Les impostures scientifiques
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Imposture scientifique ou pas ?
Re: Les impostures scientifiques
Je précise que cette remarque, cet appel à la courtoisie est valable pour tout le monde !Magnus a écrit:Et moi, par mesure de salubrité publique, je vous l'ordonne : restez courtois !Pseudo a écrit:Alors, par souci de salubrité publique, je vous l'ordonne : fermez-la. Vous êtes un âne.
Il n'y a pas d'ânes sur ce forum : il y a des personnes avec des avis différents, c'est tout.
Nb : Toute contestation publique et/ou commentaires sur cette modération seront supprimés.
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MES POEMES :
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: Les impostures scientifiques
En définitive, après en avoir délibéré, je m'en vais consulter Diafoirus...
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Les impostures scientifiques
Escape a dit :
Et je viens de lire ton intervention : elle est une parfaite explication.
Mais j'ai déjà lu ce genre de diagnostic, diagnostic qui vaudrait pour une langue et pas pour une autre donc ; l'homophonie ne valant que pour le français dans ce cas précis...
Alors là je suis entièrement d'accord avec toi ! Il y a eu d'ailleurs une étude statistique qui signalait certains petits détails interpellants, comme les patients qui ont sans arrêt des migraines et qui dit d'une manière générale quand il y a un souci "ça me prend la tête" etc... Ainsi que la phrase connue : "les mots qui se transforment en maux" de je ne sais plus quel psy.Mais si l'inconscient est structuré comme un langage (thèse que je trouve valide, de par mes recherches en linguistique et psycholinguistique), alors il est possible qu'une personne francophone à qui on dise << Saints >>, << Saints >>, << Saints >> pour la culpabiliser développe quelque chose au niveau des seins finalement.
Et je viens de lire ton intervention : elle est une parfaite explication.
Oui je caricaturais juste l'explication pour le moins capillotractée de la mort de Camus.Il se pourrait que la discipline que Bulle évoque avec dérision enferme une part de vérité.
Mais j'ai déjà lu ce genre de diagnostic, diagnostic qui vaudrait pour une langue et pas pour une autre donc ; l'homophonie ne valant que pour le français dans ce cas précis...
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Re: Les impostures scientifiques
Alors essayons de pousser plus avant cette étude des impostures.
Voici une étonnante conférence du Pr Luc Montagnier, datée du 8 mars 2000 qui montre combien de questions semblent être encore irrésolues au fur et à mesure que se complique la connaissance des chercheurs.
http://www.canalu.tv/canalu/producteurs/universite_de_tous_les_savoirs/dossier_programmes/les_conferences_de_l_annee_2000/perspective_sur_un_monde_global_et_eclate/virus_et_sida
Plusieurs remarques :
1- Le schéma de l'infection par transmission sexuelle ou par voie utérine est seulement un schéma d'hypothèse. A ma connaissance, aucune étude n'a jamais démontré la traversée des virus à travers une membrane muqueuse (sauf si celle-ci est déchirée ou excoriée). Dans la mesure où déjà, à l'époque de la conférence, une contamination directe par voie de sérum ou de sang était connue (toxicomanes, transmission du Sida de la mère à l'enfant) il est curieux qu'il n'évoque pas ce mode de transmission comme le premier à décrire.
2- On y apprend que le virus du Sida, un rétrovirus du genre lentivirus pourrait servir à provoquer des mutations de l'ADN des neurones, cellules qui ne se divisent pas et qui ne peuvent donc pas être modifiées par des agents chimiques.
3- On y apprend aussi que les recherches sur un vaccin contre le Sida doivent conduire à un vaccin thérapeutique. Normalement un vaccin est un produit préventif obtenu par la présence d'agents viraux atténués. Or le but d'un vaccin est de provoquer une immunité, comme dans le cas de la rage et donc, son rôle devrait d'abord être préventif plutôt que curatif, l'aspect curatif étant habituellement réservés aux sérums, ces sérums contenant les anticorps capables de guérir. Ici ils cherchent à faire un combiné vaccin-sérum.
4- L'une des phrases clés qui montre que tout cela est douteux est la suivante : "On n'a jamais vu un séropositif devenir séronégatif". Tous ceux qui se sont penchés sur les livres d'immunologie savent que la séropositivité, quel que soit l'antigène ou l'agent étranger qui est introduit dans l'organisme, est l'état que l'on détecte dans le sang lorsque le système immunitaire a correctement pris en charge la lutte contre l'antigène ou l'agent étranger, et donc, il est rare d'admettre que la séropositivité soit un inconvénient à la bonne santé, même si on connait le cas du choc anaphylactique. Généralement, lorsqu'on a eu certaines maladies virales, comme les oreillons ou la varicelle, ces maladies sont définitivement enrayées. Alors il est curieux de voir que l'objectif du Pr Montagnier soit que des séropositifs deviennent séronégatifs.
5- On y apprend aussi que le virus de l'herpès est responsable du sarcome de Kaposi, alors qu'en 1994, dans une revue de toxicologie, ce cancer a été directement associé à la prise de poppers par la communauté homosexuelle mâle de San Francisco. Il n'en parle pas. L'hypothèse du virus de l'herpès date de 1922. En 2000, le Pr Montagnier présente la même histoire.
6- A écouter également les 3° et 4° questions posées.
Mais finalement, si il reconnaît que des cofacteurs peuvent moduler l'action des virus, c'est que le virus à lui seul ne suffit pas à expliquer le Sida. Et le plus fort, c'est qu'il tient un discours encore plus incroyable lors du colloque de Lugano consacré à Jacques Benveniste dont certaines idées inspirent désormais la lute contre le Sida.
Les conséquences sur les recherches de Benveniste et au-delà, sur le bien-fondé de l'homéopathie sont considérables.
Sur les deux vidéos, c'est la seconde qui est essentielle, malgré un son larsen constant. Mais on arrive bien à suivre le sujet. La première vidéo qui commence en Italien, contient aussi du français. Montagnier y fait quelques réflexions qui montrent bien que l'on n'est sûr de rien.
http://www.colombre.it/montagnier
En gros, l'eau à une dilution de 10 puissance -18 (absence de virus et de macromolécules) contient des structures qui sont électromagnétiquement détectables et qui produisent un signal électromagnétique identique à celui qui est détecté en présence de virus. Une information est donc transmissible même en l'absence de particules détectables.
Enfin, pour montrer que tout cela n'empêche nullement la propagande et le conditionnement des esprits, voici un très court flash produit par le groupe Lagardère qui est spécialiste de l'armement et aussi, entre autres, de bon nombre d'émissions télé pour enfants.
Voici une étonnante conférence du Pr Luc Montagnier, datée du 8 mars 2000 qui montre combien de questions semblent être encore irrésolues au fur et à mesure que se complique la connaissance des chercheurs.
http://www.canalu.tv/canalu/producteurs/universite_de_tous_les_savoirs/dossier_programmes/les_conferences_de_l_annee_2000/perspective_sur_un_monde_global_et_eclate/virus_et_sida
Plusieurs remarques :
1- Le schéma de l'infection par transmission sexuelle ou par voie utérine est seulement un schéma d'hypothèse. A ma connaissance, aucune étude n'a jamais démontré la traversée des virus à travers une membrane muqueuse (sauf si celle-ci est déchirée ou excoriée). Dans la mesure où déjà, à l'époque de la conférence, une contamination directe par voie de sérum ou de sang était connue (toxicomanes, transmission du Sida de la mère à l'enfant) il est curieux qu'il n'évoque pas ce mode de transmission comme le premier à décrire.
2- On y apprend que le virus du Sida, un rétrovirus du genre lentivirus pourrait servir à provoquer des mutations de l'ADN des neurones, cellules qui ne se divisent pas et qui ne peuvent donc pas être modifiées par des agents chimiques.
3- On y apprend aussi que les recherches sur un vaccin contre le Sida doivent conduire à un vaccin thérapeutique. Normalement un vaccin est un produit préventif obtenu par la présence d'agents viraux atténués. Or le but d'un vaccin est de provoquer une immunité, comme dans le cas de la rage et donc, son rôle devrait d'abord être préventif plutôt que curatif, l'aspect curatif étant habituellement réservés aux sérums, ces sérums contenant les anticorps capables de guérir. Ici ils cherchent à faire un combiné vaccin-sérum.
4- L'une des phrases clés qui montre que tout cela est douteux est la suivante : "On n'a jamais vu un séropositif devenir séronégatif". Tous ceux qui se sont penchés sur les livres d'immunologie savent que la séropositivité, quel que soit l'antigène ou l'agent étranger qui est introduit dans l'organisme, est l'état que l'on détecte dans le sang lorsque le système immunitaire a correctement pris en charge la lutte contre l'antigène ou l'agent étranger, et donc, il est rare d'admettre que la séropositivité soit un inconvénient à la bonne santé, même si on connait le cas du choc anaphylactique. Généralement, lorsqu'on a eu certaines maladies virales, comme les oreillons ou la varicelle, ces maladies sont définitivement enrayées. Alors il est curieux de voir que l'objectif du Pr Montagnier soit que des séropositifs deviennent séronégatifs.
5- On y apprend aussi que le virus de l'herpès est responsable du sarcome de Kaposi, alors qu'en 1994, dans une revue de toxicologie, ce cancer a été directement associé à la prise de poppers par la communauté homosexuelle mâle de San Francisco. Il n'en parle pas. L'hypothèse du virus de l'herpès date de 1922. En 2000, le Pr Montagnier présente la même histoire.
6- A écouter également les 3° et 4° questions posées.
Mais finalement, si il reconnaît que des cofacteurs peuvent moduler l'action des virus, c'est que le virus à lui seul ne suffit pas à expliquer le Sida. Et le plus fort, c'est qu'il tient un discours encore plus incroyable lors du colloque de Lugano consacré à Jacques Benveniste dont certaines idées inspirent désormais la lute contre le Sida.
Caillou a écrit:Hahnemann avait beaucoup de points " théoriques", au delà de soigner le mal par le mal. Excuse moi de m'étendre sur le sujet mais l'homéopathie comme principe scientifique c'est vraiment du bidon.
or des principes comme ceux de l'homéopathie d'Hahnemann sont soit faux soit improuvables.
Les conséquences sur les recherches de Benveniste et au-delà, sur le bien-fondé de l'homéopathie sont considérables.
Sur les deux vidéos, c'est la seconde qui est essentielle, malgré un son larsen constant. Mais on arrive bien à suivre le sujet. La première vidéo qui commence en Italien, contient aussi du français. Montagnier y fait quelques réflexions qui montrent bien que l'on n'est sûr de rien.
http://www.colombre.it/montagnier
En gros, l'eau à une dilution de 10 puissance -18 (absence de virus et de macromolécules) contient des structures qui sont électromagnétiquement détectables et qui produisent un signal électromagnétique identique à celui qui est détecté en présence de virus. Une information est donc transmissible même en l'absence de particules détectables.
