Intelligence artificielle
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Re: Intelligence artificielle
Tu as raison, c'est vrai qu'en 3D, on peut manipuler les images plus facilement que dans sa tête, mais par imagination, j'entends aussi la faculté de spéculer sur l'avenir, de décider d'agir sans savoir ce qui arrivera, d'imaginer que ça se passera bien quoi! Un robot ne peut pas se déplacer à l'aveuglette sans une fonction Random, et pour que ça lui soit utile, il lui manque seulement la capacité d'y prévoir du plaisir, et celle de vérifier si ce plaisir imaginaire se réalise. Certes, cette double fonction n'est pas très efficace pour gagner la loto ou pour prouver l'existence de Dieu, mais elle l'est pour apprendre ou pour découvrir quelque chose de concret. C'est en imaginant réussir qu'on apprend à marcher, et en imaginant que ça fonctionnera qu'on fait des théories.dedale a écrit: L'imagination est assistée, inspirée, par les avancées, les découvertes, la recherche et les technologies qui permettent de l'exprimer (imagerie, modélisation, etc)
Ça ne fonctionne pas toujours dans le cas des théories, mais quand ça fonctionne, c'est beaucoup plus avantageux pour la société que de gagner à la loto. Là où ça fonctionne le plus, c'est pour apprendre: c'est impossible d'apprendre sans être capable d'imaginer réussir. On ne peut pas forcer les jeunes à apprendre en leur faisant peur par exemple, mais on peut les convaincre d'essayer en leur promettant du plaisir s'ils réussissent. S'ils réussissent un tout petit peu la première fois, ils ressentiront du plaisir et ils recommenceront, et ils finiront par automatiser l'opération. Apprendre, c'est automatiser un geste, qui est alors lié au plaisir de l'exécuter, de sorte que s'il ne se déroule pas comme prévu, donc si la sensation agréable ressentie lors de son apprentissage ne coïncide subitement plus à la sensation perçue, même si cet automatisme est en train de s'exécuter de manière subconsciente, il capte immédiatement notre attention et devient conscient.
Nos imagination pèsent toutes le pour et le contre, même pour la loto, même pour Dieu. Le vrai problème, c'est quand elles sont si certaines de leurs élucubrations qu'elles ne se donnent même pas la peine de les vérifier, mais comment la mienne pourrait-elle faire ça alors qu'elle prends justement pour acquis que ses élucubrations sont issues du hasard?Ca c'est dans ton imagination qui ne tient compte de rien.
C'est presque un aveu d'impuissance! C'est pourtant simple, il suffit de sauter à n'importe quelle instruction du programme et de l'exécuter durant un temps donné. Si, avant l'échéance, l'opérateur a répondu "OUIIIIII", cet encouragement pourra alors être interprété comme la bonne porte de sortie dans les mêmes circonstances. Sinon, il suffira de sauter à n'importe quelle autre instruction, et ainsi de suite jusqu'à ce que ça fonctionne. Naturellement, ça risquerait d'être plus long que de réinitialiser l'ordinateur, raison pour laquelle cette fonction n'est pas utilisée dans le cas d'un bug, mais pour lui donner de l'autonomie ce serait parfait, à condition qu'il puisse vérifier ses élucubrations à mesure qu'il les développe, donc qu'il continue dans la même direction seulement s'il obtient un oui de l'opérateur, sinon il devrait changer de direction au hasard, mais pas nécessairement à 180 degrés, car il devrait quand même être capable d'en peser le pour et le contre, donc de tenir compte de ce qu'il a déjà réussi à développer par lui-même.Admettons que ton programme soit dans une boucle infinie où tous les résultats donnent uniformément 0, en raison d'une faille quelconque. Pour le programme, c'est une impossibilité. Donc blocage.
Comment ton programme fait pour sortir "par hasard"? Désolé mais la solution ne peut pas être un hasard.
Il y a des fonctions Random presque aussi aléatoires qu'un boulier: après tout, il suffit simplement que l'ordinateur sorte de sa boucle avant d'en avoir épuisé toutes les possibilités!Dedale a écrit:Si on la programmait ce ne serait plus un hasard.mais si on programmait cette fonction sur un ordinateur, il ne tiendrait plus compte de l'utilisateur durant un moment, et il se pourrait que ça dure longtemps.
Mon cerveau est effectivement pris dans une boucle, il essaie de se comprendre lui-même, et il n'a pas trouvé d'autre moyen que de tâtonner, en espérant que le hasard le favorisera.Dedale a écrit:Tu as des idées fixes.Aussi bien fabriquer un vrai cerveau artificiel dans ce cas, avec des neurones et des synapses électroniques.
Nos théories sur l'outil qui nous sert à les développer sont nécessairement subjectives. On le voit pour la théorie de l'évolution: quand nous sommes concernés, seule l'introduction du hasard permet d'être objectif. Je t'accorde que je ne suis pas aussi érudit que toi, mais faut-il absolument l'être pour se servir de son imagination et pour vérifier ses élucubrations? Tu m'aiderais d'avantage à les vérifier en étant plus précis en tout cas: dire que je mélange tout ne m'aide pas beaucoup puisque je le sais déjà. Ce qu'il faudrait, c'est que tu confrontes mes dires avec des études dont je n'ai pas encore tenu compte, ou encore que tu trouves une faille évidente dans un raisonnement. Ma comparaison entre l'évolution biologique et l'évolution de nos idées n'est pas une simple comparaison, c'est surtout la transposition d'un principe qui enlève de la subjectivité à nos raisonnements. Il me semble qu'il y aurait beaucoup moins de croyants si on savait que nos idées sont issues du hasard et que ce n'est qu'après avoir été vérifiées qu'elles deviennent utiles!Tu te fais les questions et les réponses sans connaître le domaine. Tu mélanges diverses considérations anthropocentriques, sociétales, subjectives mais très peu objectives.
Intéresse toi d'abord à la réalité. Ca va plus loin que ce que tu imagines.
M'enfin- Le Repteux
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Tu as raison, c'est vrai qu'en 3D, on peut manipuler les images plus facilement que dans sa tête, mais par imagination, j'entends aussi la faculté de spéculer sur l'avenir, de décider d'agir sans savoir ce qui arrivera, d'imaginer que ça se passera bien quoi!
1 - Qu'est-ce qui pourrait bien empêcher une I.A de déterminer qu'un process se situe dans l'avenir avec certaines probabilités?
2 - Ce que tu dis ça reste vague : "spéculer sur l'avenir", on ne sait pas si tu parles de "madame soleil" ou d'une projection élaborée sur des faits, une modélisation.
L'imagination est un terme littéraire, commun, qui désigne pour les sciences un ensemble de facultés ou de fonctions neuro-cognitives - et non pas une seule.
On peut l'employer dans diverses situations, aussi bien pour quelqu'un qui improvise un délire personnel que pour quelqu'un qui construit des choses très concrètes en leur donnant une touche originale, pour un artiste comme pour un scientifique.
Pareil pour la spéculation. Tu as la spéculation des soucoupistes et tu as la spéculation des systèmes financiers, par exemple.
La spéculation peut être un art, une science, un moyen de s'évader, une pathologie obsessionnelle, une façon d'explorer des possibilités...
Un robot ne peut pas se déplacer à l'aveuglette sans une fonction Random
Ben si. Il existe des jouets de ce type. pas besoin de fonction Random, c'est juste de la mécanique basique.
Tu n'as jamais ces petite voitures pour les gosses, qu'on remonte avec une clé, et dont les 2 roues avant qui tractent l'objet, sont montées sur un pivot : Ca va tout droit mais quand ça rencontre un obstacle, le pivot est entraîné par la résistance et fait que le jouet change de direction au hasard, dés qu'il est libéré.
et pour que ça lui soit utile, il lui manque seulement la capacité d'y prévoir du plaisir
Ca ne lui manque pas.
C'est étrange que tu n'arrive pas percuter.
et celle de vérifier si ce plaisir imaginaire se réalise.
Tu fais avec l'I.A comme avec l'atome : tu l'affubles de perceptions, d'émotions, humaines, d'une attente....
Certes, cette double fonction n'est pas très efficace pour gagner la loto ou pour prouver l'existence de Dieu, mais elle l'est pour apprendre ou pour découvrir quelque chose de concret.
Elle est peut être nécessaire pour l'être humain, et encore, c'est à voir.
Mais on se demande où et passée ta réflexion sur l'I.A.
En fait dans ton topic intitulé "intelligence artificielle" , la question de l'I;A était très secondaire, c'était juste pour foutre du hasard à toutes les sauces.
C'est en imaginant réussir qu'on apprend à marcher
Aucun rapport avec l'imagination. Un gosse ne se pose pas la question s'il réussira ou pas : il apprend grâce aux facultés de mimétisme propres à son espèce.
et en imaginant que ça fonctionnera qu'on fait des théories.
Si tu imagines de bonnes théories, alors elles fonctionneront.
Ce sont les faits qui font les théories, pas ton imagination.
c'est impossible d'apprendre sans être capable d'imaginer réussir
Une chose est certaine : Si tu n'apprends pas, tu ne réussiras pas.
Du moins, tu ne peux pas imaginer réussir quoi que ce soit dans le domaine de la physique, par exemple, si tu n'as rien appris.
Comment peux-tu imaginer réussir dans un domaine dont tu ne sais rien? Tu ne sais même pas ce que tu peux réussir au juste.
L'apprentissage est un process de développement : Un bébé singe n'imagine rien quand il apprend à se déplacer dans les branches. Il observe ses aînés le faire. Il a l'exemple.
Un bébé humain ne doute pas qu'il puisse marcher quand il se lance sous les motivations de ses parents qui lui tendent les bras : C'est un process de mimétisme naturel; tout le monde marche, c'est naturel. C'est la capacité de développement et d'adaptation qui est à l'oeuvre; la maturation de l'individu qui apprend certaines choses : marcher, parler, écouter, retenir, observer certaines règles sociétales, familiales....
Tu sacralises l'imagination. L'imagination, c'est juste la faculté de se représenter, de se figurer, des choses, à tort ou à raison, plus ou moins librement, et de façon subjective.
Et tu ne peux toujours pas comparer une I.A à un être vivant, qui n'a pas du tout le même développement.
Utilise ton imagination et un peu de discernement.
