Pour que la poésie jamais ne meure ...
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JO
Cochonfucius
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_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Aura
L’âme à l’étroit dans le corps
perverti
le regard ne se fixe pas
sur personne
de peur d’être Vu
le temps d’une photo
d’un faux sourire à l’appareil
complice
des gestes qui font vrai
des yeux qui disent faux
des bouts d’âmes dépassent…
L’âme à l’étroit dans le corps
perverti
le regard ne se fixe pas
sur personne
de peur d’être Vu
le temps d’une photo
d’un faux sourire à l’appareil
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des yeux qui disent faux
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allégorie- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Dernier avertissement : le forum n'est pas là pour servir d'exutoire à tes haines et tes allergies qui n'intéressent personne.
Merci de respecter les recommandations qui t'ont été faites à plusieurs reprises pour ne pas perturber le fonctionnement du forum.
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_GERARDMENVUSSA- EXCLU DU FORUM
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Paranoïa
Visages d’ange aux yeux de braises
démons de mon univers
lèvres carnivores au sourire bruyant
je vomis vos paroles mielleuses
d’avoir atteint le cœur de ma souffrance
déchets de mon univers
bouches vaniteuses au sourire jouissant
je piétine vos discours fallacieux
d’avoir si bien éclaboussé mon âme
parasites de mon univers
mélodie venimeuse aux refrains discordants
visages d’ange aux yeux de braise
j’abhorre votre séduisante fausseté
d’avoir contaminé ma liberté !
Chantal, Alma,1998
Visages d’ange aux yeux de braises
démons de mon univers
lèvres carnivores au sourire bruyant
je vomis vos paroles mielleuses
d’avoir atteint le cœur de ma souffrance
déchets de mon univers
bouches vaniteuses au sourire jouissant
je piétine vos discours fallacieux
d’avoir si bien éclaboussé mon âme
parasites de mon univers
mélodie venimeuse aux refrains discordants
visages d’ange aux yeux de braise
j’abhorre votre séduisante fausseté
d’avoir contaminé ma liberté !
Chantal, Alma,1998
Dernière édition par allégorie le Dim 23 Jan 2011 - 14:28, édité 1 fois
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Dans les regrets du temps
Dans les regrets du temps, les chagrins se rappellent
La douceur des printemps, au chant de l’hirondelle.
Les chagrins se rappellent, des promesses volées
Au chant de l'hirondelle, à l'aube de l'été.
Des promesses volées, comme tous les mirages
À l’aube de l’été, font naître ton visage.
Comme tous les mirages, mes illusions déçues
Font naître ton visage, en espoir entrevu.
Mes illusions déçues, dans le chant du ruisseau
En espoir entrevu, forment des ronds dans l’eau.
Dans le chant du ruisseau, les sanglots de l’orage
Forment des ronds dans l’eau, effaçant les nuages.
Les sanglots de l’orage, souvenirs de ta voix
Effaçant les nuages, de la peine à la joie.
Souvenirs de ta voix, qui ondoie dans le vent
De la peine à la joie, dans les regrets du temps.
Chantal, Québec, 2008
Dans les regrets du temps, les chagrins se rappellent
La douceur des printemps, au chant de l’hirondelle.
Les chagrins se rappellent, des promesses volées
Au chant de l'hirondelle, à l'aube de l'été.
Des promesses volées, comme tous les mirages
À l’aube de l’été, font naître ton visage.
Comme tous les mirages, mes illusions déçues
Font naître ton visage, en espoir entrevu.
Mes illusions déçues, dans le chant du ruisseau
En espoir entrevu, forment des ronds dans l’eau.
Dans le chant du ruisseau, les sanglots de l’orage
Forment des ronds dans l’eau, effaçant les nuages.
Les sanglots de l’orage, souvenirs de ta voix
Effaçant les nuages, de la peine à la joie.
Souvenirs de ta voix, qui ondoie dans le vent
De la peine à la joie, dans les regrets du temps.
Chantal, Québec, 2008
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
L'aube de la froidure
L’aube de la froidure t’a surprise dans le soir
Et l’automne abyssal s’enflamma sous ta peau
Elle laissa sa morsure dont tu gardas mémoire
Elle insinua le mal, en toi, point de repos.
Et l’automne abyssal s’enflamma sous ta peau
Elle laissa sa brûlure en ton corps esseulé
Et insinua le mal, en toi, point de repos
Sous une lune obscur' tes pas furent égarés.
Elle laissa sa brûlure en ton corps esseulé
Les caresses d’antan firent vils souvenirs
Sous une lune obscur’ tes pas furent égarés
Et tu grinças des dents à vouloir les honnir.
Les caresses d’antan firent vils souvenirs
Alors tu leur laissas dire un peu du futur
Et tu grinças des dents à vouloir les honnir
Mais tu leur pardonnas l’aube de la froidure.