Enfin, pour montrer que tout cela n'empêche nullement la propagande et le conditionnement des esprits, voici un très court flash produit par le groupe Lagardère qui est spécialiste de l'armement et aussi, entre autres, de bon nombre d'émissions télé pour enfants.
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Les impostures scientifiques
En fait, on peut expliquer la mort de Camus de manière pansémiotique... jusqu'à un certain point.
Par exemple, il meurt en allant à Sens. Or Camus est le philosophe du sens, et même, du Sens. Camus avait-il, consciemment ou inconsciemment, des idées suicidaires ? Supposons que oui, dans ce cas, ces << idées >> ont pu faire système et << rebondir >> sur l'analogie Sens (ville) / sens (signification) pour lui suggérer de se tuer à ce moment-là. Ensuite, il suffit qu'un détail sur la route se prête à son tour à ce jeu, et hop ! le platane !
Ce sont ces concours de circonstances (ici, de l'ensemble [psychologie de Camus]-[langue française]-[route]-[voiture]) que j'appelle l'<< inconscient du monde >>. J'en discute // ---> dans ce topic //.
Par exemple, il meurt en allant à Sens. Or Camus est le philosophe du sens, et même, du Sens. Camus avait-il, consciemment ou inconsciemment, des idées suicidaires ? Supposons que oui, dans ce cas, ces << idées >> ont pu faire système et << rebondir >> sur l'analogie Sens (ville) / sens (signification) pour lui suggérer de se tuer à ce moment-là. Ensuite, il suffit qu'un détail sur la route se prête à son tour à ce jeu, et hop ! le platane !
Ce sont ces concours de circonstances (ici, de l'ensemble [psychologie de Camus]-[langue française]-[route]-[voiture]) que j'appelle l'<< inconscient du monde >>. J'en discute // ---> dans ce topic //.
Invité- Invité
Re: Les impostures scientifiques
Escape a écrit:Mais si l'inconscient est structuré comme un langage (thèse que je trouve valide, de par mes recherches en linguistique et psycholinguistique), alors il est possible qu'une personne francophone à qui on dise << Saints >>, << Saints >>, << Saints >> pour la culpabiliser développe quelque chose au niveau des seins finalement.Bulle a écrit:Alors là je suis entièrement d'accord avec toi ! Il y a eu d'ailleurs une étude statistique qui signalait certains petits détails interpellants, comme les patients qui ont sans arrêt des migraines et qui dit d'une manière générale quand il y a un souci "ça me prend la tête" etc... Ainsi que la phrase connue : "les mots qui se transforment en maux" de je ne sais plus quel psy.
faut absolument que j'arrête de dire "ça me casse les couilles". ma maman m'avait pourtant dit que ce n'est pas bien de s'exprimer r'ainsi, mais personne ne m'avait parlé des conséquences dramatiques que pouvaient entraîner cette facheuse habitude psycholinguistique.
Dernière édition par zelda le Jeu 9 Juil 2009 - 15:46, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les impostures scientifiques
La France achète 100 millions de vaccins à 4 laboratoires . 700 millions d'euros . Par ici la monnaie ! ( Libé de ce jour )
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Les impostures scientifiques
C'est certainement avec l'argent de l'emprunt d'état de Sarközy. J'ai lu que 90% des gens n'ont pas confiance.La France achète 100 millions de vaccins à 4 laboratoires . 700 millions d'euros . Par ici la monnaie ! ( Libé de ce jour )
Au Québec, ce vaccin sera obligatoire en septembre pour toute la population. En France, le ministre de la santé, J Bachelot l'a annoncé facultatif, mais cela pourrait nécessairement changer d'ici Septembre.
En tous cas, on ne peut pas être entièrement dupés. Voici une interview du Pr de Harven, qui était spécialiste de biologie moléculaire et de microscopie électronique sur les rétrovirus, à New York, puis en tant que professeur à l'université de l'Ontario.
Très instructif. A lire ce qu'il raconte de la période antérieure au Sida ICI. Je confirme qu'un responsable de recherche passe au minimum 50% de son temps en activité purement administrative. J'ai moi aussi vécu cela.
Enfin, que font nos députés ?
Stupéfiant, non ?
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Les impostures scientifiques
Merci pour ta video Ilibade,
J'avais préparé du même site cette video très pédagogique : le bilan de 20 ans de recherches. Elle date de 2003
Un peu long mais à ne pas louper !
A voir ici
Toutes les explications sont claires et précises en particulier pour les caractéristiques particulières de ce rétrovirus dont les variations du virus lors du passage d’une espèce à une autre, et c’est là qu’est intervenu le facteur pathogène qui donne une maladie mortelle. L’explication est tout à fait claire.
L’action des antiretroviraux : frein important de la production de virus dans le corps ; ils ne guérissent pas mais ont un effet suspensif ; les limites de ces traitements avec leurs effets secondaires qui parfois obligent à l’arrêt ; donc la maladie réapparait mais avec une modification légère du virus qui fera qu’il risque d’échapper à tout traitement.
Le cas du syndrôme de Kaposy est également abordé. Ainsi que les problèmes de la thérapie génique.
Je trouve la conclusion d’une intelligence remarquable parce qu’elle remet les pendules à l’heure par rapport aux moyens que le corps a pour se défendre seul contre les maladies sans l’aide des médicaments. Bon c’est vrai que ça prend parfois un peu trop de milliers d’années et qu’on préfère guérir avant de mourir !
Pour revenir à tes commentaires Ilibade :
Larousse dit :
J'avais préparé du même site cette video très pédagogique : le bilan de 20 ans de recherches. Elle date de 2003
Un peu long mais à ne pas louper !
A voir ici
Toutes les explications sont claires et précises en particulier pour les caractéristiques particulières de ce rétrovirus dont les variations du virus lors du passage d’une espèce à une autre, et c’est là qu’est intervenu le facteur pathogène qui donne une maladie mortelle. L’explication est tout à fait claire.
L’action des antiretroviraux : frein important de la production de virus dans le corps ; ils ne guérissent pas mais ont un effet suspensif ; les limites de ces traitements avec leurs effets secondaires qui parfois obligent à l’arrêt ; donc la maladie réapparait mais avec une modification légère du virus qui fera qu’il risque d’échapper à tout traitement.
Le cas du syndrôme de Kaposy est également abordé. Ainsi que les problèmes de la thérapie génique.
Je trouve la conclusion d’une intelligence remarquable parce qu’elle remet les pendules à l’heure par rapport aux moyens que le corps a pour se défendre seul contre les maladies sans l’aide des médicaments. Bon c’est vrai que ça prend parfois un peu trop de milliers d’années et qu’on préfère guérir avant de mourir !
Pour revenir à tes commentaires Ilibade :
Il y a des muqueuses perméables et entre autre : la muqueuse buccale, nasales, la muqueuse vaginale et la muqueuse rectale. Comment se transmet la grippe à ton avis ?A ma connaissance, aucune étude n'a jamais démontré la traversée des virus à travers une membrane muqueuse (sauf si celle-ci est déchirée ou excoriée).
Non un vaccin peut également servir à stimuler les défenses immunitaires lorsqu’elles sont déficientes.Or le but d'un vaccin est de provoquer une immunité, comme dans le cas de la rage et donc, son rôle devrait d'abord être préventif plutôt que curatif, l'aspect curatif étant habituellement réservés aux sérums, ces sérums contenant les anticorps capables de guérir. Ici ils cherchent à faire un combiné vaccin-sérum.
Larousse dit :
Et la méthode est utilisée pour d'autres maladies.Substance d'origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l'immunité à l'égard de l'infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l'égard d'autres infections.
Substance microbienne analogue, mais utilisée dans un dessein curatif et non plus préventif.
Qu’est-ce qu’il y a de douteux là dedans ?L'une des phrases clés qui montre que tout cela est douteux est la suivante : "On n'a jamais vu un séropositif devenir séronégatif".
C’est clairement expliqué dans la video de l’inserm…Mais finalement, si il reconnaît que des cofacteurs peuvent moduler l'action des virus, c'est que le virus à lui seul ne suffit pas à expliquer le Sida
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Re: Les impostures scientifiques
Tout d'abord, cette vidéo n'explique pas 20 ans de recherches, car il y a plein de choses inavouables que le Pr Ameisen aurait du dire pour expliquer ce que De Harven a exposé et que l'on retrouve assez fidèlement dans les traités de virologie antérieurs à la découverte du Sida.
Alors je vous propose d'analyser cette conférence afin de décrypter ce qui se prépare en clair pour les populations. La première chose c'est d'explorer point par point les grandes idées de sa conférence. Si ce qu'il évoque n'a pas de réalité scientifique, cette conférence est cependant très utile pour tenter de deviner ce qu'on cherche à mettre au point. J'ai pris des notes en résumant les idées.
La France a aussi investi un nouveau laboratoire de production dans la nouvelle Pharmacie centrale des armées, capable d'être aux normes FDA (US) sur le plan des méthodes et des exigences qualité, afin de pouvoir lancer de grandes quantités de produits génériques. Cette nouvelle PCA a été inaugurée en 2003. Si le problème s'est posé en occident dans les pays riches, il se pose nécessairement aux pays pauvres.
(A suivre)
Alors je vous propose d'analyser cette conférence afin de décrypter ce qui se prépare en clair pour les populations. La première chose c'est d'explorer point par point les grandes idées de sa conférence. Si ce qu'il évoque n'a pas de réalité scientifique, cette conférence est cependant très utile pour tenter de deviner ce qu'on cherche à mettre au point. J'ai pris des notes en résumant les idées.
Une introduction de près de 5 minutes sans intérêt. Quels rapports entre médecin et malade ont-ils été changé ? Habituellement, un malade consulte un médecin qui lui propose une prise en charge de son problème. Ce qui a pu changer concerne la manière dont sont validées les affirmations des plus éminents instituts.L'Inserm est très impliqué dans la recherche dur le Sida aux côtés de l'Agence nationale de recherche sur le Sida. A côté des recherches proprement médicales, d'autres domaines concernent le Sida notamment les recherches en prévention, épidémiologie, sciences sociales, etc.
Le sida a posé le problème d'une maladie infectieuse extrêmement grave (traitée sous tous les domaines). Il a entraîné un problème aigu de discrimination des patients transmis par voie sexuelle ou sanguine. Le Sida a changé les rapports entre médecins et malades. Les patients ont participé de façon active à l'élaboration et au tests des médicaments.