Bon après, pour le reste, je vois que, comme d'habitude, tu tournes en boucle; donc on va te laisser t'imaginer que tu peux réussir au pif sans rien y piger.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
Bien des choses, mais quel serait le seuil qui lui permettrait de prendre une décision? Et comment prendrait-elle une décision si, selon ses calculs, ses chances étaient de 50%?dedale a écrit:1 - Qu'est-ce qui pourrait bien empêcher une I.A de déterminer qu'un process se situe dans l'avenir avec certaines probabilités?M'enfin a écrit: par imagination, j'entends aussi la faculté de spéculer sur l'avenir, de décider d'agir sans savoir ce qui arrivera, d'imaginer que ça se passera bien quoi!
Ouais, je vois ce que tu veux dire, c'est comme pour les prédictions: il y a celles de Nostradamus, et celles des théories scientifiques. Disons que pour moi, spéculer signifie prendre des risques. On prend moins de risques en faisant des calculs avant de faire un prototype, mais on peut aussi y aller directement avec un prototype s'il n'est pas trop dispendieux. Là où les calculs sont plus avantageux, c'est pour affiner un prototype, ou pour en faire une production.2 - Ce que tu dis ça reste vague : "spéculer sur l'avenir", on ne sait pas si tu parles de "madame soleil" ou d'une projection élaborée sur des faits, une modélisation.
Si on définit l'imagination comme le processus qui nous permet d'anticiper une réponse positive quand nous décidons de poser un geste, il me semble que ça englobe tout ce que tu dis. Mais pour rendre ce processus opérationnel, je lui ajoute la propension à vérifier que la réponse positive anticipée correspond bel et bien à la réponse perçue, propension qui devient visiblement inopérante ou inefficace dans le cas des délires ou des croyances.L'imagination est un terme littéraire, commun, qui désigne pour les sciences un ensemble de facultés ou de fonctions neuro-cognitives - et non pas une seule.
On peut l'employer dans diverses situations, aussi bien pour quelqu'un qui improvise un délire personnel que pour quelqu'un qui construit des choses très concrètes en leur donnant une touche originale, pour un artiste comme pour un scientifique.
Tant que le résultat est incertain et que le geste est conscient, j'appelle-ça de la spéculation. Par contre, le niveau de risque peut varier, et le bond exécuté est alors plus grand si le risque est plus grand. Gare à la réception si le geste n'était pas réalisable, mais quel avancement s'il l'est!Pareil pour la spéculation. Tu as la spéculation des soucoupistes et tu as la spéculation des systèmes financiers, par exemple.
La spéculation peut être un art, une science, un moyen de s'évader, une pathologie obsessionnelle, une façon d'explorer des possibilités...
Tu as raison, mais il y a une différence importante: la voiture n'a pas de mémoire et elle n'a pas à améliorer son sort. Il faut toujours se rapporter au hasard des mutations si on veut comprendre ce que je dis: il faut lui trouver une utilité au hasard de ta petite voiture, et une utilité pour elle, pas pour les enfants.Dedale a écrit:Ben si. Il existe des jouets de ce type. pas besoin de fonction Random, c'est juste de la mécanique basique.Un robot ne peut pas se déplacer à l'aveuglette sans une fonction Random
Tu n'as jamais ces petite voitures pour les gosses, qu'on remonte avec une clé, et dont les 2 roues avant qui tractent l'objet, sont montées sur un pivot : Ca va tout droit mais quand ça rencontre un obstacle, le pivot est entraîné par la résistance et fait que le jouet change de direction au hasard, dés qu'il est libéré.
Et toi, tu n'accordes pas sa liberté de penser à ton IA, tu n'en fais qu'un outil à notre disposition, et tu crois pouvoir le rendre aussi intelligent que nous. Tu ne serais pas un émule d'Isaac Asimov par hasard?Dedale a écrit:Ca ne lui manque pas.et pour que ça lui soit utile, il lui manque seulement la capacité d'y prévoir du plaisir
C'est étrange que tu n'arrive pas percuter.Tu fais avec l'I.A comme avec l'atome : tu l'affubles de perceptions, d'émotions, humaines, d'une attente....et celle de vérifier si ce plaisir imaginaire se réalise.
D'abord, ce n'est pas mon sujet, ensuite, je vois l'IA comme une amélioration de l'intelligence, pas un outil à notre disposition, mais avant de l'améliorer, je crois qu'il faudra d'abord comprendre comment une interaction entre des neurones et des synapses peut conserver de l'information.Dedale a écrit:Elle est peut être nécessaire pour l'être humain, et encore, c'est à voir.Certes, cette double fonction n'est pas très efficace pour gagner la loto ou pour prouver l'existence de Dieu, mais elle l'est pour apprendre ou pour découvrir quelque chose de concret.
Mais on se demande où et passée ta réflexion sur l'I.A.
En fait dans ton topic intitulé "intelligence artificielle" , la question de l'I;A était très secondaire, c'était juste pour foutre du hasard à toutes les sauces.
Les animaux apprennent par mimétisme aussi, pourtant, ils ne deviennent pas intelligents. Avant de s'élancer, les enfants hésitent. Les plus prompts aimeront le risque ou feront d'avantage confiance aux autres quand ils seront grands. Dans les deux cas, leur récompense est leur réussite: soit ils en prennent conscience par eux-mêmes, donc ils comparent ce qu'ils avaient prévu à ce qui est arrivé, soit ils se fient à la réaction de leurs parents, et encore là, à cet âge-là, ils doivent anticiper une réaction positive avant de se lancer. Plus jeune, quand un bébé produit des gestes aléatoires, il n'anticipe pas volontairement encore, mais ses gestes sont déjà aléatoires, et leur pertinence sera sélectionnée par la réponse du milieu, dont celle des parents.Dedale a écrit:Aucun rapport avec l'imagination. Un gosse ne se pose pas la question s'il réussira ou pas : il apprend grâce aux facultés de mimétisme propres à son espèce.C'est en imaginant réussir qu'on apprend à marcher
Il y a des milliers de théories présentement, elles se basent toutes sur les mêmes faits, mais très peu d'entre elles seront admises. L'histoire ne retient que les théories qui ont fonctionné, mais il y en a des tonnes qui n'ont pas fonctionné. Si on veut comprendre l'imagination, il faut aussi regarder ses anticipations ratées, pas seulement ses réussites. Pour une population donnée, seules quelques mutations seront sélectionnées. N'y voir que celles-là mène à nous, mais il faut éviter d'en faire tout un plat, il faut voir l'intelligence pour ce qu'elle est: juste un outil pour empêcher le hasard de nous manger tout ronds!Dedale a écrit:Si tu imagines de bonnes théories, alors elles fonctionneront.et en imaginant que ça fonctionnera qu'on fait des théories.
Ce sont les faits qui font les théories, pas ton imagination.
J'en sais probablement presque autant que toi en physique, mais j'ai vraisemblablement beaucoup moins de mémoire que toi, et ça fait moins longtemps que toi que je m'y intéresse, alors vu que je n'ai plus le temps de retourner à l'école, je n'ai pas le choix, j'apprends à mesure que je développe mon idée, et j'ai donc besoin de me confronter à ceux qui ont plus de connaissances que moi. Certains sont bienveillants, mais plusieurs sont hostiles: chasse gardée oblige. Nous sommes à une curieuse époque quand même avec internet: les possibilités d'interaction ont augmenté de manière exponentielle. C'est tout récent, et nous n'en voyons pas encore le résultat, mais il devrait être foudroyant.Dedale a écrit:Une chose est certaine : Si tu n'apprends pas, tu ne réussiras pas.c'est impossible d'apprendre sans être capable d'imaginer réussir
Du moins, tu ne peux pas imaginer réussir quoi que ce soit dans le domaine de la physique, par exemple, si tu n'as rien appris.
Comment peux-tu imaginer réussir dans un domaine dont tu ne sais rien? Tu ne sais même pas ce que tu peux réussir au juste.
Rendu à l'âge de pouvoir marcher, un bébé est déjà tombé plusieurs fois, donc il sait que ça peut faire mal. S'il décide de s'élancer, selon moi, c'est qu'il anticipe que ça ne fera pas trop mal cette fois-là. Peu importe son calcul du risque, s'il s'élance, c'est qu'il y prévoit plus de plaisir que de mal. Pour la marche, la vérification est rapide, et le milieu n'a pas beaucoup de chance de changer entre le moment où le geste est initié et celui où la réponse arrive. Mais dans le cas de nos gestes à long terme, ce n'est pas le cas: on ne peut rien apprendre de nos essais si le milieu varie tout le temps. Notre faculté d'anticipation n'est utile qu'à court terme: voilà pourquoi je dis que la spéculation financière est inutile, aussi inutiles que les programmes politiques d'ailleurs.Un bébé humain ne doute pas qu'il puisse marcher quand il se lance sous les motivations de ses parents qui lui tendent les bras : C'est un process de mimétisme naturel; tout le monde marche, c'est naturel. C'est la capacité de développement et d'adaptation qui est à l'oeuvre; la maturation de l'individu qui apprend certaines choses : marcher, parler, écouter, retenir, observer certaines règles sociétales, familiales....
Je ne sacralise pas l'intelligence puisque j'anticipe que nous pourrons la reproduire, et je crois que l'imagination est sa principale force, donc je ne la sacralise pas non plus.Tu sacralises l'imagination. L'imagination, c'est juste la faculté de se représenter, de se figurer, des choses, à tort ou à raison, plus ou moins librement, et de façon subjective.
C'est peut-être justement parce que je ne sacralise pas l'intelligence que je suis capable d'imaginer une IA à notre ressemblance. Pour le développement, tu as raison: nous savons que les neurones se développent selon leur utilisation, et il est difficile d'imaginer comment des neurones électroniques pourraient faire ça. Mais si nous arrivons à comprendre comment nous emmagasinons l'information, nous pourrions peut-être rendre une pareille IA aussi intelligente qu'un humain en ajoutant progressivement des neurones où elle en a besoin.Et tu ne peux toujours pas comparer une I.A à un être vivant, qui n'a pas du tout le même développement.
Utilise ton imagination et un peu de discernement.
Merci de me laisser imaginer, moi, je te laisse te rappeler vu que tu as de la mémoire. Dommage quand même, nous aurions formé un couple complémentaire toit et moi si nous nous étions entendus!Bon après, pour le reste, je vois que, comme d'habitude, tu tournes en boucle; donc on va te laisser t'imaginer que tu peux réussir au pif sans rien y piger.
