Relativité, Einstein, ou... ?
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Re: Relativité, Einstein, ou... ?
D'accord, mais au moins dans ce que j'ai compris l'énergie nucléaire proprement dite n'est pas "thermique" (même si bien sûr sa principale manifestation est thermique), elle vient de la liaison entre particules au sein du noyau...ACourvoisier a écrit:Pour mettre tout le monde d'accord sur la transformation d'énergie au cour d'une explosion:
"On aide la force faible à prendre le dessus sur la forte", les noyaux se scindent, des neutrons notamment sont libérés qui vont re-fissurer d'autre noyaux qui vous re-libérer foule de neutrons au bout du compte. Ce sont principalement ces neutrons "cinétiques", l'énergie thermique.
à+
_Spin- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 9506
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Relativité, Einstein, ou... ?
D'accord.
Mais alors là, c'est moi qui ne suit plus. Vous parliez de E=mc2 dans l'énergie nucléaire.
S'applique-t-elle aux gluons qui sont les ligants du noyau ?
Je me souviens en effet, d'un cours de chimie qui appliquait Einstein aux molécules, et qui concluait que cette applications aux molécules était négligeable. Mais je ne me rappelle plus somment elle était appliquée, et j'ai gardé ce cours à l'internat, que je rejoins ce soir. Je crois qu'il était question encore une fois d'un défaut de masses, qui toutes proportions gardées fut négligeable pour les molécules.
Cela signifierait en outre qu'on ne peut pas appliquer Einstein aux liaisons en soi, mais seulement aux réaction.
Donc elle ne serait pas non plus applicable à la force de cohésion en soi.
Je vous donnerai des nouvelles ce soir, si je retrouve le livre.
Mais alors là, c'est moi qui ne suit plus. Vous parliez de E=mc2 dans l'énergie nucléaire.
S'applique-t-elle aux gluons qui sont les ligants du noyau ?
Je me souviens en effet, d'un cours de chimie qui appliquait Einstein aux molécules, et qui concluait que cette applications aux molécules était négligeable. Mais je ne me rappelle plus somment elle était appliquée, et j'ai gardé ce cours à l'internat, que je rejoins ce soir. Je crois qu'il était question encore une fois d'un défaut de masses, qui toutes proportions gardées fut négligeable pour les molécules.
Cela signifierait en outre qu'on ne peut pas appliquer Einstein aux liaisons en soi, mais seulement aux réaction.
Donc elle ne serait pas non plus applicable à la force de cohésion en soi.
Je vous donnerai des nouvelles ce soir, si je retrouve le livre.
AC*- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 2390
Date d'inscription : 06/11/2011
Re: Relativité, Einstein, ou... ?
J'avoue n'avoir pas souvenance d'avoir étudié les gluons. Mais si on applique E=mc2 à une réaction nucléaire, il faut bien qu'une masse se transforme en énergie. Je veux bien (de toute façon on me demande fort peu mon avis ) qu'on la quantifie (on s'efforce de tout quantifier, non ?) et qu'on l'appelle "gluon".ACourvoisier a écrit:D'accord.
Mais alors là, c'est moi qui ne suit plus. Vous parliez de E=mc2 dans l'énergie nucléaire.
S'applique-t-elle aux gluons qui sont les ligants du noyau ?
à+
_Spin- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 9506
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Relativité, Einstein, ou... ?
Je ne me rappelle pas qu'un ou des gluons disparaissent, mais j'avoue que la question est loin d'être idiote.
Par contre, un défaut de masse ne signifie pas pour autant un défaut de particules.
Je m'explique:
On connaît la masse de l'électron par l'expérience de Milikan.
On connaît celle du proton non lié, par la masse calculée de l'Hydrogène, de laquelle on déduit la masse de l'électron.
Ainsi, bien que le neutron seul soit tout à fait instable, on peut estimer la masse d'un neutron en additionnant les masse de l'électron et du proton. (Ce qui n'est pas exact: un neutron peut parfois être la soustraction d'un positron à un proton.)
Spin: Je crois que vous avez trouvé :
En effet, je parle bien de proton, électron, et neutron non liés.
Il s'en déduit implicitement ceci:
Dans la liaison, encore une fois la somme des particules est la même, mais si l'on prend la pesée moyenne des produits, on déduit une masse différente.
Je ne peux pas tout déduire, puisque nous recherchons actuellement le boson de Higgs et le graviton pour expliquer la nouvelle pierre philosophale (l'union de la gravité et de la quantique).
Seulement, on doit bien partir des particules pour estimer la pesée, et le résultat est différent.
Donc dans la liaison, il doit y avoir un surplus de masse - d'où l'endothermie (en général) des liaisons à partir des "éléments" ou des constituants simples - qui peut s'expliquer par Einstein.
Youpiii!
Seulement, je ne sais si la formule approximée convient, ou s'il faut utiliser la formule avec la racine au dénominateur.
À l'époque où je l'ai utilisée, je n'avais en effet pas connaissance de la racine, et je ne sais pas pourquoi elle fut omise ou négligée, ni comment on devrait appliquer "v".
P.S.:
Mais n'oubliez pas que le défaut de masse d'une mole d'Uranium 235 pour 235 grammes n'est plus négligeable, d'autant que les neutrons produits sont très légers comparé à l'uranium réactif. Il y a donc une grande cinétique, une grande thermique.
Par contre, un défaut de masse ne signifie pas pour autant un défaut de particules.
Je m'explique:
On connaît la masse de l'électron par l'expérience de Milikan.
On connaît celle du proton non lié, par la masse calculée de l'Hydrogène, de laquelle on déduit la masse de l'électron.
Ainsi, bien que le neutron seul soit tout à fait instable, on peut estimer la masse d'un neutron en additionnant les masse de l'électron et du proton. (Ce qui n'est pas exact: un neutron peut parfois être la soustraction d'un positron à un proton.)
Spin: Je crois que vous avez trouvé :
En effet, je parle bien de proton, électron, et neutron non liés.
Il s'en déduit implicitement ceci:
Dans la liaison, encore une fois la somme des particules est la même, mais si l'on prend la pesée moyenne des produits, on déduit une masse différente.
Je ne peux pas tout déduire, puisque nous recherchons actuellement le boson de Higgs et le graviton pour expliquer la nouvelle pierre philosophale (l'union de la gravité et de la quantique).
Seulement, on doit bien partir des particules pour estimer la pesée, et le résultat est différent.
Donc dans la liaison, il doit y avoir un surplus de masse - d'où l'endothermie (en général) des liaisons à partir des "éléments" ou des constituants simples - qui peut s'expliquer par Einstein.
Youpiii!
Seulement, je ne sais si la formule approximée convient, ou s'il faut utiliser la formule avec la racine au dénominateur.
À l'époque où je l'ai utilisée, je n'avais en effet pas connaissance de la racine, et je ne sais pas pourquoi elle fut omise ou négligée, ni comment on devrait appliquer "v".
P.S.:
Mais n'oubliez pas que le défaut de masse d'une mole d'Uranium 235 pour 235 grammes n'est plus négligeable, d'autant que les neutrons produits sont très légers comparé à l'uranium réactif. Il y a donc une grande cinétique, une grande thermique.
AC*- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 06/11/2011
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