Ceci est purement mensonger. C'est l'Afrique du Sud qui a refusé d'acheter des produits qu'elle jugeait hors de prix, ce qui a entraîné une réaction partout dans le monde, des pays pauvres, et notamment en Thaïlande. En voici un reportage complet :La maladie actuellement se propage fortement dans les pays pauvres. Cela a donc changé les rapports entre pays riches et pays pauvres en matière de santé. Pour la première fois, s'est posé le problème d'essayer de donner accès à des traitements nouveaux et chers à des patients qui n'avaient pas les moyens économiques de les acquérir. Cela a changé aussi les relations entre l'industrie pharmaceutique, la communauté médicale et la communauté internationale, puisque il a été admis pour la première fois que des médicaments génériques soient en mesure de remplacer des médicaments d'origine plus chers.
La France a aussi investi un nouveau laboratoire de production dans la nouvelle Pharmacie centrale des armées, capable d'être aux normes FDA (US) sur le plan des méthodes et des exigences qualité, afin de pouvoir lancer de grandes quantités de produits génériques. Cette nouvelle PCA a été inaugurée en 2003. Si le problème s'est posé en occident dans les pays riches, il se pose nécessairement aux pays pauvres.
Evidemment, il n'y a pas que le Sida. Le reportage parle du paludisme qui est bien plus inquiétant en Afrique que le Sida. Mais surtout, cela signifie que les gouvernements protestent contre le régime des brevets. L'Afrique du Sud en plus, conteste la version officielle sur le Sida. Pour le gouvernement de l'Afrique du Sud et celui de la Tanzanie, il n'y a pas de progression du Sida en Afrique subsaharienne.Cela a changé des choses vis-à-vis de la maladie du Sida, mais aussi vis-à-vis de toute une série de maladies
Lorsqu'une maladie infectieuse se propage, il y a naturellement augmentation des malades. La situation que décrit le Pr Ameisen est donc identique à une maladie dont on n'a aucun moyen de lutte. Il annonce clairement que la trithérapie n'est pas la solution définitive.Tout cela se passe sur un fond tragique. Il y a actuellement pratiquement 40 millions de personnes qui sont infectées par le virus dans le monde. L'immense majorité se trouve dans les pays pauvres : Afrique, Asie et Amérique du Sud. L'infection se propage dans ces pays de manière assez rapide. Il y a eu à peu près 20 millions de morts depuis l'apparition de la maladie. En 2001, il y a eu 3 millions de morts. A partir du moment où la maladie se propage, il y a augmentation de la mortalité. A cause de l'arrivée de traitements il y a 6 à 7 ans (trithérapie 1996) qui ont pu permettre de donner l'impression que le problème était résolu du fait de l'arrêt de progression dans les pays riches.
Ceci ne correspond pas à la description des rétrovirus. Cette idée qu'un virus peut rester latent plusieurs années dans une cellule infectée date de 1922, lorsqu'un article a prétendu que le virus de l'herpès se maintenait "endormi". Le principal inconvénient de cette explication, c'est qu'aucune cellule hôte hébergeant un virus ne peut se maintenir en vie au delà d'une de durée moyenne de vie de sa lignée. Surtout, les lymphocytes sont constamment remplacés afin que le système immunitaire puisse actualiser les informations antigéniques qui sont recherchées au fur et à mesure des rencontres avec les corps étrangers à identifier et éliminer. Donc, il faut admettre qu'un virus hébergé durablement dans un lymphocyte et qui ne s'est pas encore reproduit est éjecté de la cellule lorsque celle-ci meurt, afin de réinfecter une autre cellule nouvelle. Et tout cela, pendant des durées très longues. Le problème, comme le dit Duesberg dans son livre, c'est qu'il faut l'observer dans l'organisme pour en être certain. Il affirme en plus que ce serait un comportement nouveau des rétrovirus.PARTICULARITES DU VIRUS DU SIDA
1- Les rétrovirus ont besoin de placer leur gènes dans les chromosomes cellulaires et il peuvent ainsi rester plusieurs années avant que leur reproduction n'ait effectivement lieu. Ce virus peut donc infecter de façon persistante un individu. C'est la raison pour laquelle ce virus n'est pas éliminé du corps infecté. Dans le cas de la grippe, si l'individu infecté arrive à produire des défenses contre le virus grippal, le virus est alors éliminé. Les rétrovirus persistent malgré les défenses de l'organisme et ils persistent pendant toute la durée de la vie d'un individu.
Comment cela peut-il se faire ? Est-ce que subitement, les virus endormis dans une cellule commencent alors à se multiplier ? Qu'est-ce qui déclenche alors ce mécanisme ? Pourquoi, les virus ne continuent-ils pas à dormir paisiblement ?2- Notre système immunitaire est très perfectionné. Il contient des milliards de cellules capables de s'attaquer sélectivement à des agents infectieux. La particularité du virus du Sida est d'infecter les cellules du système immunitaire, les lymphocytes, pour se reproduire. Cela aboutit à toute une série de dérèglements du système de défense qui a alors du mal à fonctionner. Cela peut aboutir au bout de plusieurs années à l'effondrement d'une grande partie de ces cellules de défense
Les traitements antiviraux sont censés empêcher ou freiner la multiplication des virus dans les lymphocytes infectés. Dans la mesure où ces virus sont endormis et non multipliés, quel genre d'efficacité peut-on attendre de médicaments qui bloquent ou freinent la multiplication des virus lorsque celle-ci ne se produit pas, les virus étant "endormis" dans les chromosomes du lymphocyte ? De même, quel est le réel inconvénient d'un changement des virus (dormant ou éveillés) vis-à-vis de médicaments qui freinent le mécanisme de réplication des cellules hôtes qui, elles, ne changent pas ? Même si les virus changent, en quoi cela affecte-t-il le mécanisme cellulaire de leur multiplication ?3- La troisième particularité du virus du Sida est sa capacité à changer, à muter et à devenir différent, chaque fois qu'il passe d'une cellule à une autre cellule. Cela entraîne qu'il développe une sorte de résistance aux traitements antiviraux. Au bout d'un certain temps, il y a échappement de ces virus à l'efficacité thérapeutique.
Il n'y a chez l'homme aucun rétrovirus responsable de maladie en dehors de celui du Sida. Avant 1983, tous les rétrovirus connus étaient liés à des maladies chez les animaux, mais aucune maladie humaine n'était rapportée à un rétrovirus, même pas la leucémie myéloïde chronique (LMC). L'hypothèse du HTLV pour la LMC (qui a juste précédé celle du Sida) est du même ordre que celle du VIH pour le Sida. le Pr Duesberg, avec d'autres spécialistes, affirme que les rétrovirus sont non pathogènes chez l'homme.4- La quatrième et dernière particularité de ce virus est d'être particulièrement pathogène, c'est-à-dire qu'il entraîne un pourcentage élevé de malades chez une population humaine infectée. Il y a d'autres rétrovirus qui causent d'autres maladies qui ne sont pas le Sida, comme HTLV-A, qui peuvent provoquer des maladies inflammatoires ou des leucémies, selon l'endroit où les gens sont infectés, pouvant évoluer vers des cancers. Le virus du Sida entraîne partout la maladie. Le HTLV transmis de la mère à l'enfant entraîne chez les populations côtières du Japon une leucémie plusieurs années plus tard, vers l'âge de 50 ans. Le virus du Sida entraîne une maladie à plus de 95% des cas des populations infectées en seulement 10 ans. La raison de cela n'est pour l'instant pas connue.
(A suivre)
Dernière édition par Ilibade le Ven 10 Juil 2009 - 6:12, édité 1 fois
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Les impostures scientifiques
Cette thèse est invérifiable. Elle est liée à un groupe de hollandais et d'américains statisticiens qui ont réalisé un programme de calcul destiné à remonter en arrière dans le temps afin de savoir à quel moment les virus VIH de la famille VIH1 (qui comporte plusieurs branches), ont eu un ancêtre commun. C'est-à-dire qu'on espère nous faire croire qu'il existe une évolution du virus (évoquée aussi par Ameisen dans sa conférence un peu après) comme si les virus se reproduisaient entre eux et non à travers un système hôte et disposaient d'une réalité génétique indépendante. Un modèle comparable à l'évolution des espèces qui établirait un ancêtre commun militerait en faveur de cette idée que les virus sont des êtres vivants capables de vivre isolément. Le seul problème, c'est que les virus ne sont pas considérés comme des êtres vivants, disposant d'une identité génétique et biologique comme cela est le cas des végétaux et des animaux ou des bactéries. Ce sont des bouts de code ADN ou ARN qui proviennent généralement de systèmes hôtes. Ainsi, l'être humain fabrique ses propres rétrovirus qui sont alors appelés endogènes et qui ne sont pas considérés par le système immunitaire comme étrangers, mais comme faisant partie de l'individu qui les a fabriqué. Quelle est alors la pertinence d'un ancêtre commun chez les virus, puisque leur évolution dépend de celle des hôtes dont ils sont issus ? Quant au singe d'Asie, voir ma réponse plus loin.D'OÙ VIENT CE VIRUS ?
Ce virus, depuis au moins une cinquantaine d'années, est passé des êtres qu'il infectait, des singes africains à l'homme. C'est donc un cas de passage d'une infection d'une espèce animale à l'espèce humaine. C'est très fréquent et on pense que les virus sont d'origine animale et que le passage s'est fait au début de la domestication de certaines espèces. Le virus du Sida est passé à l'espèce humaine il y a environ 50 ans à partir du singe. Il provoque chez l'homme une maladie à plus de 95% des cas, alors qu'il n'entraîne chez le singe aucune maladie. Le Sida est donc une infection accidentelle. Le singe d'Asie n'est pas infecté naturellement par ce virus. Lorsque les singes d'Asie sont infectés au contact de l'homme, ils font une maladie mortelle.