M'enfin- Le Repteux
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Bien des chosesdedale a écrit:1 - Qu'est-ce qui pourrait bien empêcher une I.A de déterminer qu'un process se situe dans l'avenir avec certaines probabilités?
D'accord.
mais quel serait le seuil qui lui permettrait de prendre une décision?
Un seuil relatif aux raisons de prendre une décision.
Et comment prendrait-elle une décision si, selon ses calculs, ses chances étaient de 50%?
De bien des façons.
Ouais, je vois ce que tu veux dire, c'est comme pour les prédictions: il y a celles de Nostradamus, et celles des théories scientifiques. Disons que pour moi, spéculer signifie prendre des risques.
Le tout est de savoir si ces risques sont justifiées, pour quelle raison on les prend.
- Si tu proposes une "théorie" juste pour prendre des risques, c'est une posture et non un argument.
On prend moins de risques en faisant des calculs avant de faire un prototype, mais on peut aussi y aller directement avec un prototype s'il n'est pas trop dispendieux. Là où les calculs sont plus avantageux, c'est pour affiner un prototype, ou pour en faire une production.
Tu revendiques une posture. Quel est le rapport avec les théories que tu proposes?
Si on définit l'imagination comme le processus qui nous permet d'anticiper une réponse positive quand nous décidons de poser un geste
Définition de "imagination" :
1 invention, création
2 fantaisie, mythomanie, divagation, inspiration, délire, folie, mensonge, extravagance, trouble - [antonyme] : raison
3 chimère, affabulation, illusion, fiction, songe, fabulation, carotte, mensonge, folie, vision - [antonyme] réel
4 supposition, hypothèse, conjecture, extrapolation
5 fiction, phantasme, pensée, rêve (par extension) absurdité, entendement, folie, mensonge, songe, chimère, divagation, conte, illusion, intelligence, vision, connaissance
- [antonyme] réalité, raison
1 faculté de se représenter des choses en pensée
2 faculté d'inventer en combinant des éléments du vécu
3 par extension péjorativement, affabulation, opinion sans fondement
4 domaine de l'expérience sensible, de la connaissance intuitive
5 chose imaginaire
Voilà ce que ça définit l'imagination : Bien des processus.
Si tu arrives à donner une définition globale, neutre, sans que ça se moule sur tes opinions, on verra.
il me semble que ça englobe tout ce que tu dis
Je dirais plutôt que c'est une extrapolation.
L'imagination est un processus de représentation, qui peut être associé à la créativité, au génie, comme à un obscurantisme profond et mystificateur.
Mais pour rendre ce processus opérationnel, je lui ajoute la propension à vérifier que la réponse positive anticipée correspond bel et bien à la réponse perçue, propension qui devient visiblement inopérante ou inefficace dans le cas des délires ou des croyances.
Ce n'est pas un processus. C'est la description surfacique d'une activité cérébrale : Imaginer, c'est à dire, se représenter des choses sur un mode subjectif.
Quand l'écrivain, auteur de SF, J.Guieu, se représentait ses vénusiennes blondes aux yeux bleus et bien pulpeuses, etc, c'était son imagination. Il se faisait plaisir.
C'est sûr que s'il avait vécu au moyen-âge et non à l'époque de Star Trek, il aurait pris beaucoup de risques.
Mais aujourd'hui, on peut délirer ce qu'on veut : Tu n'impressionneras personne.
On peut vérifier un raisonnement, mais l'imagination, c'est d'abord fait pour s'exprimer, c'est une capacité à se représenter, à donner forme à des idées.
Tant que le résultat est incertain et que le geste est conscient, j'appelle-ça de la spéculation. Par contre, le niveau de risque peut varier, et le bond exécuté est alors plus grand si le risque est plus grand. Gare à la réception si le geste n'était pas réalisable, mais quel avancement s'il l'est!
Désolé mais l'anthropocentrisme n'est pas de la spéculation, c'est une vieille habitude qui ramène tout au nombril humain. Et pour le moment, dans ton discours, il n'y a que ça.
Et c'est pas comme ça que tu peux espérer une quelconque avancée.
la voiture n'a pas de mémoire et elle n'a pas à améliorer son sort
Les débats avec toi, c'est un grand n'importe quoi.
Il faut toujours se rapporter au hasard des mutations si on veut comprendre ce que je dis: il faut lui trouver une utilité au hasard de ta petite voiture, et une utilité pour elle, pas pour les enfants.
Ton hasard des mutations est imaginaire et hors propos
La voiture-jouet est un objet manufacturé par l'homme, donc artificiel, dont la fonction est celle d'amuser les enfants.
Lui donner une envergure existentielle tient d'une métaphysique pour déconnectés.
Justement ce hasard qui n'est en fait qu'une simple dynamique-méca élémentaire donne à l'enfant l'illusion que l'objet possède un semblant d'autonomie, une réactivité devant les obstacles qu'il rencontre.
L'imagination fait son travail.
Ce que s'imagine cet enfant est directement vérifiable : L'objet passe les obstacle donc il est autonome dans son mouvement.
Ainsi donc, si tu vérifies ce que tu imagines, ça ne le rendra pas plus véridique. Mauvaise approche.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
Est-ce qu'une intelligence artificielle peut avoir une idée ?
du genre tiens, s'ap j'ai envie de rien foutre.
ps: M'enfindedale.
du genre tiens, s'ap j'ai envie de rien foutre.
ps: M'enfindedale.
Re: Intelligence artificielle
tu n'en fais qu'un outil à notre dispositionM'enfin a écrit:Et toi, tu n'accordes pas sa liberté de penser à ton IA
et tu crois pouvoir le rendre aussi intelligent que nous.
Tu ne serais pas un émule d'Isaac Asimov par hasard?
Moi, tu sais, la politique...
D'abord, ce n'est pas mon sujet, ensuite, je vois l'IA comme une amélioration de l'intelligence, pas un outil à notre disposition, mais avant de l'améliorer, je crois qu'il faudra d'abord comprendre comment une interaction entre des neurones et des synapses peut conserver de l'information.
Il n'y a pas besoin d'I.A pour améliorer son intelligence, c'est à toi à te renseigner sur le système cognitif et le fonctionnement des I.A avant de raconter n'importe quoi, et de rester dans des caricatures gravitant autour de tes théories
Les animaux apprennent par mimétisme aussi, pourtant, ils ne deviennent pas intelligents.
Ils ne deviennent pas intelligents comme nous parce qu'ils n'ont pas les mêmes capacités cérébrales.
Tout animal ayant un cortex cérébral, aussi primitif soit-il, possède un certain degré d'intelligence.
Avant de s'élancer, les enfants hésitent.
Oui ou ils calculent, ils peuvent avoir un peu peur, manquer d'audace, ...., ça dépend de beaucoup de choses. Chacun va à son rythme et selon sa sensibilité.
Les plus prompts aimeront le risque ou feront d'avantage confiance aux autres quand ils seront grands.
Je ne sais pas si un têtard qui apprend à marcher par exemple, a conscience du risque.
Ils hésitent plutôt parce qu'ils ne coordonnent pas encore totalement leurs membres.
Dans les deux cas, leur récompense est leur réussite
On peut le voir comme ça oui, sur mode réussite/récompense. Sur un plan sociétal, psychologique, la réussite = la récompense. C'est vrai.
Mais en toile de fond, il y a le plan biologique : Avec ou sans récompense, la réussite est nécessaire, c'est une condition de l'adaptation et une fonction de l'apprentissage.
la réussite, au sens large, est un aspect de la sélection.
soit ils en prennent conscience par eux-mêmes, donc ils comparent ce qu'ils avaient prévu à ce qui est arrivé
Si on parle de petits têtards, la prise de conscience s'effectue au moyen de la découverte : Ils découvrent.
Et en elle-même, cette découverte peut être une forme de récompense ou de satisfaction : Car pour un gosse qui apprend admettons à lire, à écrire, ou ne serait-ce que s'exprimer, bavarder, toute nouvelle découverte est un sujet de fertilisation de son esprit et d'échanges qui l'initient à sa vie sociétale.
soit ils se fient à la réaction de leurs parents, et encore là, à cet âge-là, ils doivent anticiper une réaction positive avant de se lancer.
Mais non, c'est beaucoup plus diversifié et c'est d'autant plus difficile à englober que le cerveau d'un enfant est en évolution.
Le caractère ou le comportement des parents fait pression, bien sûr -mais jusqu'à un certain point.
Plus jeune, quand un bébé produit des gestes aléatoires, il n'anticipe pas volontairement encore, mais ses gestes sont déjà aléatoires, et leur pertinence sera sélectionnée par la réponse du milieu, dont celle des parents.
Un enfant découvre la fonction des membres et la coordination des gestes.
Il découvre peu à peu qu'il peut prendre ou s'exprimer avec ses mains, soulever avec ses bras, ou se supporter sur ses jambes en faisant aussi la connaissance de l'équilibre. C'est un rodage.
Quand il naît, ses petites mains ne permettent pas de prendre la plupart des objets de son milieu, ses os sont tendres, ses muscles encore trop faibles, sa "boite vocale" n'est pas encore totalement parachevée : Son corps poursuit sa formation.
Donc, dans un réflexe motivé par les mouvements extérieurs qui le stimulent, l'enfant gigote, babille, spontanément, pour roder son petit corps, le préparer à sa future coordination.
D'abord il fera comme s'il nageait dans une piscine imaginaire puis il avancera à 4 pattes et/ou en sautant sur les fesses rembourrées par les couches qui amortissent les chocs, puis finalement, sur 2 jambes.
Dans la nature, rien ne se fait en vain.
Tu remarquera simplement que le cerveau primitif fonctionne par phase : sur le ventre comme nageant (les poissons, les reptiles), à 4 pattes (les ancêtres mammifères), puis sur 2 pattes.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
Aimer le risque est une question de caractère selon moi. Il y a ceux qui apprécient le changement, donc qui aiment le risque, et ceux qui aiment moins. Selon moi, dans une population, la grande majorité aime d'avantage le statut quo, et c'est bien ainsi, sinon ce serait trop risqué pour elle. Même chose pour un individu, s'il aime plus le changement que le statut quo, il risque d'y passer. Les animaux ne prennent pas de risque s'ils n'y sont pas forcés, il leur manque ce genre de folie. D'où vient que l'évolution ait choisi de développer une intelligence qui aime le risque, qui ressent du plaisir à en prendre? Quelle en est l'utilité pour une population intelligente?dedale a écrit:Le tout est de savoir si ces risques sont justifiées, pour quelle raison on les prend.Ouais, je vois ce que tu veux dire, c'est comme pour les prédictions: il y a celles de Nostradamus, et celles des théories scientifiques. Disons que pour moi, spéculer signifie prendre des risques.