Chantal, tendresse novembre 2007
L’aube de la froidure t’a surprise dans le soir
Et l’automne abyssal s’enflamma sous ta peau
Elle laissa sa morsure dont tu gardas mémoire
Elle insinua le mal, en toi, point de repos.
Et l’automne abyssal s’enflamma sous ta peau
Elle laissa sa brûlure en ton corps esseulé
Et insinua le mal, en toi, point de repos
Sous une lune obscur' tes pas furent égarés.
Elle laissa sa brûlure en ton corps esseulé
Les caresses d’antan firent vils souvenirs
Sous une lune obscur’ tes pas furent égarés
Et tu grinças des dents à vouloir les honnir.
Les caresses d’antan firent vils souvenirs
Alors tu leur laissas dire un peu du futur
Et tu grinças des dents à vouloir les honnir
Mais tu leur pardonnas l’aube de la froidure.
Chantal, tendresse novembre 2007
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Improductif
Avril a déployé sa force lumineuse,
L'aile du noir corbeau se transforme en miroir
Et les verts marronniers vibreront jusqu'au soir
Du doux frémissement d'abeilles butineuses.
Loin du travail pesant, loin des fêtes ruineuses,
Je sors un papier blanc du fond de mes tiroirs
Et trace quelques vers, ou brèves de comptoir,
Evitant les notions par trop vertigineuses.
Le chat dans mon jardin se recueille, immobile :
Je sais qu'il a pour ça un bien vilain mobile,
Que plus d'un vieil oiseau également connaît.
Aux murs de mon bureau dorment tous mes vieux livres,
Et pas un seul d'entre eux sa science ne délivre :
Dimanche à ne rien faire, ou tout juste un sonnet.
L'aile du noir corbeau se transforme en miroir
Et les verts marronniers vibreront jusqu'au soir
Du doux frémissement d'abeilles butineuses.
Loin du travail pesant, loin des fêtes ruineuses,
Je sors un papier blanc du fond de mes tiroirs
Et trace quelques vers, ou brèves de comptoir,
Evitant les notions par trop vertigineuses.
Le chat dans mon jardin se recueille, immobile :
Je sais qu'il a pour ça un bien vilain mobile,
Que plus d'un vieil oiseau également connaît.
Aux murs de mon bureau dorment tous mes vieux livres,
Et pas un seul d'entre eux sa science ne délivre :
Dimanche à ne rien faire, ou tout juste un sonnet.
Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
la douceur d’avril
ton sourire et tes yeux bleus
tulipes joyeuses.
ton sourire et tes yeux bleus
tulipes joyeuses.
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Renouveau Stéphane Mallarmé (Poésies, 1866)
Le printemps maladif a chassé tristement
L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide,
Et, dans mon être à qui le sang morne préside
L'impuissance s'étire en un long bâillement.
Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau
Et triste, j'erre après un vers vague et beau,
Par les champs où la sève immense se pavane.
Puis je tombe énervé de parfums d'arbres, las,
Et creusant de ma face une fosse à mon rêve,
Mordant la terre chaude où poussent les lilas,
J'attends, en m'abimant que mon ennui s'élève...
- Cependant l'Azur rit sur la haie et l'éveil
De tant d'oiseaux en fleur gazouillant au soleil.
Le printemps maladif a chassé tristement
L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide,
Et, dans mon être à qui le sang morne préside
L'impuissance s'étire en un long bâillement.
Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau
Et triste, j'erre après un vers vague et beau,
Par les champs où la sève immense se pavane.
Puis je tombe énervé de parfums d'arbres, las,
Et creusant de ma face une fosse à mon rêve,
Mordant la terre chaude où poussent les lilas,
J'attends, en m'abimant que mon ennui s'élève...
- Cependant l'Azur rit sur la haie et l'éveil
De tant d'oiseaux en fleur gazouillant au soleil.
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Hommage
Un pauvre doctorant regardait tristement
Deux mandarins pervers. De son regard lucide,
L'étudiant voit celui qui à son sort préside
Soutenir un propos qui semble un bâillement.
Des crépuscules blancs tiédissent sous son crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau,
Et, triste, il erre après un rêve vague et beau
Quand les deux vieux savants ineptes se pavanent.
Il est fort énervé de ces foutaises, las,
Et creusant de sa face une fosse à son rêve,
Voudrait s'en aller par la Porte des Lilas.
Mandarins, pourquoi donc ennuyer vos élèves ?
Faites-vous naître en eux le sourire et l'éveil ?
Vous offrez un couvercle à qui veut un Soleil.
Deux mandarins pervers. De son regard lucide,
L'étudiant voit celui qui à son sort préside
Soutenir un propos qui semble un bâillement.