En gros, c'est à partir de là que la conférence devient intéressante pour ceux qui ont des connaissances en biologie et en médecine. On nous dit que chez les singes, c'est par une hécatombe (une pandémie simiesque) que les quelques individus résistants au virus ont pu recréer une population qui vivait alors en harmonie ou en symbiose avec le virus devenu ainsi commensal ou en tous cas toléré. Et donc, pour l'être humain, tout le problème est que nous évitions bien entendu cette hécatombe. Il faut bien comprendre que depuis 1983, on nous explique que le Sida est une maladie liée à un virus qui se transmet par la voie sexuelle ou par voie sanguine (par exemple à travers le cordon ombilical) et que cette infection est TRES contagieuse, que son traitement n'est pas curatif et qu'il faut donc envisager que, malgré le traitement à vie, tout cela finisse par une hécatombe. En plus, comme la séropositivité n'exclut pas que le virus soit de facto dans des cellules du système immunitaire, et que le foetus est dépourvu de son propre système de défense durant la gestation, le virus a donc toutes les chances d'être transféré aux nouveaux nés dans le ventre de leur mère, ce qui, s'ajoutant aux effets de la contagion et aux effets de transmission entre les espèces animales, même accidentelle, on est encore conduit naturellement à penser qu'une telle hécatombe est OBLIGEE de se produire. Ce n'est qu'une question de temps.On peut imaginer que ce virus, introduit accidentellement par une "maladaptation" chez l'homme puisse dans un certain délai adopter une situation plus équilibrée et puisse infecter l'homme sans provoquer de maladie. On peut aussi penser que chez les singes d'Afrique, ce virus a pu atteindre cet état d'équilibre en provoquant une hécatombe qui a sélectionné des singes survivants, résistant aux aspects pathogènes du virus. Une des approches médicales du Sida est de rechercher comment procurer aux malades infectés cette capacité de résistance au virus afin d'atteindre l'état d'équilibre. L'autre approche qui fut la première en matière de recherches, est d'empêcher le virus de se multiplier afin de réduire le nombre des virus. La dernière approche est de chercher comment transformer le système immunitaire afin qu'il puisse rester fonctionnel et ne pas s'effondrer.
Toutefois, les chercheurs de la thèse officielle, qui sont absolument certains d'émettre des faits scientifiques, ne désespèrent pas de trouver une astuce qui permettrait de procurer l'état de tolérance au virus, sans toutefois attendre que l'hécatombe ait eu lieu et qu'il reste quelques survivants qui relanceront l'espèce. Or ce phénomène de tolérance est parfaitement connu en immunologie et immunopathologie, et même on peut le provoquer. Mais il s'agit alors de provoquer une déficience immunitaire, qui empêche le système immunitaire de s'attaquer à des agents pathogènes, lutte qui est toujours suivie de la mort d'un certain nombre de lymphocytes et d'autres cellules cibles des agents pathogènes. La tolérance immunitaire est une façon de désamorcer le système immunitaire en le mettant en veilleuse et en empêchant la réaction de défense. Cela revient donc à provoquer une immunodéficience. Or le Sida EST une immunodéficience. Le risque de la tolérance immunitaire est bien évidemment l'hécatombe à moyen terme.
Des essais de contamination de singes même d'Asie par le VIH ou son équivalent simien, le VIS, n'ont jamais donné la moindre maladie chez le singe. Il y a donc là dans la conférence un pur mensonge. De même, puisque le VIH est apparu en Afrique, on peut se poser la question du début de l'Epidémie du Sida chez les homosexuels. Aucun n'avait été en Afrique, n'avait eu de partenaire africain, ni ne possédait de singe. En plus, des 5 premiers sidéens, aucun n'avait connu les quatre autres. On en a quand même déduit que la transmission était sexuelle alors même que l'on savait pertinemment qu'ils étaient tous héroïnomanes, et que l'immunodéficience et ses conséquences sont connues chez les héroïnomanes depuis le tout début du 20° siècle.
Alors pour bien comprendre les antiviraux (ou antirétroviraux), il faut savoir que pour bloquer la multiplication des virus, il faut aussi bloquer tout le processus de réplication de la cellule. On le fait très bien par des bloquants enzymatiques qui empêchent la division de la cellule cancéreuse. Et donc, les antiviraux sont aussi des médicaments qui empêchent la division des cellules. Tout le problème est de savoir comment bloquer la division cellulaire des cellules qu'on veut traiter et pas des autres cellules. Comment empêcher la multiplication des virus dans les lymphocytes infectés et pas dans les autres et surtout, sans empêcher les autres catégories de cellules d'avoir une vie normale. Est-ce qu'on est arrivé à réaliser cela en chimiothérapie ? La réponse est NON.
Les médicaments antirétroviraux.
C'est la principale avancée de la recherche. Ces médicaments sont destinés à empêcher les cellules de multiplier le virus. Cela entraîne une diminution considérable du nombre des virus capable d'infecter d'autres individus. Il y a peu d'antiviraux. La recherche a cherché à bloquer certains enzymes liés à cette multiplication. Il existe deux familles de produits qui permette de réduire la quantité de virus pendant quelques mois. C'est une action purement suspensive (freinatrice) et non curative. Il faut les prendre autant que de besoin. Cela veut dire que tant qu'on les ingurgite, le traitement freine la multiplication virale sans la bloquer complètement. C'est une thérapie à vie : 30 ans, 40 ans 50 ans. Ces traitements sont lourds. ils ont des effets secondaires très lourds qui imposent parfois des arrêts de traitement.
Dans le tout début du traitement du Sida, on utilisait un ancien anticancéreux, l'AZT, qui était déjà un inhibiteur d'un enzyme appelé transcriptase inverse. Pourquoi un médicament anticancéreux qui bloque un enzyme spécifique de la multiplication des rétrovirus ? Et bien, dès la découverte des rétrovirus dans les années 50, on s'est posé la question de leur implication dans la formation des cancers. On a même envisagé une famille de rétrovirus appelée oncovirus ou virus cancérigènes. Evidemment, ce n'était à l'époque qu'une simple hypothèse liée au fait que les rétrovirus chez les animaux sont parfois présents de façon typique avec certaines maladies et peuvent même les provoquer. Et donc, comme dans ces maladies, il y avait parfois des cancers animaux, on a foncé sur cette hypothèse pour l'homme et traité ainsi les cancers. L'AZT a été mise au point par Horowitz en 1964. Elle a été utilisée à des doses si toxiques que les malades ne résistaient pas au traitement et qu'ils mourraient de l'AZT (au lieu de mourir du cancer). Elle a donc été interdite. Comme par ailleurs, on ne progressait pas dans l'étude des oncovirus chez l'homme, l'industrie pharmaceutique recherchait tout moyen de trouver un lien entre cancer et rétrovirus. C'est le LAV de Montagnier qui va servir cette cause. Au même instant, Gallo essaye d'imputer le Sida au HTLV, virus censé être responsable de la LMC. Ne parvenant pas à isoler le HTLV dans le sang des malades du Sida, il se fait envoyer un peu de la culture du LAV par l'Institut Pasteur. Puis il annonce quelques mois plus tard avoir trouvé le virus du Sida. Lors de son procès au début des années 90, il sera confondu et il avouera avoir menti. Toutefois, cela ne l'empêche pas dès 1983 de commencer à exploiter l'AZT mais sous forme atténuée, afin d'éviter les effets secondaires trop violents. Les essais et autorisations de mise sur le marché sont expéditives et donc négligées. Les doses de l'AZT et de deux autres produits équivalents ont fait des ravages chez les séropositifs. Ce n'est qu'en 1993 que la dose sera réduite, avant que n'apparaisse la trithérapie en 1996.
L'AZT est un inhibiteur nucléosidique, c'est-à-dire un produit qui se fixe directement sur l'ADN, empêchant sa lecture. Un tel produit bloque aussi la division des cellules et notamment celle des cellules normales, ce qui explique qu'empêchant le renouvellement normal des cellules, les patients mourraient à l'allure de la mort de leurs organes. Par exemple, la peau se change intégralement tous les 15 jours, comme la muqueuse digestive. Bloquer la division des cellules, cela empêche ce renouvellement, ce qui a pour effet d'affaiblir alors la peau et les muqueuses, en les asphyxiant. Bien sûr, la multiplication des virus est également empêchée. Tout le traitement consiste alors à doser le produit pour que ce dispositif ne soit pas trop violent. (Je précise que l'AZT était donné aussi aux femmes enceintes séropositives, avec toutes les conséquences sur la gestation foetale). Le foetus étant en croissance, ses cellules sont évidemment constamment en division pour se multiplier et constituer les organes.
D'autres antiviraux bloquent la transcriptase inverse mais ne sont pas nucléosidiques. Enfin, la trithérapie a surtout innové avec de nouveaux produits antiprotéases. Ce type de produit est censé empêcher la pénétration du virus dans la cellule hôte. Les virus pour pénétrer dans la cellule hôte utilisent un enzyme qui casse certaines chaînes dans les protéines membranaires afin de se glisser dedans la cellule. En empêchant la protéolyse membranaire, on empêche le virus de pénétrer. Dans la mesure où les antiprotéases agissent sur diverses familles de protéases, on a aussi blocage de tout un ensemble de protéolyses normales non liées à la pénétration des virus. Pire que cela, on empêche aussi les lymphocytes de faire leur travail de défense immunitaire, car les protéases servent à digérer les corps infectieux des bactéries ou de certains antigènes protéiques en cassant les protéines étrangères, certaines cellules venant ensuite absorber les débris (phagocytes ou macrophages). Il y a donc gros à parier que des effets secondaires ne sont pas exclus de la trithérapie et que l'immunité déjà fonctionnelle soit également décimée.
(A suivre)
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 04/07/2008
Re: Les impostures scientifiques
Officiellement, le Sida est en forte progression en Afrique, Asie et Amérique du Sud. On parle même d'une transmission par le Vaudou !Ce sont ces traitements qu'il s'agit de transmettre aux pays pauvres.
Alors ça, c'est la grande idée du Pr Ameisen : l'apoptose ou suicide des lymphocytes. Le virus du Sida a la spécialité de provoquer le suicide des lymphocytes. Cela explique très bien pourquoi le nombre des lymphocytes chute au bon signal, provoquant alors un effondrement de l'immunité et par voie de conséquence, l'apparition de toutes sortes de maladies typiques du Sida. Ameisen a été fortement récompensé pour cette trouvaille. Surtout dans son application aux neurones : voilà désormais que le virus du Sida est le responsable du contrôle mental de l'humanité. Si ce virus n'existait pas (juste une supposition), il faudrait absolument tout faire pour l'inventer.Les recherches ont entrainé des connaissances sur le virus du Sida et sur la manière dont le virus peut dérégler le système immunitaire. Et notamment, le virus est capable d'induire l'autodestruction des lymphocytes. On a donc mieux compris comment les cellules s'autodétruisent. Le virus du Sida dans 33% des cas entraîne aussi un effondrement du cerveau, non pas par infection directe des neurones, mais par un mécanisme lié à un processus d'autodestruction.