- Si tu proposes une "théorie" juste pour prendre des risques, c'est une posture et non un argument.
Ceux qui proposent des théories prennent des risques, donc ils sont de ceux qui aiment, mais s'ils sont sains d'esprit, ils savent très bien qu'ils peuvent se tromper. Comme pour n'importe quel risque, un risque risque d'être avantageux pour la personne qui le prend, que ce soit directement ou indirectement. Le succès d'une théorie profite d'abord à celui qui la concocte, mais les retombées finissent par toucher tout le monde. On ne permettra pas à un chercheur de risquer la vie de ses semblables, mais sa propre vie, oui. Si les mutations avaient été risquées pour la survie d'une espèce, l'évolution n'aurait jamais eu lieu, mais puisqu'elle a eu lieu, on peut en déduire que processus de sélection naturelle empêche les mutations dangereuses de se répandre. C'est un peu la même chose pour une idée, même si elle est bénéfique du point de vue du chercheur, elle ne se répand que si elle est bénéfique pour la population.
Bien des processus, mais qui ne se résument finalement qu'à un seul: faire tourner des ballons sur son nez dans sa tête, et essayer ensuite de le faire pour vrai. L'imagination ne servirait à rien si elle demeurait virtuelle. Combiner des éléments du vécu dans sa tête fonctionne toujours, mais le réaliser ne fonctionne pas toujours. Comment faisons-nous pour combiner ensembles des éléments qui ne l'étaient pas dans la réalité, et quelle en est l'utilité si la réalité ne lui en avait pas trouvé? Quel est le raisonnement qui a permis à Dali d'associer le solide et le fluide dans ses peintures par exemple? Nos croisements de pensées ressemblent aux croisement génétiques, qui servent à créer de la diversité génétique. Plus une population est importante, plus les croisements sont aléatoires, et plus la diversité est importante: c'est la règle! Alors il me semble qu'elle est applicable à nos croisements de pensées, car plus ils sont aléatoires, plus la diversité des pensées est importante chez un individu, et c'est la même chose pour une société. De cette manière, il y a moins de chances de reproduire une mauvaise combinaison d'idée, comme il y a moins de chances de reproduire une mauvaise combinaison de gènes. Pour un individu donné, sa divergence n'est pas synonyme de succès, mais pour une société, il y a plus de chances de succès.Dedale a écrit:Si on définit l'imagination comme le processus qui nous permet d'anticiper une réponse positive quand nous décidons de poser un geste
Définition de "imagination" :
1 invention, création
2 fantaisie, mythomanie, divagation, inspiration, délire, folie, mensonge, extravagance, trouble - [antonyme] : raison
3 chimère, affabulation, illusion, fiction, songe, fabulation, carotte, mensonge, folie, vision - [antonyme] réel
4 supposition, hypothèse, conjecture, extrapolation
5 fiction, phantasme, pensée, rêve (par extension) absurdité, entendement, folie, mensonge, songe, chimère, divagation, conte, illusion, intelligence, vision, connaissance
- [antonyme] réalité, raison
1 faculté de se représenter des choses en pensée
2 faculté d'inventer en combinant des éléments du vécu
3 par extension péjorativement, affabulation, opinion sans fondement
4 domaine de l'expérience sensible, de la connaissance intuitive
5 chose imaginaire
Voilà ce que ça définit l'imagination : Bien des processus.
Si tu arrives à donner une définition globale, neutre, sans que ça se moule sur tes opinions, on verra.
Exact, mais si on la voit comme un processus créateur de diversité servant à ouvrir des possibilités d'évolution, on voit que l'obscurantisme contient sa propre perte, car contrairement aux propositions de la science, ses possibilités ne donneront jamais rien de concret.L'imagination est un processus de représentation, qui peut être associé à la créativité, au génie, comme à un obscurantisme profond et mystificateur.
Nos raisonnements ont beau s'appuyer sur des connaissances, si ce sont des croisements de connaissances, comme pour les montres molles de Dali, on voit bien que certains sont illogiques. D'un autre côté, on peut parfaitement vérifier si une combinaison aléatoire est utile, et en principe, c'est ce que la sélection naturelle fait depuis le début.Dedale a écrit:On peut vérifier un raisonnement, mais l'imagination, c'est d'abord fait pour s'exprimer, c'est une capacité à se représenter, à donner forme à des idées.Mais pour rendre ce processus opérationnel, je lui ajoute la propension à vérifier que la réponse positive anticipée correspond bel et bien à la réponse perçue, propension qui devient visiblement inopérante ou inefficace dans le cas des délires ou des croyances.
L'anthropocentrisme, c'est tout simplement une projection de notre égocentrisme. Chacun agit pour lui avant d'agir pour les autres, et pour son groupe ou son espèce avant l'autre groupe ou l'autre espèce. C'est plus qu'un principe vital, c'est un principe existentiel: c'est ce qui fait que les phénomènes observables résistent au changement. Il y a toujours deux côtés à une même médaille, mais on a toujours tendance à ne voir que celui qui nous favorise. Il y a de l'anthropocentrisme dans tout ce que nous disons, c'est inévitable, mais notre égocentrisme nous donne l'impression qu'il n'y en a que chez les autres. Se servir de l'anthropocentrisme comme argument revient à accuser les autres d'être plus égocentriques que soi, mais l'ad hominem n'est pas un argument utile.Dedale a écrit:Désolé mais l'anthropocentrisme n'est pas de la spéculation, c'est une vieille habitude qui ramène tout au nombril humain. Et pour le moment, dans ton discours, il n'y a que ça.Tant que le résultat est incertain et que le geste est conscient, j'appelle-ça de la spéculation. Par contre, le niveau de risque peut varier, et le bond exécuté est alors plus grand si le risque est plus grand. Gare à la réception si le geste n'était pas réalisable, mais quel avancement s'il l'est!
Et c'est pas comme ça que tu peux espérer une quelconque avancée.
C'est vrai que le lien est parfois ténu, mais il est toujours là, non?Dedale a écrit:Les débats avec toi, c'est un grand n'importe quoi.la voiture n'a pas de mémoire et elle n'a pas à améliorer son sort
Contrairement à la métaphysique, je cherche une utilité concrète aux phénomènes. Dans ce sens, on pourrait dire que ta petite voiture cherche à conserver son mouvement, et que, vu qu'elle n'a pas d'autre moyen de reconnaître sa situation, procéder de manière aléatoire lors d'une rencontre est une solution.Dedale a écrit:Ton hasard des mutations est imaginaire et hors proposIl faut toujours se rapporter au hasard des mutations si on veut comprendre ce que je dis: il faut lui trouver une utilité au hasard de ta petite voiture, et une utilité pour elle, pas pour les enfants.
La voiture-jouet est un objet manufacturé par l'homme, donc artificiel, dont la fonction est celle d'amuser les enfants.
Lui donner une envergure existentielle tient d'une métaphysique pour déconnectés.
Tant qu'on ne se pose pas de question sur son fonctionnement, on peut dire aussi que ce qu'on voit d'un phénomène est la vérité. En se posant des question sur le mécanisme, un enfant plus éveillé réaliserait que le véhicule ne peut pas savoir de quel côté tourner, et il pourrait ainsi comprendre le processus, de sorte qu'il pourrait le reproduire, et peut-être même s'en servir plus tard pour donner plus d'autonomie à un automate. Dans la vie, il arrive que nous réagissions comme cette petite auto, mais nous ne prenons pas notre décision avec une pièce de monnaie, et selon moi, c'est vraisemblablement parce que nous en avons une dans la tête.Justement ce hasard qui n'est en fait qu'une simple dynamique-méca élémentaire donne à l'enfant l'illusion que l'objet possède un semblant d'autonomie, une réactivité devant les obstacles qu'il rencontre.
L'imagination fait son travail.
Ce que s'imagine cet enfant est directement vérifiable : L'objet passe les obstacle donc il est autonome dans son mouvement.
Ainsi donc, si tu vérifies ce que tu imagines, ça ne le rendra pas plus véridique. Mauvaise approche.
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Re: Intelligence artificielle
orthon7 a écrit:Est-ce qu'une intelligence artificielle peut avoir une idée ?
du genre tiens, s'ap j'ai envie de rien foutre.
ps: M'enfindedale.
Non. Une I.A ne fonctionne pas comme un être humain.
Au stade où l'on en est actuellement, une I.A n'est pas comme un être humain, un individu qui a des envies, des plaisirs, des aspirations personnelles. C'est un système impersonnel.
Ce système possède des capacités similaires à celles de notre cerveau, et en particulier certaines capacités de "cognition", de traitement de l'information, paramétrique.
Mais l'interface cognitif/connectique est artificiel, il n'est pas biologique (des centaines de millions d'années d'évolution, d'adaptation).
Si on peut plus ou moins comparer l'I.A, c'est à des formes d'intelligence primitive, émergentes et spécialisées. Et encore faut-il se méfier de ce genre de comparaison.
Simplement, certains processus d'inférence, définis par une méthodologie, donneront exactement les mêmes résultats qu'un cerveau humain, par exemple dans le calcul.
Pour le moment, une I.A n'est pas un système que l'on peut personnifier.
C'est plutôt une machine très évoluée qui possède une certaine autonomie, une capacité à apprendre par elle-même, qui peut être larguée sans qu'on ai besoin de s'occuper d'elle et qui récolte des informations à notre place.
par exemple, dans la conquête spatiale : envoyer d'abord des I.A à notre place, insensibles aux radiations, à la faim, à la soif, n'ayant pas besoin d'un espace de vie, ne ressentant jamais la fatigue, la peur du vide spatial ou des milieux étroits et confinés comme ceux des stations....
Disons que dans certains domaines de l'exploration, l'I.A peut avoir des avantages.
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:D'où vient que l'évolution ait choisi de développer une intelligence qui aime le risque
Tu te trompes : L'intelligence, c'est la faculté de comprendre, de s'adapter, à moindre risque, d'envisager la solution la plus "économique".
Les animaux ne prennent pas de risque s'ils n'y sont pas forcés
Les animaux n'ont rien à se prouver : Il sont déjà bien assez exposés pour ne pas en rajouter.
il leur manque ce genre de folie.
