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Çà et là deux ou trois photos,
Puis des amis qui se racontent,
Et dont s'agrandit le troupeau,
Avec un outil qui le compte.
Des neufs, des vieux, des rigolos,
Des charcutiers et des vicomtes,
Des qui surfent de leur boulot
(Mais pas besoin d'en avoir honte).
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/paul_scarron/sur_paris.html
Des commentaires instructifs,
Ou quelquefois trop allusifs,
Toute une vie qui se dévoile;
Ecriture de jour, de nuit,
Propageant les différents bruits
Que chacun glane sur la Toile.
Puis des amis qui se racontent,
Et dont s'agrandit le troupeau,
Avec un outil qui le compte.
Des neufs, des vieux, des rigolos,
Des charcutiers et des vicomtes,
Des qui surfent de leur boulot
(Mais pas besoin d'en avoir honte).
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/paul_scarron/sur_paris.html
Des commentaires instructifs,
Ou quelquefois trop allusifs,
Toute une vie qui se dévoile;
Ecriture de jour, de nuit,
Propageant les différents bruits
Que chacun glane sur la Toile.
Re: Facebook
Un jeune garçon vient de se faire tabassé.
Une adolescente lui a tendu un piege sur FACEBOOK en lui donnant faux un rendez-vous.
"Cà et là deux ou trois photos,
Puis des amis qui se racontent,
(mais parfois aussi des ennemis )
Et dont s'agrandit le troupeau,
Avec un outil qui compte"
Une adolescente lui a tendu un piege sur FACEBOOK en lui donnant faux un rendez-vous.
"Cà et là deux ou trois photos,
Puis des amis qui se racontent,
(mais parfois aussi des ennemis )
Et dont s'agrandit le troupeau,
Avec un outil qui compte"
Africain2- Maître du Temps
- Nombre de messages : 952
Localisation : Ici et Ailleurs
Identité métaphysique : Chaman/Gnostique/Totémiste
Humeur : Observateur-Observer
Date d'inscription : 03/05/2011
Re: Facebook
-The sun of Ursula-
Il y avait le soleil d'Ursula
Et ses promesses aux mille enchantements
Il y avait aussi la lune au-delà
Du rythme de ses pleins consentements
Il y avait le Chercheur ravageur
Trapéziste bancale - Roi des sonnets
Il y avait aussi le Chat songeur
Et ses griffes rusées de Midinet
Il y avait du haut de l'empyrée
1 Chercheur du Sublime - l'air de rien -
Il y avait aussi l'ennui empiré
D'embrasement sur le verbe aérien
Il y avait l'effroi de Babylone
Ô ma mie éperdue d'amour folklore
Il y avait aussi l'ironie espionne
Dans les méandres du Facebook d'alors
Il y avait la Muse tragédienne
Prisonnière en la demeure infernale
Purifiée d'inspirs - d'infection canadienne
Symbiose immortelle de fable bacchanale
14/05/2011- Où les mènent leurs jeux-
Il y avait le soleil d'Ursula
Et ses promesses aux mille enchantements
Il y avait aussi la lune au-delà
Du rythme de ses pleins consentements
Il y avait le Chercheur ravageur
Trapéziste bancale - Roi des sonnets
Il y avait aussi le Chat songeur
Et ses griffes rusées de Midinet
Il y avait du haut de l'empyrée
1 Chercheur du Sublime - l'air de rien -
Il y avait aussi l'ennui empiré
D'embrasement sur le verbe aérien
Il y avait l'effroi de Babylone
Ô ma mie éperdue d'amour folklore
Il y avait aussi l'ironie espionne
Dans les méandres du Facebook d'alors
Il y avait la Muse tragédienne
Prisonnière en la demeure infernale
Purifiée d'inspirs - d'infection canadienne
Symbiose immortelle de fable bacchanale
14/05/2011- Où les mènent leurs jeux-
Dernière édition par Bib le Sam 14 Mai 2011 - 17:08, édité 1 fois
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Facebook
Où les mènent leur jeux ..sans enjeux -
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Facebook
Toiles
Un papillon voletait ici et là,
Vivant du soleil, de ses éclats,
Quand il ouï venir des sous bois,
Un rire, un cri, un émoi…
Que d’étonnements éprouvés,
A la vue de ce vieux scarabée,
Qui chantait sa mélancolie,
Ses états d’âme, et puis sa vie…..
Il racontait, foi de coléoptère,
Son enfance, passée sous la terre,
Tel fontaine, intarissable,
Pour tous, il avait une fable…..
Assis sur un fil d’argent,
Doré, mais un poil collant,
Criquets, fourmis et autres insectes,
Lui offrait ici, un certain affect…..
Voici un bien étrange banc,
M’y asseoir, je n’aurai le cran
Et au bout d’un fil argenté,
Souvent on trouve l’arrêt nié
Sûr, la glu abîmerai mes ailes,
Je me pose donc à coté d’icelle,
Permettez, que je ne m’y colle,
De garder, liberté de l’envol….
Quant aux bergeries caprines,
J’y préfère fleurs de glycines,
A être quelque part enfermé,
J’ai choisi, en vérité...ciel étoilé pour geôlier…
Un papillon voletait ici et là,
Vivant du soleil, de ses éclats,
Quand il ouï venir des sous bois,
Un rire, un cri, un émoi…
Que d’étonnements éprouvés,
A la vue de ce vieux scarabée,
Qui chantait sa mélancolie,
Ses états d’âme, et puis sa vie…..
Il racontait, foi de coléoptère,
Son enfance, passée sous la terre,
Tel fontaine, intarissable,
Pour tous, il avait une fable…..
Assis sur un fil d’argent,
Doré, mais un poil collant,
Criquets, fourmis et autres insectes,
Lui offrait ici, un certain affect…..
Voici un bien étrange banc,
M’y asseoir, je n’aurai le cran
Et au bout d’un fil argenté,
Souvent on trouve l’arrêt nié
Sûr, la glu abîmerai mes ailes,
Je me pose donc à coté d’icelle,
Permettez, que je ne m’y colle,
De garder, liberté de l’envol….
Quant aux bergeries caprines,
J’y préfère fleurs de glycines,
A être quelque part enfermé,
J’ai choisi, en vérité...ciel étoilé pour geôlier…
apollonius- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 251
Localisation : Serpentaire
Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Re: Facebook
..Surtout dans la nébuleuse de la Tarentule..
_Bib- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 425
Date d'inscription : 20/03/2011
Re: Facebook
merci, Apollonius, j'aime beaucoup ton poème animalier
Très intéressant à lire en pensant à face-book...
Très intéressant à lire en pensant à face-book...
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nombre de messages : 4073
Localisation : là haut dans les étoiles
Identité métaphysique : qu'importe
Humeur : douce et calme
Date d'inscription : 12/04/2008
Re: Facebook
Le monde de Facebook ressemble parfois à l'île du docteur Moreau, décrite autrefois par H. G. Wells : une ménagerie humanoïde.
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