L'idée de mettre les cancers sur le compte des virus remonte au début du 20° siècle et notamment, dès 1922, le virus de l'herpès était déjà à l'époque l'agent de ce Sida historique, puisqu'on disait alors que le virus de l'herpès était cancérigène. Il était notamment le virus qui entraînait un cancer si rare qu'on ne pourrait l'étudier que sur plusieurs siècles : le sarcome découvert au 19° siècle par un certain Kaposi. Toutefois, il a été prouvé en 1994 que le sarcome de Kaposi des homosexuels californiens étaient du à l'inhalation de poppers. Rien à voir donc avec un virus. Le conférencier n'est pas très savant.Un exemple : le sarcome de Kaposi, connu depuis très longtemps, lié au Sida. Mais il survient aussi dans d'autres circonstances. Comment le virus du Sida agit-il pour entraîner le sarcome de Kaposi ? Et bien on a découvert que ce sarcome est du au virus de l'herpès. Le virus du Sida dérègle le système immunitaire, ce qui a pour effet que d'autres virus deviennent à nouveau actifs, notamment le virus de l'herpès qui provoque à lui seul le développement d'un cancer.
Par ailleurs, les virus sont des agents utilisés dans le cadre de la thérapie génique. On cherchait quel moyen utiliser pour transformer les gènes de cellules malades ou à risque. On a déjà avec succès utilisé des virus dont des rétrovirus, et notamment le virus du Sida est très capable d'infecter des cellules qui ne se divisent pas, comme les neurones. Ainsi, indépendamment de la maladie du Sida, on cherche à profiter de cette aptitude extraordinaire du virus du Sida pour véhiculer de manière très efficace des gènes à l'intérieur des cellules sans provoquer de maladies.
Ici c'est très intéressant. Ils ont l'intention de modifier le code génétique des neurones par voie virale, en utilisant des virus synthétiques capables de rentrer dans une cellule de manière ciblée et ainsi de modifier certains chromosomes. Les neurones ne se divisant pas, d'autres techniques de la génétique ne sont pas utilisables. Aussi, le meilleur moyen est l'infection virale. Et bien, je vais vous dire : je ne suis pas rassuré du tout. Derrière des objectifs honorables non précisés, il y a bien entendu tous les usages éthiquement irrecevables de ce genre de projet. L'homme n'est plus soigné que par des hypothèses de bricoleurs, alors qu'il y a encore plein d'inconnues. En plus, de tels virus de thérapie génique pourraient être associés à n'importe quel vaccin.
Tout d'abord, la différence entre un vaccin et un sérum, c'est que le sérum contient des anticorps (immunité passive) alors qu'un vaccin en est dépourvu. Le vaccin (immunité active) contient des bactéries ou virus atténués qui n'entraînent plus la maladie, mais permettent au système immunitaire de rencontrer la signature de l'agent infectieux. Ce n'est qu'après cette reconnaissance que des anticorps (immunoglobulines) sont fabriquées, rendant possible l'action ciblée des cellules immunitaires. Le délai de cette immunité est variable de 8 jours à 2 mois selon l'agent. Il n'y a donc pas d'immunité transmise par un vaccin. Le vaccin agit pour simuler une infection non pathogène et tromper le système immunitaire, tout en lui donnant l'information qui lui sera utile en cas d'infection par l'agent naturel non atténué.ESPOIRS
1- Nous cherchons des produits capables d'interférer avec chacune des étapes nécessaires au virus pour infecter des cellules, s'y propager, ou en sortir. Cela ajouterait aux deux classes de médicament anti-rétroviraux, de nouvelles classes de médicaments déjà en tests auprès de patients, ciblant d'autres particularités de ce virus. En fait, en frappant sur plusieurs mécanismes liés au virus, on amplifie la chance de réussir davantage qu'en multipliant les médicaments qui frappent le même mécanisme. Ce nouveau système est appelé "vaccin thérapeutique" (un vaccin qui soigne en plus de protéger).
L'immunothérapie. En plus, on essaye de mettre au point une façon d'aider le système immunitaire à combattre le virus.Le virus, quand il se multiplie, dérègle le système immunitaire. On ne peut donc pas demander à ce système d'en faire plus. Alors, l'immunothérapie vise à apporter un complément capable de renforcer l'immunité (anticorps) et aussi de rééduquer le système immunitaire, afin qu'il puisse à nouveau lutter efficacement contre le virus. Les essais de l'immunothérapie anticancéreuse n'avaient pas donné de bons résultats à cause de la manière de les apporter.
Ici, ils veulent réaliser un cocktail contenant vaccin, sérum et un certain nombre d'autres composants, le tout étant appelé vaccin thérapeutique. Quant à l'immunothérapie, elle consiste à créer des immunoglobulines de synthèse, des anticorps synthétiques qui viennent renforcer les anticorps naturels. Jusqu'à présent, les recherches sur ces anticorps de synthèse ont été vaines.
Effectivement, comme le disait Pautrizel, le meilleur est d'exalter le système de défense lorsqu'on le peut, sans avoir à bricoler l'équilibre chimique ou biochimique d'un individu qui n'est qu'une sphère écologique complexe, puisqu'on y trouve les cellules de l'individu ainsi que tout un tas de corps étrangers acceptés (flores intestinales ou épidermiques, etc.). C'est seulement lorsque des corps sont inconnus qu'ils font l'objet d'abord d'une défense d'entrer et sinon d'une destruction. Ici, ils semblent se pencher sur les mécanismes antiviraux et anticancéreux des animaux ou des plantes, de façon à découvrir des structures simples de traitement que la nature a nécessairement envisagées bien avant la communauté médicale. Cette démarche qui est la plus scientifique, puisqu'elle se base sur l'observation naturelle, reste encore du domaine des influences du monde pharmaceutique, puisque les brevets ne s'appliquent qu'aux produits synthétiques.2- Les outils de notre corps sont plus riches que l'on ne le pensait. Certaines molécules produites par tous les animaux sont très efficaces contre le virus du Sida. On les trouve chez ceux qui résistent au Sida. Il s'agit de les identifier puis de les produire comme des médicaments. Il s'agit de petits ARN capables de bloquer la réplication de certains virus chez les Vers qui sont aussi efficaces chez les plantes et chez les hommes. Le nombre d'outils naturels est très vaste, bien qu'en faible quantité chez l'homme du fait que ces outils sont ancestraux.
Mais d'un autre côté, si des bouts de molécules simples peuvent être étudiés, on peut aussi envisager l'usage de cristaux ou de molécules réactives à n'importe quel signal physique, dans le cadre d'une utilisation peu éthique. Le grand risque ici, est de polluer l'organisme avec des composés très réactifs à des champs magnétiques, des ondes électromagnétiques. De tels dispositifs vendus comme des médicaments naturels seraient alors la voie tracée vers des conséquences imprévisibles, si l'on ne met pas en place au préalable un moyen de contrôle qui soit indépendant des systèmes industriels, politiques ou même scientifiques, et qui soit destiné à la validation éthique.
Enfin, annoncer que le virus du Sida peut entraîner le suicide des neurones, n'est-ce pas préparer le terrain des médecins prescripteurs à devoir accepter que des agents simples, des cristaux ou petites molécules soient le moyen d'induire des changements du cerveau et donc, du mental ? Surtout si les neurones se suicident !
J'ai déjà évoqué la question de l'évolution des virus. Comme le dit le conférencier, on peut en effet avoir énormément d'imagination. Surtout que de façon historique, on a soigné le cancer en France (et aussi ailleurs), et que l'on avait prouvé que ces moyens exaltaient le système immunitaire, le tout avec des résultats très nettement au-dessus de tous ceux des bilans qu'on a pu lire depuis l'origine du Sida. D'ailleurs, Montagnier ne s'y trompe pas. Même s'il ne peut pas revenir en arrière sur la question du virus, on le voit chercher désespérément des explications à côté de la thèse virale.L'infection par le VS est l'un des premiers modèles où la rapidité des changements du virus nous a amené à penser en termes d'évolution du virus. On imagine une population de lions en train d'essayer d'attraper une population de gazelles ou de buffles.
Pourtant, la médecine vise d'abord comment soigner et guérir les malades et se fout éperdument de comprendre le fonctionnement détaillé du corps. La machine de Priore, à l'évidence, était dès les premières observations, l'un des espoirs les meilleurs face à toutes les maladies cancéreuses et infectieuses. Comment la médecine peut-elle aider le corps dans la lutte contre ces fléaux ? Et bien, vraisemblablement en changeant sa politique. Croyez-vous vraiment que les médecins doivent chercher à comprendre pourquoi le zona est guéri par les anciens zonateux par une méthode empirique ?La recherche vise à comprendre comment notre corps peut lutter contre les microbes et comment la médecine peut aider le corps dans cette lutte.
FIN DE SEQUENCE
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 04/07/2008
Re: Les impostures scientifiques
Ilibade a dit :
Quant au problème de l’Afrique du Sud, ce n’est qu’un exemple et qui plus est pas vraiment démonstratif puisqu’entre la raison officielle de « prix trop élevé » et les raisons profondes il y a tout de même une grosse différence.
Je rappelle qu’à l’époque Thabo Mbeki faisait les mêmes affirmations que toi « pas de lien entre le VIH et le sida et son ministre de la santé qualifiait les anti-rétroviraux de « poison ».
Ceci dit tu fais, sans le vouloir certes, la démonstration que les hypothèses du non lien entre le VIH et le sida sont à l’origine de graves conséquences pour la santé…
Je peux donc me permettre de réaffirmer que l’on ne doit pas pratiquer une politique de santé sur le fondement d’hypothèses non avérées, sauf à prendre le principe de précaution maximum en fonction de ce que l’on sait et qui est évident : le sida est sexuellement transmissible, les préservatifs ne sont pas poreux et les anti-rétroviraux permettent non pas de guérir mais au moins de bloquer l’évolution du virus dans l’organisme.
Quand une personne est contaminée, il est porteur d’un virus contre lequel son organisme (comme chez le singe) se défend. Aucun problème donc, il n’est pas malade et comme tu le dis plutôt même en bonne santé puisqu’il se défend : c’est ce qu’on appelle la séropositivité.
Seulement voilà, le virus finit par déjouer par différentes mutations à l’intérieur du corps toutes les défenses de l’organisme : il est le vainqueur, il n’y a plus d’immunité et c’est là que l’on peut parler de pathologie mortelle puisque le champ est libre à toute infection qui deviendra mortelle ; mais pas que cela puisqu’il y a également destruction des cellules saines y compris neuronales.
Je ne comprends pas ta deuxième question désolée …
Après pour le reste, si tu as décidé de prétendre que tout ce que la recherche fait est un mensonge et que toi de ton côté tu détiens la vérité, je ne peux pas te contredire je n'en ai pas les compétences.
Toi visiblement tu es plus fort
Donc concrètement : où en es-tu toi dans tes découvertes et dans tes médications ? Que préconises-tu comme traitement ?