Les animaux vivent le risque en direct.
Ceux qui proposent des théories prennent des risques
Qu'ils en prennent ou pas ne change rien à la validité de la théorie, de ses arguments, de ses fondements.
donc ils sont de ceux qui aiment
Tant mieux pour toi si tu aimes le risque.
Ca n'empêche qu'une théorie, cela passe par l'observation et l'examen d'une chose avant de spéculer.
Théoriser le risque ne comporte aucun risque.
mais s'ils sont sains d'esprit, ils savent très bien qu'ils peuvent se tromper.
Donc la vraie question est : Comment minimiser le risque de se tromper? Et faire en sorte de s'exposer le moins possible au risque de l'erreur, voire de la totale invalidité.
Comme pour n'importe quel risque, un risque risque d'être avantageux pour la personne qui le prend, que ce soit directement ou indirectement. Le succès d'une théorie profite d'abord à celui qui la concocte, mais les retombées finissent par toucher tout le monde. On ne permettra pas à un chercheur de risquer la vie de ses semblables, mais sa propre vie, oui.
Le succès d'une théorie dépend totalement de ses fondements et de la méthode avec laquelle on l'élabore, qui doit être appropriée, et supposer l'exactitude des paramètres avec lesquels elle est développée.
Il n'y a pas de hasard puisqu'une théorie est une construction de l'esprit, qui est faite dans une certaine finalité.
Une théorie du risque et une théorie des sciences humaines, de la philosophie, et ça s'arrête là, à des postures psychologiques qui n'ont aucune validité en matière de physique, de chimie, de biologie, de sciences de la nature. C'est un regard que tu portes sur toi qui ne peut même pas s'appliquer aux autres chercheurs et qui ne justifie en rien la validité d'une théorie.
Si les mutations avaient été risquées pour la survie d'une espèce, l'évolution n'aurait jamais eu lieu, mais puisqu'elle a eu lieu, on peut en déduire que processus de sélection naturelle empêche les mutations dangereuses de se répandre.
En quelque sorte. Plus ou moins.
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Re: Intelligence artificielle
Tu ne vois que le côté négatif du risque Dedale, le verre à moitié vide. À force de minimiser le risque d'erreur, on finit par ne plus rien tenter du tout. Les mutations sont des erreurs, mais elles sont aussi des tentatives. La théorie de l'évolution est en quelque sorte une théorie du risque, et ce n'est pas de la philosophie pour autant. Comment peux-tu croire qu'il n'y a pas de hasard dans nos cerveaux alors qu'ils ont eux-mêmes été élaborés à partir de mutations? Tu dis que nos théories ne contiennent pas de hasard puisqu'elles ont une finalité, mais au final, c'est la même finalité que celle de l'évolution: favoriser sa propre existence. Toutes nos idées vont dans ce sens, même l'idée de Dieu.
Je crois que nous avons deux mentalités différentes, que nous appartenons à deux courants différents, l'un à gauche, l'autre à droite. Les politiciens aiment croire qu'ils ont raison, mais moi, je vois bien qu'il ne s'agit pas de raison: seulement de favoriser ses propres idées, donc sa propre existence aussi.
Je crois que nous avons deux mentalités différentes, que nous appartenons à deux courants différents, l'un à gauche, l'autre à droite. Les politiciens aiment croire qu'ils ont raison, mais moi, je vois bien qu'il ne s'agit pas de raison: seulement de favoriser ses propres idées, donc sa propre existence aussi.
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Tu ne vois que le côté négatif du risque Dedale, le verre à moitié vide. À force de minimiser le risque d'erreur, on finit par ne plus rien tenter du tout. Les mutations sont des erreurs, mais elles sont aussi des tentatives. La théorie de l'évolution est en quelque sorte une théorie du risque, et ce n'est pas de la philosophie pour autant.
Les mutations ne sont pas des erreurs, non.
Et c'est en minimisant les risques qu'on peut tout tenter.
Le fait d'évoluer, ça minimise le risque de disparaître à cause de l'inadaptation.
Il y a des changements et on s'adapte en prenant le moins de risques possibles. A moins d'être idiot, de vouloir se prouver quelque chose par immaturité.
Comment peux-tu croire qu'il n'y a pas de hasard dans nos cerveaux
Le hasard de ton cerveau est imaginaire, une revendication souffrant cruellement d'une absence totale d'argument, d'exemples concret.
alors qu'ils ont eux-mêmes été élaborés à partir de mutations?
Et alors?
Ta théorie est que le cerveau produit du hasard.
Tu produits du bordel, mais pas du hasard.
Tu dis que nos théories ne contiennent pas de hasard puisqu'elles ont une finalité mais au final, c'est la même finalité que celle de l'évolution: favoriser sa propre existence. Toutes nos idées vont dans ce sens, même l'idée de Dieu.
Avec de vrais arguments scientifiques, tu n'aurais certainement pas un tel raisonnement.
- Une idée est une interprétation, pas l'évolution. L'évolution n'a pas de finalité.
Quand tu parles "d'amélioration de l'espèce", "de favoriser sa propre existence", ce n'est pas objectif, ce sont des appréciations qui ne relèvent pas des sciences de la nature, mais simplement des impressions qui, au mieux, sont philosophiques.
Une idée peut posséder sa propre finalité : Elle est pensée en fonction d'un but précis qui peut très bien n'avoir aucun rapport avec l'existence.
L'évolution est un processus métabolique. Sa fonction majeure est l'adaptation, le fait de s'adapter est "la finalité" : C'est une finalité fonctionnelle.
Ton gros problème c'et que tu ne fais aucune différence entre science humaines, sciences de la nature et sciences exactes. les sciences humaines se contentent d'appréciations interpersonnelles restant sur des valeurs psychologiques.
Je crois que nous avons deux mentalités différentes, que nous appartenons à deux courants différents, l'un à gauche, l'autre à droite. Les politiciens aiment croire qu'ils ont raison, mais moi, je vois bien qu'il ne s'agit pas de raison: seulement de favoriser ses propres idées, donc sa propre existence aussi.
tes conclusions débiles n'y changeront rien, tu peux t'inventer tous les prétextes que tu veux.
On te connait comme si on t'avait chié.
Toute l'énergie que tu déploies pour justifier tes baragouinages stériles et obstinés, est tout simplement pitoyable.
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Re: Intelligence artificielle
Verre à moitié plein maintenant! Les mutations sont effectivement des erreurs si elles ne sont pas sélectionnées, et il y en a probablement très peu qui le sont.dedale a écrit:Les mutations ne sont pas des erreurs, non.
Verre à moitié plein encore! On ne peut pas éliminer tous les risques, donc on ne peut pas tout tenter. Il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et elles ne pourraient pas produire trop de changement, sinon le risque serait trop grand.Et c'est en minimisant les risques qu'on peut tout tenter.
C'est aussi ce qui se passe avec les mutations: il y en a juste assez et elles ne sont pas trop importantes sinon il y aurait trop de risque, mais elle se produisent au hasard quand même pour procurer le maximum de diversité génétique au cas où le milieu changerait.Le fait d'évoluer, ça minimise le risque de disparaître à cause de l'inadaptation.
Il y a des changements et on s'adapte en prenant le moins de risques possibles. A moins d'être idiot, de vouloir se prouver quelque chose par immaturité.
Verre vide, t'as une bonne bouteille? Le mécanisme mutation/sélection est très concret, il sert à prévoir les éventuels changements du milieu, et il n'y a pas de milieu plus difficile à prévoir que celui d'une société humaine en évolution. Nous développons des outils pour minimiser les risques de perdre des individus à une extrémité, celle du présent, mais nous ne pouvons pas prévoir le changement social à l'autre extrémité, celle du futur, alors nous laissons ceux qui aiment le risque développer des possibilités, qui sont sélectionnées par la société au fur et à mesure. Comme pour les mutations, les créations humaines se produisent au hasard, certaines sont sélectionnées par la société et la transforment, cette transformation crée des changements imprévisibles dans la société, changements qui serviront ensuite à sélectionner d'autres créations. Pendant que tout évolue, nous minimisons les risques, mais les risques actuels, pas les risques futurs.Dedale a écrit:Le hasard de ton cerveau est imaginaire, une revendication souffrant cruellement d'une absence totale d'argument, d'exemples concret.Comment peux-tu croire qu'il n'y a pas de hasard dans nos cerveaux
Même chose pour un individu: tout évolue autour de lui et il ne peut pas prévoir ce qui arrivera, alors il s'occupe de survivre en minimisant les risques actuels, mais il ne peut pas prévoir les risques futurs, alors il fait n'importe quoi au cas où ça fonctionnerait. Plus l'échéance est éloignée, plus ce qu'il prévoit est n'importe quoi. Plus elle est rapprochée, plus il a de chances de tomber pile, d'autant plus s'il a le temps d'essayer autre chose avant que le milieu n'ait trop changé.
Ceux qui aiment produire de l'ordre sont dans le présent, moi j'aime anticiper, et je n'ai pas d'autre choix que de produire du bordel. Juste pour voir, d'après toi, les artistes ne produisent-ils aussi que du bordel?Ta théorie est que le cerveau produit du hasard.
Tu produits du bordel, mais pas du hasard.
Pour moi, l'évolution est un mouvement, et comme tout mouvement, elle possède présentement une direction et une vitesse. Accorder un but à un mouvement, c'est tenter de voir vers où il pointe; lui accorder une origine, c'est tenter de voir d'où il provient; quand à la vitesse, elle se mesure par rapport aux autres mouvements. Dire que l'évolution n'a pas de finalité, c'est comme dire qu'un corps n'a ni direction ni vitesse. Dans ce cas, aussi bien ne rien dire du tout.Dedale a écrit:Avec de vrais arguments scientifiques, tu n'aurais certainement pas un tel raisonnement.Tu dis que nos théories ne contiennent pas de hasard puisqu'elles ont une finalité mais au final, c'est la même finalité que celle de l'évolution: favoriser sa propre existence. Toutes nos idées vont dans ce sens, même l'idée de Dieu.
- Une idée est une interprétation, pas l'évolution. L'évolution n'a pas de finalité.
C'est pourtant ce que j'ai trouvé de plus objectif; ça s'applique même aux objets inanimés: un caillou existe tant qu'il dure!Quand tu parles "d'amélioration de l'espèce", "de favoriser sa propre existence", ce n'est pas objectif, ce sont des appréciations qui ne relèvent pas des sciences de la nature, mais simplement des impressions qui, au mieux, sont philosophiques.
