Honteusement... les radins...
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Honteusement... les radins...
Quelqu'un croit-il que Dieu seul aï des efforts à faire pour que cela aille bien dans le royaume?
Un serviteur inutile, ça sert à quoi?
Un serviteur qui se laisse guider par l'avarice, avec quoi peut-il se présenter auprès de son Seigneur?
Si le Seigneur doit tout faire, à quoi bon gaspiller de son énergie pour entretenir des serviteur inutile?
Le songe...
Lorsque mon patron dit à son fils de m'envoyer chercher les boissons pour le repas qu'il nous prépare en ce lieu. Le fils me donne une somme d'argent. Regardant le peu qu'il me donne, je lui demande : "combien veut-tu que j'en rapporte? 24? 12? 6? " Je n'entend pas trop de réponse, mais je comprend qu'il laisse cela un peut à ma discrétion. Je connais mes patrons et ce n'est pas la première fois que nous mangeons ensemble, alors j'ai une très bonne idée de ce que je dois rapporter pour boire, vaux mieux en avoir plus que pas assé. Donc tel produit en telle quantité.
Chez le marchant, je regarde ce que je peu avoir pour le montant que le fils m'a donné. J'ai en moi un sentiment avare, radin, je me laisse aller à pensé : "coup donc c'est lui qui est boss, je vais quand même pas débourser de mes poches", comme diraient d'autres employés et je me laisse guider par une telle pensé pour mon achat.
Je cherche parmi les produits disponibles, pour ce que je devrais acheter, je sais qu'il manque de l'argent et que je devrai débourser pour avoir une quantité suffisante. Je vois un produit en promotion, au prix que j'ai, la quantité que je veux. Aveuglé par l'aubaine, je ne tiens pas compte de la marque du produit, ne considérant que le fait de ne pas avoir à débourser. Au comptoir pour payer, le commis me dit que bien sûr que la caisse est tel montant, mais l'accessoire promotionnel lui coûte tant de plus, ce qui n'était pas indiqué.
Déçu de mon choix et de mon avarice, je me dis : "Je retournerai à l'étalage et prendrai donc pour le même prix, ce que nous buvons habituellement". De retour à l'étalage, je cherche pour ce produit que mes patrons boivent habituellement, je fais le tour, je fouille, je regarde chaque caisse; il n'y en a plus, tout vendu, plus rien. Pendant que je tergiversais à vouloir économisé de mes poches, toute la réserve de notre produit habituel fût acheté par d'autre consommateur. Et je pensais en moi-même et je disputais en moi-même et je voulais porter des accusation pour ma honte que j'éprouverais en me présentant devant mes patrons avec ce sous produit de mauvais goût pour eux. Là, je me dis : "Vau mieux revenir les mains vide, que d'avoir à expliquer pourquoi j'ai acheté ce produit désagréable, je me ferai donc rembourser ceci.". C'est seulement à ce moment que mes yeux se sont ouvert pour voir la marque du produit. Quel déception!
Je raisonnais donc en moi, me disant que je pourrais peut être aller un peu plus loin pour voir s'il en reste à d'autre endroit; si je fais cela, je risque de prendre beaucoup trop de temps et mes patron finiront par s'inquiéter de ce qui peut bien me retenir si longtemps.
Le songe se termine sur cela.
Que celui qui a la parole de Dieu comprenne ce que l'Esprit dit aux serviteurs de l'Éternel.
C'est vrai, il n'y a rien de nouveau (ce qui montre bien que Dieu ne change pas), nous devons toujours garder la porte ouverte pour l'exhortation à la prudence. C'est pourquoi je l'ai mis dans culture; car l'engrais sert à vivifier l'esprit en pleine croissance.
JP
Un serviteur inutile, ça sert à quoi?
Un serviteur qui se laisse guider par l'avarice, avec quoi peut-il se présenter auprès de son Seigneur?
Si le Seigneur doit tout faire, à quoi bon gaspiller de son énergie pour entretenir des serviteur inutile?
Le songe...
Lorsque mon patron dit à son fils de m'envoyer chercher les boissons pour le repas qu'il nous prépare en ce lieu. Le fils me donne une somme d'argent. Regardant le peu qu'il me donne, je lui demande : "combien veut-tu que j'en rapporte? 24? 12? 6? " Je n'entend pas trop de réponse, mais je comprend qu'il laisse cela un peut à ma discrétion. Je connais mes patrons et ce n'est pas la première fois que nous mangeons ensemble, alors j'ai une très bonne idée de ce que je dois rapporter pour boire, vaux mieux en avoir plus que pas assé. Donc tel produit en telle quantité.