Et pourquoi cela n’aurait pas de « réalité scientifique » ? Ce n’est pas parce que les différentes voies de recherche qui prévalent actuellement vont à contre-courant, semble-t-il, d’autres hypothèses qu’elles n’ont pas une réalité scientifique !Si ce qu'il évoque n'a pas de réalité scientifique…
Je ne vois absolument ce qu’il y a de mensonger dans l’affirmation « La maladie actuellement se propage fortement dans les pays pauvres »Ceci est purement mensonger. C'est l'Afrique du Sud qui a refusé d'acheter des produits qu'elle jugeait hors de prix, ce qui a entraîné une réaction partout dans le monde, des pays pauvres, et notamment en Thaïlande. En voici un reportage complet
Quant au problème de l’Afrique du Sud, ce n’est qu’un exemple et qui plus est pas vraiment démonstratif puisqu’entre la raison officielle de « prix trop élevé » et les raisons profondes il y a tout de même une grosse différence.
Je rappelle qu’à l’époque Thabo Mbeki faisait les mêmes affirmations que toi « pas de lien entre le VIH et le sida et son ministre de la santé qualifiait les anti-rétroviraux de « poison ».
Ceci dit tu fais, sans le vouloir certes, la démonstration que les hypothèses du non lien entre le VIH et le sida sont à l’origine de graves conséquences pour la santé…
Je peux donc me permettre de réaffirmer que l’on ne doit pas pratiquer une politique de santé sur le fondement d’hypothèses non avérées, sauf à prendre le principe de précaution maximum en fonction de ce que l’on sait et qui est évident : le sida est sexuellement transmissible, les préservatifs ne sont pas poreux et les anti-rétroviraux permettent non pas de guérir mais au moins de bloquer l’évolution du virus dans l’organisme.
Mais nous sommes bien d’accord, Ilibade ; ce qui prouve qu’il n’y a aucune tentative de tromperie contrairement à ce que ce certaines personnes affirment. Il annonce clairement et publiquement où ils en sont et sur quoi ils butent…Il annonce clairement que la trithérapie n'est pas la solution définitive.
Mais c’est expliqué ! Le VIH agit comme un organisme « intelligent ». Je vais essayer résumer de la manière la moins scientifique possible ; pour le côté plus scientifique, voir la conférence et pour ceux qui ont peur de pas comprendre, faites comme moi, regardez également celles faites par des professeurs dans les collèges et lycées ; il y en a plusieurs et les réponses sont compréhensibles grâce aux exemples etc…Comment cela peut-il se faire ? Est-ce que subitement, les virus endormis dans une cellule commencent alors à se multiplier ? Qu'est-ce qui déclenche alors ce mécanisme ? Pourquoi, les virus ne continuent-ils pas à dormir paisiblement ?
Quand une personne est contaminée, il est porteur d’un virus contre lequel son organisme (comme chez le singe) se défend. Aucun problème donc, il n’est pas malade et comme tu le dis plutôt même en bonne santé puisqu’il se défend : c’est ce qu’on appelle la séropositivité.
Seulement voilà, le virus finit par déjouer par différentes mutations à l’intérieur du corps toutes les défenses de l’organisme : il est le vainqueur, il n’y a plus d’immunité et c’est là que l’on peut parler de pathologie mortelle puisque le champ est libre à toute infection qui deviendra mortelle ; mais pas que cela puisqu’il y a également destruction des cellules saines y compris neuronales.
Mais c’est expliqué également ! Tant que l’organisme supporte les antiretro aucun problème mais parfois (je ne me souviens pas si il donne des stats à ce sujet) il y a des effets secondaires qui font que le traitement n’est plus supportable chez certains individus. Et à l’arrêt ça repart …De même, quel est le réel inconvénient d'un changement des virus (dormant ou éveillés) vis-à-vis de médicaments qui freinent le mécanisme de réplication des cellules hôtes qui, elles, ne changent pas ? Même si les virus changent, en quoi cela affecte-t-il le mécanisme cellulaire de leur multiplication ?
Je ne comprends pas ta deuxième question désolée …
C’est en cela que le sida chez l’homme diffèrerait : il permet de développer des maladies qui sont soignables chez un individu non contaminé et qui deviennent mortelles chez un individu contaminé. Chez le singe c’est différent : son corps s’est adapté et il n’en meurt pas, il vit avec.le Pr Duesberg, avec d'autres spécialistes, affirme que les rétrovirus sont non pathogènes chez l'homme.
Après pour le reste, si tu as décidé de prétendre que tout ce que la recherche fait est un mensonge et que toi de ton côté tu détiens la vérité, je ne peux pas te contredire je n'en ai pas les compétences.
Toi visiblement tu es plus fort
Donc concrètement : où en es-tu toi dans tes découvertes et dans tes médications ? Que préconises-tu comme traitement ?
Dernière édition par Bulle le Ven 10 Juil 2009 - 13:49, édité 1 fois
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Re: Les impostures scientifiques
Zelda a dit :
A ton avis, que disent les gens atteints de presbytie ?faut absolument que j'arrête de dire "ça me casse les couilles". ma maman m'avait pourtant dit que ce n'est pas bien de s'exprimer r'ainsi, mais personne ne m'avait parlé des conséquences dramatiques que pouvaient entraîner cette facheuse habitude psycholinguistique.
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Re: Les impostures scientifiques
Il n'y a pas de réalité scientifique dans les propos de la conférence, car Ameisen évoque la thèse officielle qui se base sur une information médiatique laquelle repose elle-même sur une fraude scientifique. C'est le principal enseignement du procès Gallo. En outre, même Montagnier avait menti aux journalistes à la même époque. A partir d'un mensonge, on peut forger n'importe quelle science illusoire en lui donnant le coloris de science. Malheureusement, les méthodes de la science dans cette affaire sont largement discutables.
1- Le Sida est sexuellement transmissible. Ceci n'est pas un fait scientifique. C'est un hoax médiatique.
2- Les préservatifs ne sont pas poreux. Les préservatifs sont poreux et la taille des pores est variable d'un fabricant à l'autre. Dans les tests de la PCA, sur plus de 60 fabricants, seuls deux étaient aux normes européennes selon les tests de la PCA en 1991.
3- Les antirétroviraux bloquent ou freinent l'évolution du virus. Ils empêchent aussi aux cellules normales d'évoluer et contrarient divers fonctionnements physiologiques.
Très honnêtement, outre le fait que la preuve de ce virus n'a pas été faite, ni la preuve de l'existence d'un Sida (toutes les maladies décrites pré-existaient au syndrôme), on peut mesurer toute l'utilité d'un tel concept viral. Un gouvernement unique, mondial et totalitaire peut largement s'appuyer sur un tel virus, même virtuel, de façon telle que, par le contrôle de la propagande, il puisse distiller la crainte suffisante à justifier la nécessité même de ce pouvoir vu alors comme protecteur. Schéma classique des brebis et du bon pasteur face au danger inventé.
Pour le Sida, c'est exactement l'inverse. On a une séropositivité non spécifique d'un virus. Le virus n'ayant jamais été isolé selon un protocole international valide, on ne peut donc pas affirmer que l'on sait reconnaître une séropositivité spécifique. En plus, cela a été démontré par une équipe australienne. Cette séropositivité, par ailleurs, ne confère pas une immunité au patient, mais au contraire le rend suspect de Sida. On a donc ici une inversion complète des lois de l'immunologie classique. En outre, même si l'on avait isolé un virus spécifique du sang de malades du Sida, il faudrait encore démontrer que le virus est responsable du Sida. Beaucoup d'étapes scientifiques ont été shuntées pour faire admettre une histoire à dormir debout. Cette histoire était largement rendue crédible par la propagande fortement médiatisée à laquelle participait un nombre croissant d'autorités scientifiques, relevant d'organismes ou d'institutions de plus en plus nombreux : instituts, fondations, commissions nationales et internationales, ONUSIDA, commissions parlementaires, etc., sans compter les associations de financement comme l'Arc ou le Sidaction. Tout cela en impose, même aux étudiants en médecine ou aux médecins eux-mêmes, qui se font piéger comme les autres.
Je ne doute pas un seul instant qu'Aubépine sur le forum de l'Arbre à palabres, qui est médecin, ait été sincèrement choqué par mes propos. Mais je l'ai été moi-même il y a quelques années.
Aujourd'hui, je ne donne aucune consigne à personne, sinon celle de vous renseigner sur la nature exacte de la controverse justifiée qui existe face au Sida. Cela demande du temps, l'envie de savoir et une détermination qui pousse jusqu'à éventuellement prendre contact avec les partisans et les dissidents du Sida.
Entre la conférence de Montagnier et celle d'Ameisen, Montagnier est plus prudent sur ses affirmations. Nul doute qu'il sait la vérité sur le Sida. Notre époque est celle de l'élévation de la conscience dont témoigne amplement la multiplication des forums. Ce n'est donc pas à travers l'information des médias ou des revues spécialisées sous contrôle d'un système de pensée unifiante, que l'on peut être assuré d'accéder à la véritable information résultante d'un esprit critique exercé.
Les gouvernements africains, divers colloques sur le Sida en Afrique ainsi que nombre d'associations humanitaires ont fait passer l'information que le Sida n'est pas en expansion en Afrique. Le test du Sida, qui donne le Sida à des soit-disant "séropositifs", n'a aucune sélectivité à un virus clairement et validement isolé. Cela signifie qu'on ne peut pas interpréter les résultats de ce test en Afrique. On ne le peut pas non plus en Occident, puisqu'il suffit qu'une femme ait eu plusieurs grossesses pour que le test soit positif, indépendamment de toute contamination virale clairement identifiée. (hormis le Sida, on connaît 70 cas de maladies ou situations qui positivent le test du Sida : Cf site infosida). En clair, tout cela est une arnaque. Par contre, le nombre de "séropositifs" est effectivement en augmentation en Asie et en Amérique du Sud. Rien ne prouve qu'il y ait plus de malades. Je rappelle que les pays dits "en voie de développement", et particulièrement en Afrique, ne sont pas vraiment "en voie de développement", mais plutôt "en voie d'extinction". Avant de traiter un éventuel Sida, il est bien plus urgent de lutter contre la faim et le manque d'hygiène. Si l'on apportait de l'eau, des denrées alimentaires, des moyens de renforcer l'économie de ces pays en leur restituant le bénéfice de leurs richesses naturelles, on lutterait de façon plus assurée contre la malnutrition, les maladies carentielles qui jouent sur la capacité immunitaire, et cela verrait la chute de maladies extrêmes comme le paludisme ou la tuberculose. L'immunodéficience africaine est liée davantage au conditions d'extrême pauvreté plutôt qu'à la propagation d'une séropositivité scientifiquement sans aucun sens.Je ne vois absolument ce qu’il y a de mensonger dans l’affirmation « La maladie actuellement se propage fortement dans les pays pauvres »
Non, c'est encore la position officielle de bon nombre de pays africains.Je rappelle qu’à l’époque Thabo Mbeki faisait les mêmes affirmations que toi « pas de lien entre le VIH et le sida et son ministre de la santé qualifiait les anti-rétroviraux de « poison ».