Le but de l'existence, c'est l'existence. Le but d'une idée, c'est elle-même. Nos idées ont leur propre inertie, chacune d'elles cherche à se conserver telle quelle. Une idée n'est pas pensée comme tu dis: elle se pense elle-même. Elle interagit avec nos autres idées et avec celles des autres, mais elle cherche à se conserver quand même. La conscience, c'est une pensée en train de se pincer elle-même. Je pense donc ma pensée existe, et non je suis.Une idée peut posséder sa propre finalité : Elle est pensée en fonction d'un but précis qui peut très bien n'avoir aucun rapport avec l'existence.
Adaptation est synonyme de survie à long terme: pour moi, la durée, c'est la définition même de l'existence. Un phénomène existe tant qu'il dure.L'évolution est un processus métabolique. Sa fonction majeure est l'adaptation, le fait de s'adapter est "la finalité" : C'est une finalité fonctionnelle.
On est dans l'intelligence, donc on est forcément dans le psychologique. Mais je ne vois pas de problème à faire des rapprochements ou à franchir des barrières. C'est comme ça qu'on avance.Ton gros problème c'est que tu ne fais aucune différence entre science humaines, sciences de la nature et sciences exactes. les sciences humaines se contentent d'appréciations interpersonnelles restant sur des valeurs psychologiques.
Oups! J'ai touché une corde sensible! Celle de gauche ou celle de droite?Dedale a écrit:tes conclusions débiles n'y changeront rien, tu peux t'inventer tous les prétextes que tu veux.Je crois que nous avons deux mentalités différentes, que nous appartenons à deux courants différents, l'un à gauche, l'autre à droite. Les politiciens aiment croire qu'ils ont raison, mais moi, je vois bien qu'il ne s'agit pas de raison: seulement de favoriser ses propres idées, donc sa propre existence aussi.
On te connait comme si on t'avait chié.
Toute l'énergie que tu déploies pour justifier tes baragouinages stériles et obstinés, est tout simplement pitoyable.
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Verre à moitié plein maintenant! Les mutations sont effectivement des erreurs si elles ne sont pas sélectionnées, et il y en a probablement très peu qui le sont.
Dans la nature, il n'y a pas de conscience pour juger s'il y a erreur ou pas. Il y a simplement des faits.
Une erreur, sélectionnée ou pas, reste une erreur.
Dans le processus héréditaire, des tares génétiques sont sélectionnées avec le reste.
Ton verre est vide.
On ne peut pas éliminer tous les risques, donc on ne peut pas tout tenter.
On ne peut rien tenter si on ne minimise pas les risques.
Je parle de vrais risques, pas de tes baragouinages en chambre qui théorisent le risque.
Il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et elles ne pourraient pas produire trop de changement, sinon le risque serait trop grand.
Parce que pour toi, il y a trop de mutations?
Il y a peut être aussi trop d'étoiles dans le ciel, ou trop de grains de sable sur les plages. Non?
Par contre, il n'y a jamais assez de conneries, je suppose. Autrement tu en débiterais moins vu que le risque serait trop grand
C'est aussi ce qui se passe avec les mutations: il y en a juste assez et elles ne sont pas trop importantes sinon il y aurait trop de risque, mais elle se produisent au hasard quand même pour procurer le maximum de diversité génétique au cas où le milieu changerait.
Faudra que tu étudies l'évolution : Ca nous permettrait de débattre sur des faits concrets et ça nous changerait de tes radotages.
Verre vide, t'as une bonne bouteille?
je crois que tu y vas trop sur la bouteille.
Le mécanisme mutation/sélection est très concret
Il est surtout schématique.
il sert à prévoir les éventuels changements du milieu
Donc tu préfères dire des conneries que de renseigner un peu?
et il n'y a pas de milieu plus difficile à prévoir que celui d'une société humaine en évolution.
L'homme vit en société pour améliorer ses conditions de vie, en jouant avec l'organisation, la communication, les échanges matériels, intellectuels ou culturels.
Ce qui n'a aucun rapport avec l'évolution des espèces : Nous avons inventé le radar en réfléchissant (et pas au hasard), la chauve-souris a développé l'écholocation.
C'et une sacrée différence qui, pour être expliquée, ne satisfait pas de quelques radotages.
Nous développons des outils pour minimiser les risques de perdre des individus à une extrémité, celle du présent, mais nous ne pouvons pas prévoir le changement social à l'autre extrémité, celle du futur, alors nous laissons ceux qui aiment le risque développer des possibilités, qui sont sélectionnées par la société au fur et à mesure.
Tu as parfaitement le droit d'aimer le risque, du moins ce que tu crois être du risque, car tu n'as aucune notoriété, carrière, à protéger, tu peux donc raconter n'importe quoi. Ce que tu fais.
- Mais "le risque", quand on parle d'atomes, d'évolution, n'est pas un argument.
Tu peut être un gros cancre délireux qui aime le risque, tout simplement, ça ne rendra pas tes théories plus crédibles.
Toi y'en a comprendre?
Comme pour les mutations, les créations humaines se produisent au hasard
Et ta connerie, c'est du hasard?
certaines sont sélectionnées par la société et la transforment, cette transformation crée des changements imprévisibles dans la société, changements qui serviront ensuite à sélectionner d'autres créations. Pendant que tout évolue, nous minimisons les risques, mais les risques actuels, pas les risques futurs.
C'est en agissant sur le présent que tu façonnes le futur. Tu ne peux pas minimiser ce qui n'existe pas encore.
Par exemple, si tu sors une théorie inexacte dans le présent, elle ne deviendra pas exacte dans le futur, sauf si tu es capable d'admettre et de corriger les erreurs que tu fais. C'est tout.
Toi tu n'en es pas capable. mais je pense qu'une I.A peut le faire : Réévaluer des paramètres et les corriger. Donc une I.A peut évoluer.
Même chose pour un individu: tout évolue autour de lui et il ne peut pas prévoir ce qui arrivera, alors il s'occupe de survivre en minimisant les risques actuels, mais il ne peut pas prévoir les risques futurs, alors il fait n'importe quoi au cas où ça fonctionnerait. Plus l'échéance est éloignée, plus ce qu'il prévoit est n'importe quoi. Plus elle est rapprochée, plus il a de chances de tomber pile, d'autant plus s'il a le temps d'essayer autre chose avant que le milieu n'ait trop changé.
Ben non, le but c'es de ne pas faire n'importe quoi, de ne pas raconter n'importe quoi - car les atomes, l'évolution, c'est ici et maintenant que ça se passe, et non dans un futur fantasmagorique qui te sert de refuge : Comme si les pseudo-arguments que tu présentes étaient si novateurs, qu'on ne pourrait pas encore les décrypter. Non mais, tu n'as pas bien vu ce que tu racontes, c'est bourré d'archaismes obsolètes, d'anthropocentrisme, de dialectique et de dualisme.
je crois qu'au lieu de t'occuper du futur, tu devrais un peu étudier l'histoire : Les évhéméristes, les anthroposophes, les néo-évhéméristes, les verniens, le new-age, les soucoupistes, qui font (ont fait) comme toi : des inadapatés de la science. Ils baragouinent juste pour se faire triper en se proclamant grands révolutionnaires des sciences.
Tu te crois tout nouveau mais tu n'es qu'un cliché.
Ceux qui aiment produire de l'ordre sont dans le présent, moi j'aime anticiper, et je n'ai pas d'autre choix que de produire du bordel.
Tu n'anticipes rien puisque les paramètres, les quelques "arguments" que tu utilises, sont fallacieux.
Si tu aimes anticiper, très bien, mais choisis plutôt la SF. Ca sera toujours moins débilitant que ce que tu racontes sur un plan scientifique.
Juste pour voir, d'après toi, les artistes ne produisent-ils aussi que du bordel?
Je t'ai déjà comparé à Picasso. Tu as déjà oublié?
On ne parle pas des artistes. Même eux travailles de années pour préparer leur fameux coup,de pinceau non-conformiste.
Tu es absolument incapable de suivre le fil d'un sujet. Vois un peu comment tu dérives pour revenir toujours à la même litanie.
Pour moi, l'évolution est un mouvement, et comme tout mouvement, elle possède présentement une direction et une vitesse.
Oui, l'évolution d'un avion dans le ciel.
Mais pas l'évolution des espèces.
C'et le même mot, mais pas le même phénomène.
Accorder un but à un mouvement, c'est tenter de voir vers où il pointe; lui accorder une origine, c'est tenter de voir d'où il provient; quand à la vitesse, elle se mesure par rapport aux autres mouvements. Dire que l'évolution n'a pas de finalité, c'est comme dire qu'un corps n'a ni direction ni vitesse. Dans ce cas, aussi bien ne rien dire du tout.
Tant pis pour toi si tu préfères croire à des conneries créationnistes.
Tu ferais mieux d'étudier l'évolution au lieu de raisonner comme un jésuite du 15° siècle.
Tes histoires de mouvements sont grotesques.
un caillou existe tant qu'il dure!
Merci monsieur Lapalisse.
Le but de l'existence, c'est l'existence. Le but d'une idée, c'est elle-même. Nos idées ont leur propre inertie, chacune d'elles cherche à se conserver telle quelle. Une idée n'est pas pensée comme tu dis: elle se pense elle-même. Elle interagit avec nos autres idées et avec celles des autres, mais elle cherche à se conserver quand même. La conscience, c'est une pensée en train de se pincer elle-même. Je pense donc ma pensée existe, et non je suis.
Quelque chose qui ne peut être vérifié ne peut pas être corrigé.
Les idées qui se pensent elles-mêmes, c'est pour les illuminés moyens accrocs de théorie magiques.
merci de m'éviter ce délire pathologique pour neuneus qui n'ont rien compris.
Adaptation est synonyme de survie à long terme: pour moi, la durée, c'est la définition même de l'existence. Un phénomène existe tant qu'il dure.
Et alors? Quoi d'autre à part ces trucs métaphysiques?
On est dans l'intelligence, donc on est forcément dans le psychologique. Mais je ne vois pas de problème à faire des rapprochements ou à franchir des barrières. C'est comme ça qu'on avance.
Tu mélanges tout parce que tu n'as aucun discernement.
Je ne sais pas en quoi tu avances, mais ça doit être à petits pas, vraiment très petits alors. Assez petits pour douter que ça en soit vraiment.