Chez le marchant, je regarde ce que je peu avoir pour le montant que le fils m'a donné. J'ai en moi un sentiment avare, radin, je me laisse aller à pensé : "coup donc c'est lui qui est boss, je vais quand même pas débourser de mes poches", comme diraient d'autres employés et je me laisse guider par une telle pensé pour mon achat.
Je cherche parmi les produits disponibles, pour ce que je devrais acheter, je sais qu'il manque de l'argent et que je devrai débourser pour avoir une quantité suffisante. Je vois un produit en promotion, au prix que j'ai, la quantité que je veux. Aveuglé par l'aubaine, je ne tiens pas compte de la marque du produit, ne considérant que le fait de ne pas avoir à débourser. Au comptoir pour payer, le commis me dit que bien sûr que la caisse est tel montant, mais l'accessoire promotionnel lui coûte tant de plus, ce qui n'était pas indiqué.
Déçu de mon choix et de mon avarice, je me dis : "Je retournerai à l'étalage et prendrai donc pour le même prix, ce que nous buvons habituellement". De retour à l'étalage, je cherche pour ce produit que mes patrons boivent habituellement, je fais le tour, je fouille, je regarde chaque caisse; il n'y en a plus, tout vendu, plus rien. Pendant que je tergiversais à vouloir économisé de mes poches, toute la réserve de notre produit habituel fût acheté par d'autre consommateur. Et je pensais en moi-même et je disputais en moi-même et je voulais porter des accusation pour ma honte que j'éprouverais en me présentant devant mes patrons avec ce sous produit de mauvais goût pour eux. Là, je me dis : "Vau mieux revenir les mains vide, que d'avoir à expliquer pourquoi j'ai acheté ce produit désagréable, je me ferai donc rembourser ceci.". C'est seulement à ce moment que mes yeux se sont ouvert pour voir la marque du produit. Quel déception!
Je raisonnais donc en moi, me disant que je pourrais peut être aller un peu plus loin pour voir s'il en reste à d'autre endroit; si je fais cela, je risque de prendre beaucoup trop de temps et mes patron finiront par s'inquiéter de ce qui peut bien me retenir si longtemps.
Le songe se termine sur cela.
Que celui qui a la parole de Dieu comprenne ce que l'Esprit dit aux serviteurs de l'Éternel.
C'est vrai, il n'y a rien de nouveau (ce qui montre bien que Dieu ne change pas), nous devons toujours garder la porte ouverte pour l'exhortation à la prudence. C'est pourquoi je l'ai mis dans culture; car l'engrais sert à vivifier l'esprit en pleine croissance.
JP
JPG- Maître du Temps
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Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Re: Honteusement... les radins...
je n'ai pas très bien compris ta parabole!
veux-tu dire que le patron était encore plus radin que le commis?
être serviteur, ce n'est pas être taillable et corvéable à merci!
quant à ta référence à Dieu, je ne crois pas qu'elle soit très juste, car je ne pense pas que Dieu nous demande l'impossible, il nous demande certes d'ouvrir les yeux d'aider notre prochain, mais pas au détriment de notre entourage.
même le "viens, suis-moi!" qu'il ordonna à ses disciples ne me convainc pas de ça!
mais peut-être mon regard n'est-il pas assez ouvert en direction de mon Seigneur?
veux-tu dire que le patron était encore plus radin que le commis?
sans être particulièrement radin, je ne pense pas que l'ouvrier doive payer pour son patron, il n'a pas le don de Jésus, il ne peut faire des miracles, et changer le jus de raisin en grand vin!C'est seulement à ce moment que mes yeux se sont ouverts pour voir la marque du produit. Quel déception!
être serviteur, ce n'est pas être taillable et corvéable à merci!
quant à ta référence à Dieu, je ne crois pas qu'elle soit très juste, car je ne pense pas que Dieu nous demande l'impossible, il nous demande certes d'ouvrir les yeux d'aider notre prochain, mais pas au détriment de notre entourage.
même le "viens, suis-moi!" qu'il ordonna à ses disciples ne me convainc pas de ça!
mais peut-être mon regard n'est-il pas assez ouvert en direction de mon Seigneur?
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Identité métaphysique : qu'importe
Humeur : douce et calme
Date d'inscription : 12/04/2008
Re: Honteusement... les radins...
ElBilqîs, Salut!
Vous avez bien raison, le contexte n'est pas très clair, puisqu'en me relisant je dois faire des références à des faits qui ne sont pas écrits.