Raison de plus pour écarter les fraudes, qui ne tiennent même pas de l'hypothèse.Je peux donc me permettre de réaffirmer que l’on ne doit pas pratiquer une politique de santé sur le fondement d’hypothèses non avérées
Prenons-en chaque composante :le sida est sexuellement transmissible, les préservatifs ne sont pas poreux et les anti-rétroviraux permettent non pas de guérir mais au moins de bloquer l’évolution du virus dans l’organisme.
1- Le Sida est sexuellement transmissible. Ceci n'est pas un fait scientifique. C'est un hoax médiatique.
2- Les préservatifs ne sont pas poreux. Les préservatifs sont poreux et la taille des pores est variable d'un fabricant à l'autre. Dans les tests de la PCA, sur plus de 60 fabricants, seuls deux étaient aux normes européennes selon les tests de la PCA en 1991.
3- Les antirétroviraux bloquent ou freinent l'évolution du virus. Ils empêchent aussi aux cellules normales d'évoluer et contrarient divers fonctionnements physiologiques.
Sauf que Duesberg l'avait annoncé en 1987 là où Ameisen ne l'affirme qu'en 2003. En plus Duesberg a fait des recherches spécifiques sur cette question et publié en 1996 un point global de la période antérieure.Mais nous sommes bien d’accord, Ilibade ; ce qui prouve qu’il n’y a aucune tentative de tromperie contrairement à ce que ce certaines personnes affirment. Il annonce clairement et publiquement où ils en sont et sur quoi ils butent…
Mon Dieu ! Mais alors c'est un virus parfait !Mais c’est expliqué ! Le VIH agit comme un organisme « intelligent ».
Très honnêtement, outre le fait que la preuve de ce virus n'a pas été faite, ni la preuve de l'existence d'un Sida (toutes les maladies décrites pré-existaient au syndrôme), on peut mesurer toute l'utilité d'un tel concept viral. Un gouvernement unique, mondial et totalitaire peut largement s'appuyer sur un tel virus, même virtuel, de façon telle que, par le contrôle de la propagande, il puisse distiller la crainte suffisante à justifier la nécessité même de ce pouvoir vu alors comme protecteur. Schéma classique des brebis et du bon pasteur face au danger inventé.
Aucune preuve scientifique de cela au sujet du Sida.Quand une personne est contaminée, il est porteur d’un virus contre lequel son organisme (comme chez le singe) se défend.
C'est très simple. Ameisen prétend que la variabilité du virus influe sur le mécanisme d'action pharmacodynamique des antirétroviraux. Il prend les gens pour des niais. Les antirétroviraux n'agissent pas pour un rétrovirus en particulier, mais pour tous les rétrovirus. Ils sont spécifiques du mécanisme de la réplication des rétrovirus et donc des cellules aptes à multiplier les rétrovirus quels qu'ils soient. Dans la mesure où ces mécanismes sont invariants, la variabilité des virus n'influe donc pas sur l'action des antirétroviraux. Conséquence : Ameisen ment encore sur ce coup-là.Je ne comprends pas ta deuxième question désolée …
Mon discours est très simple. Bien que non médecin, je dispose d'un très bon niveau de 3° cycle multidisciplinaire. La compréhension des disciplines médicales repose sur la lecture des traités tout au long de l'histoire. Les mécanismes de l'immunité qui sont enseignés sont décrits d'une certaine façon sauf pour les cancers et le Sida. Curieux, non ? Dans la description des maladies infectieuses, la notion de séropositivité face à un agent viral est toujours la réussite d'une immunité absolument spécifique d'un virus parfaitement isolé. Le sujet disposant d'anticorps et de certains marqueurs lymphocytaires est pleinement immunisé et donc n'a aucune raison de faire une maladie.Après pour le reste, si tu as décidé de prétendre que tout ce que la recherche fait est un mensonge et que toi de ton côté tu détiens la vérité, je ne peux pas te contredire je n'en ai pas les compétences.
Pour le Sida, c'est exactement l'inverse. On a une séropositivité non spécifique d'un virus. Le virus n'ayant jamais été isolé selon un protocole international valide, on ne peut donc pas affirmer que l'on sait reconnaître une séropositivité spécifique. En plus, cela a été démontré par une équipe australienne. Cette séropositivité, par ailleurs, ne confère pas une immunité au patient, mais au contraire le rend suspect de Sida. On a donc ici une inversion complète des lois de l'immunologie classique. En outre, même si l'on avait isolé un virus spécifique du sang de malades du Sida, il faudrait encore démontrer que le virus est responsable du Sida. Beaucoup d'étapes scientifiques ont été shuntées pour faire admettre une histoire à dormir debout. Cette histoire était largement rendue crédible par la propagande fortement médiatisée à laquelle participait un nombre croissant d'autorités scientifiques, relevant d'organismes ou d'institutions de plus en plus nombreux : instituts, fondations, commissions nationales et internationales, ONUSIDA, commissions parlementaires, etc., sans compter les associations de financement comme l'Arc ou le Sidaction. Tout cela en impose, même aux étudiants en médecine ou aux médecins eux-mêmes, qui se font piéger comme les autres.
Je ne doute pas un seul instant qu'Aubépine sur le forum de l'Arbre à palabres, qui est médecin, ait été sincèrement choqué par mes propos. Mais je l'ai été moi-même il y a quelques années.
Aujourd'hui, je ne donne aucune consigne à personne, sinon celle de vous renseigner sur la nature exacte de la controverse justifiée qui existe face au Sida. Cela demande du temps, l'envie de savoir et une détermination qui pousse jusqu'à éventuellement prendre contact avec les partisans et les dissidents du Sida.
Entre la conférence de Montagnier et celle d'Ameisen, Montagnier est plus prudent sur ses affirmations. Nul doute qu'il sait la vérité sur le Sida. Notre époque est celle de l'élévation de la conscience dont témoigne amplement la multiplication des forums. Ce n'est donc pas à travers l'information des médias ou des revues spécialisées sous contrôle d'un système de pensée unifiante, que l'on peut être assuré d'accéder à la véritable information résultante d'un esprit critique exercé.
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1098
Date d'inscription : 04/07/2008
Re: Les impostures scientifiques
Le Sida est sexuellement transmissible.
Arrivé à ce stade, j'avoue humblement commencer à m'y perdre un peu.Ilibade répond :
Ceci n'est pas un fait scientifique. C'est un hoax médiatique.
Je pose donc deux questions :
1. Si le Sida n'est pas sexuellement transmissible, comment est-il transmissible ?
Ou, pour le dire autrement :
que doit-on faire pour s'en prémunir ?
2. Si réellement il n'est pas sexuellement transmissible, iriez-vous jusqu'à dire que le condom ne sert à rien ?
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
Re: Les impostures scientifiques
Ilibade a dit :
Tous les propos de cette conférence sont appuyés sur des recherches scientifiques avérées.Il n'y a pas de réalité scientifique dans les propos de la conférence
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
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Re: Les impostures scientifiques
Selon ce que j'en pense, le Sida est un syndrôme de circonstance regroupant une trentaine de maladies qui étaient connues avant le Sida comme ayant des mécanismes divers sur le plan de la physiopathologie.1. Si le Sida n'est pas sexuellement transmissible, comment est-il transmissible ?
En ce qui concerne deux maladies liées aux premiers cas de Sida, le sarcome de Kaposi, un cancer de la peau très rapidement fatal et une pneumonie à pneumocystis, on admet que :
1- le sarcome de Kaposi est lié à la prise par inhalation de produits récréatifs à visée aphrodisiaque et très riches en nitrites. Aux USA, l'interdiction des poppers a fait régresser considérablement l' "épidémie" de ce sarcome.
2- la pneumonie à pneumocystis est liée à une bactérie qui existe de façon commensale dans l'organisme. Mais face à certaines situations qui engendrent un affaiblissement de l'état général, comme par exemple dans le cas des toxicomanes par injections d'héroïne, qui sont atteints de malnutrition et de tout un tas de symptômes immunopathologiques, on admet que cette bactérie devient alors virulente.
Dans les deux cas, aucune contamination par voie sexuelle n'est à noter et l'immunodéficience est le mécanisme de la maladie et non sa conséquence. Mais les spécialistes du Sida ont quand même conclu à l'époque à une transmission sexuelle en effectuant les premières campagnes médiatiques à allure d'alerte épidémique.
Aujourd'hui, selon une étude de Duesberg regroupant divers travaux sur plus de 10 ans et publiée en 1996, on peut admettre comme une hypothèse valable liée à l'observation, que le traitement antirétroviral est directement responsable de l'immunodéficience. Dans la mesure où ce traitement est préventif, il est donc donné à des personnes parfaitement en bonne santé. Comme le traitement trithérapique contient deux grandes familles de toxiques dont l'une riche en nitrites, pour ma part, si j'apprenais que j'étais séropositif, je refuserais en l'état tout traitement préventif.
A rien pour le Sida. Je crois davantage à l'efficacité du préservatif dans le cadre de la lutte contre la syphilis ou autres maladies sexuellement transmissibles prouvées, que contre la propagation par voie sexuelle d'un hypothétique virus du Sida. D'ailleurs, les nombreuses études sur les prostituées dans les pays à haut risque MST, montrent que seules les prostituées toxicomanes présentaient une séropositivité. Cela montre davantage une transmission par contamination sanguine que sexuelle. Ensuite, la séropositivité dans le Sida n'est pas un indicateur infaillible, puisqu'on a observé des chiens séropositifs qui n'avaient reçu aucune contamination sanguine ou même sexuelle de la part de l'homme.2. Si réellement il n'est pas sexuellement transmissible, iriez-vous jusqu'à dire que le condom ne sert à rien ?
Très honnêtement, je pense qu'il est nécessaire que vous lisiez le site infosida et que vous exploriez toutes les controverses. Ce site mentionne beaucoup de références de personnes qui n'ont pas pu publier dans les circuits officiels. Mais chacun doit se déterminer en connaissance de cause, ou accepter de s'en remettre aveuglément à des praticiens qui sont facilement dépassés quand on leur pose très honnêtement les questions qui fâchent.
