´as eu la chienne
J´ai eu d´la peine
Maudit bonheur
T´as eu ma peau
Maudit bonheur
Qu´est-ce qu´elle t´a dit?
Si elle me cherche
Je suis ici.

[Ladysan]

M'enfin, Golem, il se fait tard et j'ai beaucoup travaillé aujourd'hui.
Bonne nuit à tous les deux et à demain

[M'enfin]

Quelles que soient nos préférences personnelles, il y a toujours deux ennemis à notre bonheur : Le désir et la crainte. Le désir nous dit : "obtient cela", la crainte de son coté nous commande d'éviter certaines choses...

La carotte et le bâton feraient le bonheur de l'âne? Ouais..., dans le fond...., c'est à peu près ce que je crois. Que le bonheur vient avec le malheur et vice-versa! Mais puisqu'il s'agit de faire avancer un âne, j'en profite pour ajouter qu'il s'agirait d'une reptation conceptuelle où nous avançons dans la vie sans savoir où nous serons demain, mais que nous avons l'impression d'aller quelque part, d'évoluer vers quelque chose de mieux. Quel est ce meilleur futur? Bien malin celui qui le saurait!

Dormir....le bonheur parfait!
Bon...heures Lady...zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

[Jipé]

Ce n'est pas un scoop. Il faut vivre tous les jours, pour cela il faut avoir un minimum de classe.

Les suicidés n'ont pas de classe. C'est la honte le suicide.
Le sacrifice je comprends, mais un suicide n'a jamais aidé personne, ni soi ni les autres.

Pour en arriver à se suicider, c'est que la souffrance, qu'elle soit physique ou psychique, est devenue insupportable, ingérable.
On n’a pas le droit de juger un suicidé comme une "honte", on n'a pas vécu ce qu'il a sans doute enduré, son passé ne nous est pas connu, son histoire est la sienne...
Je pense que oui, l'idée du suicide peut aider la personne, c'est au moins durant sa souffrance, savoir qu'il y a cette porte de sortie qui mettra un terme à l'insupportable et cela permet souvent paradoxalement de tenir et de repousser la décision d'en finir.

[Ladysan]

Ce n'est pas un scoop. Il faut vivre tous les jours, pour cela il faut avoir un minimum de classe.

Les suicidés n'ont pas de classe. C'est la honte le suicide.
Le sacrifice je comprends, mais un suicide n'a jamais aidé personne, ni soi ni les autres.

Pour en arriver à se suicider, c'est que la souffrance, qu'elle soit physique ou psychique, est devenue insupportable, ingérable.
On n’a pas le droit de juger un suicidé comme une "honte", on n'a pas vécu ce qu'il a sans doute enduré, son passé ne nous est pas connu, son histoire est la sienne...
Je pense que oui, l'idée du suicide peut aider la personne, c'est au moins durant sa souffrance, savoir qu'il y a cette porte de sortie qui mettra un terme à l'insupportable et cela permet souvent paradoxalement de tenir et de repousser la décision d'en finir.

Je suis d'accord pour dire que "l'idée" du suicide peut-être une porte de secours comme une autre, tant que cela ne fait pas l'objet d'un chantage. (Et je sais de quoi je parles)
Il y a aussi des suicidés par vengeance qui laissent une lettre accusant le partenaire ou un proche d'être la cause de son suicide. Je connais deux cas de ce genre. Deux familles entières détruites à jamais.
Rare sont les personnes qui se suicident "seuls" comme le font ceux, qui en partant demandent pardon à leur proches.

[Ladysan]

J'ai bien aimé le texte de la chanson M'enfin

[M'enfin]

C'est du Michel Rivard, un des grands chansonniers ici, mais qui n'a pas beaucoup tourné chez vous je crois.

[Ladysan]

Quand on a la possibilité d'être heureux, si on en est capable, on doit le devenir, pour l'amour du genre humain. Ensuite, si on y parvient le bonheur devient un état et cet état participe de l'ambiance générale. .

C'est certain ça Golem. Je suis d'accord avec toi, mais avant de vouloir devenir heureux pour l'amour du genre humain, il faudrait peut-être commencer à l'être avant tout pour l'amour de sa famille ou de ses proches...Ce serait déjà un bon départ.
Car combien de gens prônent l'amour universel, alors qu'ils n'arrivent même pas à régler leurs propres conflits familiaux ?

[M'enfin]

À mon avis, ni l'amour ni le bonheur ne sont des panacées. Il faut s'y faire, à moins que Dieu ou les ET ne se pointent, il n'y aura jamais de remède absolu à nos problèmes terrestres.

[Ladysan]

C'est du Michel Rivard, un des grands chansonniers ici, mais qui n'a pas beaucoup tourné chez vous je crois.

Je ne l'avais jamais entendue. Ah ces Québécois, je les adore