Des crépuscules blancs tiédissent sous son crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau,
Et, triste, il erre après un rêve vague et beau
Quand les deux vieux savants ineptes se pavanent.
Il est fort énervé de ces foutaises, las,
Et creusant de sa face une fosse à son rêve,
Voudrait s'en aller par la Porte des Lilas.
Mandarins, pourquoi donc ennuyer vos élèves ?
Faites-vous naître en eux le sourire et l'éveil ?
Vous offrez un couvercle à qui veut un Soleil.
Dernière édition par Cochonfucius le Dim 10 Avr 2011 - 17:41, édité 1 fois
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un autre hommage...
Le printemps je le vois arriver tristement,
L'hiver, il fait si froid l'hiver, soyons lucide,
Nous ne nous quittons pas, c'est l'amour qui préside
Même si l'un ou l'autre étouffe un bâillement.
Des crépuscules amers s'agitent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre, prémices du tombeau,
Et seule, j'erre après ton visage si beau,
Par les rues où l'amant d'une autre se pavane.
Puis je tombe, épuisée, nous nous séparons, las,
Et sans perdre la face, je force un peu mon rêve
Pour sentir tes mains chaudes et tes lèvres lilas.
J'attends en soupirant qu'un jour nouveau se lève
Qu'ensemble nous puissions cheminer vers l'éveil
Suivis de chants d'oiseaux montant jusqu'au soleil.
L'hiver, il fait si froid l'hiver, soyons lucide,
Nous ne nous quittons pas, c'est l'amour qui préside
Même si l'un ou l'autre étouffe un bâillement.
Des crépuscules amers s'agitent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre, prémices du tombeau,
Et seule, j'erre après ton visage si beau,
Par les rues où l'amant d'une autre se pavane.
Puis je tombe, épuisée, nous nous séparons, las,
Et sans perdre la face, je force un peu mon rêve
Pour sentir tes mains chaudes et tes lèvres lilas.
J'attends en soupirant qu'un jour nouveau se lève
Qu'ensemble nous puissions cheminer vers l'éveil
Suivis de chants d'oiseaux montant jusqu'au soleil.
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Identité métaphysique : qu'importe
Humeur : douce et calme
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Très joli, Myrrha !
allégorie- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
merci, printemps d'avril!
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Humeur : douce et calme
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Alphonse Allais(1854-1905)
COMPLAINTE AMOUREUSE(je n'ai pu respecter la disposition original)
Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes;
De l'amour qu'en vos yeux je pris,
Sur le champ, vous vous aperçûtes.
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis ?
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les vœux que je vous offris !
En vain je priai, je gémis,
Dans votre dreté vous sûtes
Mépriser tut ce que je fis;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre, que vous lûtes,
Et je ne sais comment vous pûtes,
De sang-froid voir ce que je mis.
Ah! Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassiniez !
QUE LES IMITATEURS SE FASSENT PLAISIR !
COMPLAINTE AMOUREUSE(je n'ai pu respecter la disposition original)
Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes;
De l'amour qu'en vos yeux je pris,
Sur le champ, vous vous aperçûtes.
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis ?
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les vœux que je vous offris !
En vain je priai, je gémis,
Dans votre dreté vous sûtes
Mépriser tut ce que je fis;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre, que vous lûtes,
Et je ne sais comment vous pûtes,
De sang-froid voir ce que je mis.
Ah! Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassiniez !
QUE LES IMITATEURS SE FASSENT PLAISIR !
allégorie- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 05/11/2010
Romance contrefactuelle
Comme je vous avais souri,
Au grand galop vous accourûtes.
Un peu de vin je vous offris
Que bien rapidement vous bûtes,
Et dans cet état un peu gris
Certainement vous vous complûtes.
Puis dans le fin fond de Paris,
Regagner vos quartiers vous dûtes.
Aux alentours de mon abri,
Jamais plus en vue vous ne fûtes.
Donc le sort fit que j'abrégeasse,
Que plus vous ne m'accostassiez,
Sans que trop je m'en inquiétasse,
Non que vous m'indifférassiez...
Au grand galop vous accourûtes.
Un peu de vin je vous offris
Que bien rapidement vous bûtes,
Et dans cet état un peu gris
Certainement vous vous complûtes.
Puis dans le fin fond de Paris,
Regagner vos quartiers vous dûtes.
Aux alentours de mon abri,
Jamais plus en vue vous ne fûtes.
Donc le sort fit que j'abrégeasse,
Que plus vous ne m'accostassiez,
Sans que trop je m'en inquiétasse,
Non que vous m'indifférassiez...
Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
C'est magnifique Cochonfucius, un très bel exercice !
allégorie- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
J'ai eu regret de la grande désuétude de l'imparfait du subjonctif, et j'ai tenté de contribuer à la renaissance de cette conjugaison, vainement, peut-être.
Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...
Excellent exercice, en effet. Cochonfucius.
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
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