Oups! J'ai touché une corde sensible! Celle de gauche ou celle de droite?
Quel pitre!
En fait faut pas te prendre au sérieux. Faut juste te laisser délirer.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
La différenciation sexuelle sert à créer d'avantage de diversité génétique, probablement parce que les organismes qui se reproduisent plus lentement en ont besoin pour avoir autant de chances de s'adapter aux mêmes changements que ceux qui se reproduisent plus vite. Ce faisant, il se produisait d'avantage d'erreurs lors du processus de reproduction, erreurs qui se sont avérées utiles à long terme puisque nous sommes là. Possible que d'autres processus aient été entamés, mais qui ne se sont pas avérés viables, ou qui ont été supplantés. Des tares génétiques sélectionnées dis-tu? Tu parles de moi là ou de toi? À moins que tu ne parles des trisomiques que nous gardons en vie par culpabilité?dedale a écrit:Dans la nature, il n'y a pas de conscience pour juger s'il y a erreur ou pas. Il y a simplement des faits.M'enfin a écrit:Verre à moitié plein maintenant! Les mutations sont effectivement des erreurs si elles ne sont pas sélectionnées, et il y en a probablement très peu qui le sont.
Une erreur, sélectionnée ou pas, reste une erreur.
Dans le processus héréditaire, des tares génétiques sont sélectionnées avec le reste.
Par définition, chez les animaux, une tare est soit inutile soit nuisible, alors je ne vois pas comment elle pourrait être sélectionnée?? Chez les animaux de compagnie, c'est nous qui sélections les tares, pas la nature. Ce que tu veux peut-être dire, c'est que les erreurs de reproduction qui n'empêchent pas les porteurs de se reproduire se transmettent même si elles sont inutiles, mais ça ne veut pas dire qu'elles seront sélectionnées, ça veut simplement dire qu'elles font partie de l'ensemble des mutations qui risquent d'être utiles à l'évolution un jour, donc d'être sélectionnées.
J'attends que tu mettes quelque chose dedans!Ton verre est vide.
J'ai parlé du risque actuel et du risque futur, tu as compris la différence ou pas?On ne peut rien tenter si on ne minimise pas les risques.
Je parle de vrais risques, pas de tes baragouinages en chambre qui théorisent le risque.
Je dis juste après qu'il y a juste assez de mutations: tu as tout lu avant de répondre ou pas?Dedale a écrit:Parce que pour toi, il y a trop de mutations?Il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et elles ne pourraient pas produire trop de changement, sinon le risque serait trop grand.
Il y a peut être aussi trop d'étoiles dans le ciel, ou trop de grains de sable sur les plages. Non?
Par contre, il n'y a jamais assez de conneries, je suppose. Autrement tu en débiterais moins vu que le risque serait trop grand
M'enfin a écrit:C'est aussi ce qui se passe avec les mutations: il y en a juste assez et elles ne sont pas trop importantes sinon il y aurait trop de risque, mais elle se produisent au hasard quand même pour procurer le maximum de diversité génétique au cas où le milieu changerait.
Il est surtout fondamental, et il faut s'y référer quand on élabore sur l'évolution, sinon on finit par dire que les tares génétiques sont sélectionnées!Dedale a écrit:Il est surtout schématique.Le mécanisme mutation/sélection est très concret
Contrairement à toi, je fais attention à ce que je dis moi!Dedale a écrit:Donc tu préfères dire des conneries que de renseigner un peu?il sert à prévoir les éventuels changements du milieu
Tu crois peut-être que nous sommes issus de la cuisse de Jupiter? Ta conscience vient-elle de Dieu? Ton intelligence est-elle suprême? Sommes-nous l'aboutissement de la création? Tu m'accuses d'anthropocentrisme et tu n'es même pas capable de prendre un minimum de recul face à ta propre intelligence! Ceux qui ne croient pas aux changements climatiques croient aussi que nous les surmonterons le cas échéant, version optimiste de notre imagination, mais nous sommes bien incapables d'imaginer toutes les versions pessimistes fautes d'informations sur le futur. Si nous étions capables de lire l'avenir nous saurions quoi faire et personne ne s'y opposerait, mais nous ne sommes pas devins et nous nous en doutons, alors nous tergiversons et nous nous occupons des problèmes à mesure qu'ils se manifestent. À postériori, c'est très facile de voir comment on aurait pu faire, mais quand on est en mesure d'observer le passé, c'est justement parce que nous y avons survécu. Pas besoin d'être un génie pour comprendre ça, juste de ne pas être trop têtu!Dedale a écrit:L'homme vit en société pour améliorer ses conditions de vie, en jouant avec l'organisation, la communication, les échanges matériels, intellectuels ou culturels.et il n'y a pas de milieu plus difficile à prévoir que celui d'une société humaine en évolution.
Ce qui n'a aucun rapport avec l'évolution des espèces : Nous avons inventé le radar en réfléchissant (et pas au hasard), la chauve-souris a développé l'écholocation.
C'est une sacrée différence qui, pour être expliquée, ne se satisfait pas de quelques radotages.
À voir comment tu agis, je ne serais pas surpris que tu aies une carrière à protéger justement!Tu as parfaitement le droit d'aimer le risque, du moins ce que tu crois être du risque, car tu n'as aucune notoriété, carrière, à protéger, tu peux donc raconter n'importe quoi. Ce que tu fais.
Du racisme maintenant! Y a que Dieudo qui a le droit de parler comme ça! Je te mets un point Godwin, et je le soustrais tout de suite en disant que Le Pen n'aurait pas fait mieux!Toi y'en a comprendre?
C'est quoi une connerie au juste? Un sexe de femme qui rit? Du sexisme maintenant? Tu en as de belles manières!Dedale a écrit:Et ta connerie, c'est du hasard?Comme pour les mutations, les créations humaines se produisent au hasard
Le futur se façonne sans nous depuis des milliards d'années, et il va probablement continuer à se façonner sans nous un jour, alors croire que nous le façonnons comme nous le voulons est illusoire. Une théorie est une simple possibilité, une hypothèse qui reste à être admise. C'est en quelque sorte une erreur de reproduction d'une théorie admise. Toi tu crois que cette erreur est voulue, moi je crois qu'elle est issue du hasard, comme les mutations. Tes pensées n'ont pas assez de recul face à elles-mêmes pour comprendre ce que je dis. Concentre-toi sur celle qui concerne le recul, et applique-là aux autres!Dedale a écrit:C'est en agissant sur le présent que tu façonnes le futur. Tu ne peux pas minimiser ce qui n'existe pas encore.certaines sont sélectionnées par la société et la transforment, cette transformation crée des changements imprévisibles dans la société, changements qui serviront ensuite à sélectionner d'autres créations. Pendant que tout évolue, nous minimisons les risques, mais les risques actuels, pas les risques futurs.
Par exemple, si tu sors une théorie inexacte dans le présent, elle ne deviendra pas exacte dans le futur, sauf si tu es capable d'admettre et de corriger les erreurs que tu fais. C'est tout.
Je ne suis pas au courant de toutes les recherches en IA, mais selon moi, seule une IA capable de faire varier certains de ses paramètres au hasard pourrait s'inventer de nouveaux paramètres. Une fois fait, elle devrait alors vérifier s'ils sont meilleurs que ceux des autres IA en se comparant à eux.Toi tu n'en es pas capable, mais je pense qu'une I.A peut le faire : Réévaluer des paramètres et les corriger. Donc une I.A peut évoluer.
Ce n'est pas archaïque de s'en tenir aux fondements d'une théorie, c'est le simple bon sens. Ce n'est pas anthropocentrique de dire que le hasard fait partie de nos idées, c'est même l'inverse. Par dialectique, je suppose que tu veux dire que je cherche l'opposition pour elle-même, ce qui serait le cas si je n'avais rien de nouveau à proposer. Je ne cherche pas l'opposition, mais je suis têtu, et je vais réitérer mon idée jusqu'à ce que quelqu'un la comprenne. Le dualisme, c'est la séparation entre la conscience et le cerveau, et je n'arrête pas de dire que notre conscience est causée par la résistance au changement de fréquence de nos neurones, ce qui est plutôt concret comme conscience, tu ne trouves pas?Non mais, tu n'as pas bien vu ce que tu racontes, c'est bourré d’archaïsmes obsolètes, d'anthropocentrisme, de dialectique et de dualisme.
CLIC! Voilà, c'est fait, tu viens de te donner en cliché!Tu te crois tout nouveau mais tu n'es qu'un cliché.
Alors je suis un artiste, parce que je me donne encore beaucoup d'années avant de sortir du lot!On ne parle pas des artistes. Même eux travaillent des années pour préparer leur fameux coup de pinceau non-conformiste.
Le fil, c'est la reproduction de l'intelligence, mais de manière artificielle, donc électronique. Je prétends qu'il va falloir de l'imprécision à notre électronique pour qu'elle devienne simplement intelligente, toi, tu prétends que notre électronique sera plus intelligente que nous à cause de sa précision. Mais depuis quand la précision est-elle un gage d'intelligence? Les sens des animaux sont parfois beaucoup plus précis que les nôtres, mais ils ne sont pas aussi intelligents pour autant. Pour gagner de la diversité, donc des possibilités d'adaptation, la reproduction a dû perdre de la précision, et je crois que c'est ce qui est arrivé avec l'intelligence.Tu es absolument incapable de suivre le fil d'un sujet. Vois un peu comment tu dérives pour revenir toujours à la même litanie.
Non, mais c'est le même genre de paramètres, et pour le mouvement, il n'y en a pas d'autres. En connais-tu d'autres pour l'évolution?Dedale a écrit:Oui, l'évolution d'un avion dans le ciel.Pour moi, l'évolution est un mouvement, et comme tout mouvement, elle possède présentement une direction et une vitesse.
Mais pas l'évolution des espèces.
C'est le même mot, mais pas le même phénomène.
Tu ne convaincras personne en prétendant que je suis créationniste. Il faut vraiment que tu sois à court d'argument pour dire ça!Dedale a écrit:Tant pis pour toi si tu préfères croire à des conneries créationnistes.Accorder un but à un mouvement, c'est tenter de voir vers où il pointe; lui accorder une origine, c'est tenter de voir d'où il provient; quand à la vitesse, elle se mesure par rapport aux autres mouvements. Dire que l'évolution n'a pas de finalité, c'est comme dire qu'un corps n'a ni direction ni vitesse. Dans ce cas, aussi bien ne rien dire du tout.