Nous pourrions donc dire aussi, que le songe que je raconte décrit bien l'effort radin que j'ai mis pour l'écrire et est un peu honteux pour moi. :ploc: Du coup, on se rend compte que seul mon raisonnement est cause de ma situation dans le songe. Car le fils ma donné emplement pour acheter de quoi boire, même qu'il serait resté le quart de ce montant. Et pour doublé la quantité, afin de satisfaire mon raisonnement de "vaut mieu plus que juste assé", j'eu simplement à débourser que le un septième de ce qu'il m'a donné, soit, le un douxième du prix du repas total. Ce n'eut pas été une bien grosse dépense, en proportion, cela représente seulement le quart de ce que je dépense chaque jours pour mon entretient particulier. Je peu ajouter, pour le contexte, que, de mes patrons, je reçois plus que ce que j'attends.
Ceci dit, j'espère que je ne vous embrouille pas.
J'arrête ici pour ce matin, je dois aller au boulot.
Puis, je perd beaucoup de temps à réfrener toutes sortes de raisonnements qui nuisent au dévelopement du texte.
Tient cela me dit quelque chose...
À plus tard!
JP
Vous avez bien raison, le contexte n'est pas très clair, puisqu'en me relisant je dois faire des références à des faits qui ne sont pas écrits.
Nous pourrions donc dire aussi, que le songe que je raconte décrit bien l'effort radin que j'ai mis pour l'écrire et est un peu honteux pour moi. :ploc: Du coup, on se rend compte que seul mon raisonnement est cause de ma situation dans le songe. Car le fils ma donné emplement pour acheter de quoi boire, même qu'il serait resté le quart de ce montant. Et pour doublé la quantité, afin de satisfaire mon raisonnement de "vaut mieu plus que juste assé", j'eu simplement à débourser que le un septième de ce qu'il m'a donné, soit, le un douxième du prix du repas total. Ce n'eut pas été une bien grosse dépense, en proportion, cela représente seulement le quart de ce que je dépense chaque jours pour mon entretient particulier. Je peu ajouter, pour le contexte, que, de mes patrons, je reçois plus que ce que j'attends.
Ceci dit, j'espère que je ne vous embrouille pas.
J'arrête ici pour ce matin, je dois aller au boulot.
Puis, je perd beaucoup de temps à réfrener toutes sortes de raisonnements qui nuisent au dévelopement du texte.
Tient cela me dit quelque chose...
À plus tard!
JP
JPG- Maître du Temps
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Identité métaphysique : Pas de ce monde!
Humeur : La mienne
Date d'inscription : 10/05/2008
Re: Honteusement... les radins...
En relisant les détails de ce songe, mon esprit part dans tous les sens, comme si il y avait tellement d'explication à lui donné que c'est comme un débordement.
Je crois, donc, que je ne peu rien de plus, que de donner tous les détails dont je me souviens. Puisque lui donné un champ d'application, serait interférence de ma part entre la parole qu'il exprime et le lecteur.
Aussi, dans le songe, lorsque je suis au magasin devant le produit en promotion, j'ai cette pensé vaniteuse de vouloir impressionner mes.....
J'arrête là pour le moment et je pose une question... peut-être deux...
Tout ce souci du détail, est-ce vraiment essentiel? L'environnement et la vision général du contexte ne suffit-il pas à saisir simplement que tout ce que le Seigneur demande, c'est de faire avec ce que l'on a, sans raisonnement?
C'est aussi pour cela que j'écris : "rien de nouveau" j'aurais pu ajouter : c'est juste une autre façon de le dire. Et une remémoration d'une vieille exortation.
JP
Je crois, donc, que je ne peu rien de plus, que de donner tous les détails dont je me souviens. Puisque lui donné un champ d'application, serait interférence de ma part entre la parole qu'il exprime et le lecteur.
Aussi, dans le songe, lorsque je suis au magasin devant le produit en promotion, j'ai cette pensé vaniteuse de vouloir impressionner mes.....
J'arrête là pour le moment et je pose une question... peut-être deux...
Tout ce souci du détail, est-ce vraiment essentiel? L'environnement et la vision général du contexte ne suffit-il pas à saisir simplement que tout ce que le Seigneur demande, c'est de faire avec ce que l'on a, sans raisonnement?
C'est aussi pour cela que j'écris : "rien de nouveau" j'aurais pu ajouter : c'est juste une autre façon de le dire. Et une remémoration d'une vieille exortation.
JP
JPG- Maître du Temps
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