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1098
Date d'inscription : 04/07/2008
Re: Les impostures scientifiques
En complément d'information à tout ce qui vient d'être dit, si les Etats-Unis ont interdit les poppers, il semble que la France ait également interdit les poppers à base de produits nitrites d’alkyle aliphatiques, cycliques, hétérocycliques ou leurs isomères, par décret du 22 novembre 2007, en modifiant un décret de 1990 (1990 période où les poppers sont sérieusement suspectés en matière d'immunodéficience) afin d'élargir l'interdiction.
http://www.tetu.com/actualites/france/Le-poppers-interdit-a-la-vente-en-France-12391
Mais les associations gay ne l'entendent pas de cette oreille, ni les fabriquants (En France, Act-Up est la principale association chargée de convaincre par la base les homos séropositifs à la chimiothérapie préventive).
http://www.tetu.com/actualites/france/Interdiction-des-poppers-recours-devant-le-Conseil-dtat-12477
La raison en est simple : on craint une élévation du risque par importation illicite de produits "plus toxiques" :
http://www.tetu.com/actualites/france/Interdiction-du-poppers-le-Sneg-craint-des-risques-sur-la-sante-des-gays-12402
Le 15 mai 2009, les fabriquants aidés des associations ont gagné : les poppers sont à nouveau autorisés et le décret est annulé !
http://www.20minutes.fr/article/326519/France-Le-Conseil-d-Etat-annule-l-interdiction-du-Poppers.php
Et donc, immédiatement, les sites fournisseurs s'empressent de reprendre la vente :
http://www.tentations-intimes.com/liste_produit.asp?Promo=&IDF=&IDSF=&IDElt=985
http://www.la-maison-du-poppers.com/rub25_partolf_-poppers-wesh-cousin.htm
CQFD ! Le fric et la propagande font la loi, pas la santé des gens !
http://www.tetu.com/actualites/france/Le-poppers-interdit-a-la-vente-en-France-12391
Mais les associations gay ne l'entendent pas de cette oreille, ni les fabriquants (En France, Act-Up est la principale association chargée de convaincre par la base les homos séropositifs à la chimiothérapie préventive).
http://www.tetu.com/actualites/france/Interdiction-des-poppers-recours-devant-le-Conseil-dtat-12477
La raison en est simple : on craint une élévation du risque par importation illicite de produits "plus toxiques" :
http://www.tetu.com/actualites/france/Interdiction-du-poppers-le-Sneg-craint-des-risques-sur-la-sante-des-gays-12402
Le 15 mai 2009, les fabriquants aidés des associations ont gagné : les poppers sont à nouveau autorisés et le décret est annulé !
http://www.20minutes.fr/article/326519/France-Le-Conseil-d-Etat-annule-l-interdiction-du-Poppers.php
Et donc, immédiatement, les sites fournisseurs s'empressent de reprendre la vente :
http://www.tentations-intimes.com/liste_produit.asp?Promo=&IDF=&IDSF=&IDElt=985
http://www.la-maison-du-poppers.com/rub25_partolf_-poppers-wesh-cousin.htm
CQFD ! Le fric et la propagande font la loi, pas la santé des gens !
Ilibade- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1098
Date d'inscription : 04/07/2008
Re: Les impostures scientifiques
Sur Agoravox de ce jour, article intéressant sur le vaccin pour la grippe H1N1. L'auteur partage mon opinion . Attraper la grippe aujourd'hui est le meilleur vaccin pour se protéger d'une forme plus agressive .
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Les impostures scientifiques
J'ai toujours entendu cela. Seuls les vendeurs de vaccins prétendent le contraire. Vaccin contre la polio ou la variole, la rage, le tétanos: OK. Mais contre un maladie bénigne... Par contre on laisse faire de la pub jusqu'à l'écoeurement pour des aliments dénaturés ou même nocifs pour la santé, qui affaiblissent les défenses immunitaires, le meilleur exemple est le yaourt dont on tue les ferments puis on fabrique (vendus à prix d'or) des yaourt simplement "vivants" qui "augmenteraient nos défenses immunitaires".bernard1933 a écrit:Sur Agoravox de ce jour, article intéressant sur le vaccin pour la grippe H1N1. L'auteur partage mon opinion . Attraper la grippe aujourd'hui est le meilleur vaccin pour se protéger d'une forme plus agressive .
Quintuple bénéfice: on vend 1. le yaourt "mort" 2. l'alicament 3. des compléments alimentaires pour compenser les déficiences en vitamines, oligo-éléments etc 4. des vaccins, et 5. des médicaments.
Bingo !!!
Invité- Invité
Re: Les impostures scientifiques
Ilibade a dit :
* Problème récurrent chez Ilibade : "le grand complot mondial" pff...
En conclusion : Jeunes gens (et moins jeunes) n'écoutez pas ce genre de délires : PROTEGEZ-VOUS !
Je cite Wikipedia.Aujourd'hui, selon une étude de Duesberg...
Duesberg s'est opposé à l'hypothèse virale du sida dans des publications telles que Cancer Research, Lancet, Proceedings of the National Academy of Sciences, Science, Nature, Journal of AIDS, AIDS Forschung, Biomedicine and Pharmacotherpeutics, New England Journal of Medicine and Research in Immunology. Il propose l'hypothèse que les diverses maladies regroupées sous le nom de sida sont dues à la consommation sur une longue durée de drogues ou d'AZT (qui est prescrit contre le sida), la malnutrition ou d'autres pratiques qui affaiblissent le système immunitaire. Depuis que Duesberg a publié son hypothèse en 1987, les scientifiques ont étudié très critiquement sa pertinence. Après quelques années de recherche, une méta-analyse de l'hypothèse de Duesberg a été publiée en 1994 dans le journal Science[1]. Les conclusions de cette analyse, globalement contraires au sens de l'hypothèse de Duesberg, auront été par la suite un point très négatif pour le soutien des recherches soutenant son hypothèse personnelle. Bien que sans aucun fondement, une rumeur se répandit rapidement prétendant que suite à cette publication Duesberg devint la victime d'un complot mondial* et subit la suppression de tout budget de recherche, ce qui est visiblement faux comme le démontre le fait que depuis il a publié plus de 30 articles de recherche scientifique (dans des revues scientifiques à comité critique de relecture) et n'a jamais perdu son poste de professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l'Université de Californie.
Ben voyons ! Et les hypothèses liées aux observations contraires ne seraient elles pas valables ...regroupant divers travaux sur plus de 10 ans et publiée en 1996, on peut admettre comme une hypothèse valable liée à l'observation, que le traitement antirétroviral est directement responsable de l'immunodéficience.
LAMENTABLE et honteux...A rien pour le Sida.2. Si réellement il n'est pas sexuellement transmissible, iriez-vous jusqu'à dire que le condom ne sert à rien ?
* Problème récurrent chez Ilibade : "le grand complot mondial" pff...
En conclusion : Jeunes gens (et moins jeunes) n'écoutez pas ce genre de délires : PROTEGEZ-VOUS !
Re: Les impostures scientifiques
pfft Bulle bon chien chien du système , dans quelques années tu te sentiras bien bête quand la mystification sera découverte.
Voici une liste de scientifiques sur ce site qui mettent en doute l'équation HIV=sida , il n'y a pas que Dusberg
http://www.virusmyth.com/aids/group.htm
Il est tout à fait normal de trouver sur le net de la propagande officielle pour la maladie virtuelle sida , celà ne veut rien dire , même si la majorité pense ainsi la majorité a tort, les gens se laissent manipuler mais la vérité éclatera un jour tout comme le mythe de la vaccination
Quand au préservatif il est très utile pour les mst et autres clamydiaes mais c'est tout .
Un autre site ou l'on voit que contrairement aux idées reçues il existe des milliers de voix dissidentes à la théorie VHI:
http://www.planetenonviolence.org/VIH-et-Sida-Voix-dissidentes,-dissensions-volontairement-ignorees-BIZZ-comme-d-Hab_a342.html
bientot ceux qui y croiront encore se sentiront ridicules surtout après avoir été informé , de continuer à brailler la propagande su système.
Voici une liste de scientifiques sur ce site qui mettent en doute l'équation HIV=sida , il n'y a pas que Dusberg
http://www.virusmyth.com/aids/group.htm
Il est tout à fait normal de trouver sur le net de la propagande officielle pour la maladie virtuelle sida , celà ne veut rien dire , même si la majorité pense ainsi la majorité a tort, les gens se laissent manipuler mais la vérité éclatera un jour tout comme le mythe de la vaccination
Quand au préservatif il est très utile pour les mst et autres clamydiaes mais c'est tout .
Un autre site ou l'on voit que contrairement aux idées reçues il existe des milliers de voix dissidentes à la théorie VHI:
http://www.planetenonviolence.org/VIH-et-Sida-Voix-dissidentes,-dissensions-volontairement-ignorees-BIZZ-comme-d-Hab_a342.html
bientot ceux qui y croiront encore se sentiront ridicules surtout après avoir été informé , de continuer à brailler la propagande su système.
Dernière édition par Calice le Dim 12 Juil 2009 - 20:15, édité 1 fois
Calice- Maître du Temps
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Identité métaphysique : spirituelle
Humeur : Harmonieuse
Date d'inscription : 11/08/2008
Re: Les impostures scientifiques
Calice a dit :
Personnellement je préfère faire de la propagande pour le principe de précaution que de contribuer à la propagande d'hypothèses non encore avérées.
Je souhaite de tout coeur que tes deux enfants n'aient pas à subir l'irresponsabilité de ton comportement.
D'après certains zététiciens, la négation du Sida est le dernier joujou intégriste à la mode...
C'est normal pour un chien de se trouver "bien bête"...pfft Bulle bon chien chien du système , dans quelques années tu te sentiras bien bête quand la mystification sera découverte.
C'est cela oui oui !Il est tout à fait normal de trouver sur le net de la propagande officielle pour la maladie virtuelle sida , celà ne veut rien dire , même si la majorité pense ainsi la majorité a tort, les gens se laissent manipuler mais la vérité éclatera un jour tout comme le mythe de la vaccination
Personnellement je préfère faire de la propagande pour le principe de précaution que de contribuer à la propagande d'hypothèses non encore avérées.
Je souhaite de tout coeur que tes deux enfants n'aient pas à subir l'irresponsabilité de ton comportement.
D'après certains zététiciens, la négation du Sida est le dernier joujou intégriste à la mode...
Re: Les impostures scientifiques
Mais je suis tout à fait pour le préservatif car il y a beaucoup de mst qui trainent .
Calice- Maître du Temps
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