Tu ferais mieux d'étudier l'évolution au lieu de raisonner comme un jésuite du 15° siècle.
Tes histoires de mouvements sont grotesques.
Me dis pas que je suis le second à le dire. J'espère que ça va pas durer!Dedale a écrit:Merci monsieur Lapalisse.un caillou existe tant qu'il dure!
C'est pour ça que tu m'invectives? Parce que tu crois que ce que je dis est invérifiable? Unzio, c'est mâle de faire ça, deuzio, c'est mal. Trouve des arguments au lieu de chialer après moi!Dedale a écrit:Quelque chose qui ne peut être vérifié ne peut pas être corrigé.Le but de l'existence, c'est l'existence. Le but d'une idée, c'est elle-même. Nos idées ont leur propre inertie, chacune d'elles cherche à se conserver telle quelle. Une idée n'est pas pensée comme tu dis: elle se pense elle-même. Elle interagit avec nos autres idées et avec celles des autres, mais elle cherche à se conserver quand même. La conscience, c'est une pensée en train de se pincer elle-même. Je pense donc ma pensée existe, et non je suis.
Dans ce cas, nous sommes tous des illuminés, parce que nos cerveaux sont justement composés d'idées, et qu'elles doivent forcément se penser elles-mêmes à moins qu'il n'y ait autre chose d'extérieur à elles qui pense pour elles. Moi qui pensais que tu ne croyais pas à l'âme!Les idées qui se pensent elles-mêmes, c'est pour les illuminés moyens accrocs de théorie magiques.
La durée n'a rien de métaphysique en soi, avec la distance, elle fait partie des deux seuls paramètres du mouvement. Pas de durée, pas de physique!Dedale a écrit:Et alors? Quoi d'autre à part ces trucs métaphysiques?Adaptation est synonyme de survie à long terme: pour moi, la durée, c'est la définition même de l'existence. Un phénomène existe tant qu'il dure.
C'est vrai que je manque un peu de discrimination, mais je suis encore capable de reconnaître de bons arguments quand il y en a, alors force-toi un peu, parce que si tu continues avec tes invectives, il n'y aura plus que ça à discuter!Dedale a écrit:Tu mélanges tout parce que tu n'as aucun discernement.On est dans l'intelligence, donc on est forcément dans le psychologique. Mais je ne vois pas de problème à faire des rapprochements ou à franchir des barrières. C'est comme ça qu'on avance.
Faut juste pas me prendre pour un sexe de femme!Quel pitre!Oups! J'ai touché une corde sensible! Celle de gauche ou celle de droite?
En fait faut pas te prendre au sérieux. Faut juste te laisser délirer.
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Par définition, chez les animaux, une tare est soit inutile soit nuisible
C'est totalement idiot de considérer qu'un truc, dans la nature, est inutile. C'est pas de la science.
Il faut aller au plus simple : Une tare est par exemple, une pathologie qui se transmet.
alors je ne vois pas comment elle pourrait être sélectionnée??
Précisément. C'est ça ton problème : C'est que tu ne vois pas grand chose, même si on l'explique.
Chez les animaux de compagnie, c'est nous qui sélections les tares, pas la nature.
Faudra élever le niveau.
Il est évident que si l'homme sélectionne un caractère génétique, ce ne sera pas une tare à moins qu'elle présente des avantages commerciaux.
Ce que tu veux peut-être dire, c'est que les erreurs de reproduction qui n'empêchent pas les porteurs de se reproduire se transmettent même si elles sont inutiles, mais ça ne veut pas dire qu'elles seront sélectionnées, ça veut simplement dire qu'elles font partie de l'ensemble des mutations qui risquent d'être utiles à l'évolution un jour, donc d'être sélectionnées.
Dans la nature, il n'existe rien qui permette de prédéterminer ce qui sera peut être "utile" ou pas.
C'est comme pour les "mutations qui risquent un jour d'être sélectionnées", c'est pour les clowns.
Normalement si on réinvente une théorie, c'est pour la refaire en mieux, et non en plus nul.
La différenciation sexuelle sert à créer d'avantage de diversité génétique
Oui.
La reproduction sexuée est plus avantageuses dans un environnement variable et sur le long terme, permet le brassage génétique et se définit comme une sélection naturelle amplifiée, tendant à favoriser le meilleur génome.
Bien M'enfin, tu vois quand tu veux
probablement parce que les organismes qui se reproduisent plus lentement en ont besoin pour avoir autant de chances de s'adapter aux mêmes changements que ceux qui se reproduisent plus vite.
Ce n'est pas une question de vitesse.
C'est d'abord et avant tout une question d'énergie. La reproduction asexuée est un caractère des formes de vie primitives à l'origine de la formation des écosystèmes susceptibles d'accueillir la ressource organique "complexe", consommatrice d'oxygène et d'organismes. Dans ces cas là, la reproduction sexuée a permis de libérer des formes multiples de prédation et d'accès aux ressources nutritives. Avec cela, les stratégies d'incubation deviennent plus complexes, ainsi que les stratégies parentales : Il y a toujour quelque chose qui survie de cette dichotomie, le mâle ou la femelle, les parents ou la progéniture. Les chances de survie son amplifiées sur le long terme.
Pour les extrêmophiles primitifs, la question de la survie à long terme ne se pose pas, donc la stratégie sexuelle restait au plus simple et au plus efficace : Conquérir le plus d'espace possible dans une bioformation du milieu, et avec un minimum d'énergie (puisque qu'elle n'est pas encore"opérationnelle" à ce stade de l'évolution)
Ce faisant, il se produisait d'avantage d'erreurs lors du processus de reproduction, erreurs qui se sont avérées utiles à long terme puisque nous sommes là.
Les erreurs sont utiles lorsqu'on les corrige. Sinon ça n'a aucun intérêt.
Une erreur implique l'idée d'une perfection sans erreur. La perfection n'existe pas dans la nature car tout évolue.
Des tares génétiques sélectionnées dis-tu? Tu parles de moi là ou de toi?
À moins que tu ne parles des trisomiques que nous gardons en vie par culpabilité?
Ya Adolf. On devrait les zubrimer.
J'attends que tu mettes quelque chose dedans!
le cochon peut toujours attendre sa confiture.
J'ai parlé du risque actuel et du risque futur, tu as compris la différence ou pas?
On connait ta théorie mirobolante : Tu racontes de grosses conneries parce que tu aimes prendre des risques.
Avec un tel niveau d'ineptie, tu peux toujours te railler des trisomiques.
Je dis juste après qu'il y a juste assez de mutations: tu as tout lu avant de répondre ou pas?M'enfin a écrit:Il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et elles ne pourraient pas produire trop de changement, sinon le risque serait trop grand.
A mon avis, c'est toi qui ne t'es pas relu.
Il est surtout fondamental, et il faut s'y référer quand on élabore sur l'évolution,
Un schéma théorique ne suffit pas à élaborer quoi que ce soit.
Et tu en es la preuve.
sinon on finit par dire que les tares génétiques sont sélectionnées!
Si on le dit, c'est qu'on peut le prouver.
Et vu le niveau de déficience que tu montres, on ne s'inquiète pas de tes remarques.
Contrairement à toi, je fais attention à ce que je dis moi!
Donc faire attention, c'est raconter des conneries pour toi.
Ca doit être du même acabit que l'initiative inertielle.
Vivement la démocratisation des I.A.
Tu crois peut-être que nous sommes issus de la cuisse de Jupiter? Ta conscience vient-elle de Dieu? Ton intelligence est-elle suprême? Sommes-nous l'aboutissement de la création?
Tu dégoises mon pauvre. Faut vraiment que tu sois disjoncté pour me répondre un truc aussi minable que ça.
Que veux-tu que je te réponde à tes hallus de curé refoulé?
Tu m'accuses d'anthropocentrisme
Je constate.
Tu compares les atomes à l'être humain, l'intelligence artificielle à l'homme, l'évolution des espèces à l'évolution socioculturelle et psychosociologique de l'homme, etc : Tu es dans l'anthropocentrisme radical.
et tu n'es même pas capable de prendre un minimum de recul face à ta propre intelligence!
Heureusement pour toi que je prend du recul, à jouer au pédagogue et au psychiatre.
Ceux qui ne croient pas aux changements climatiques croient aussi que nous les surmonterons le cas échéant, version optimiste de notre imagination, mais nous sommes bien incapables d'imaginer toutes les versions pessimistes fautes d'informations sur le futur.
Il y a assez d'informations pour prévoir le pire de façon réaliste.
Simplement, le climat obéissant à la théorie des fluides et donc à la théorie du chaos, on peut se tromper.
En fait, il faut espérer qu'on se trompe.
Ceux qui ne croient pas aux changements climatiques ne croient pas non plus qu'il y ait quelque phénomène pouvant être catastrophique, à surmonter. Ils croient que rien ne changera, genre que dieu les protège, que la nature est perfection que rien d'humain ne peut la chambouler.
D'autres pensent encore que ces bouleversements en perspective sont naturels, donc rien d'alarmant. On s'adaptera.
On s"adaptera surement. Ca dépend du scénario. Le prix à payer peut être immense.
Il y a déjà eu des extinctions majeures, la nature ne juge pas de l'utilité ou de la "finalité" des choses, ce sont des forces aveugles.
Si nous étions capables de lire l'avenir
Si nous étions capables de lire l'avenir nous saurions quoi faire et personne ne s'y opposerait, mais nous ne sommes pas devins et nous nous en doutons, alors nous tergiversons et nous nous occupons des problèmes à mesure qu'ils se manifestent. À postériori, c'est très facile de voir comment on aurait pu faire, mais quand on est en mesure d'observer le passé, c'est justement parce que nous y avons survécu. Pas besoin d'être un génie pour comprendre ça, juste de ne pas être trop têtu!
Tu me trouve têtu si je te fais remarquer que ce que tu dis là, ça n'a pas de rapport avec le débat et qu'on aimerait savoir où tu veux en venir.
Est-ce que c'est une autre façon de revendiquer tes spéculations généralement basées sur une profonde méconnaissance des domaines?
Même un chimpanzé ne voudrait pas de ce genre de justification pour apôtres du grand n'importe quoi.
Tu fais comme tout le monde : Tu réfléchis et tu fais en sorte que ça tienne la route.
- Si tu me dis : les glaciers fondent à une vitesse inquiétante (c'est un fait vérifiable), c'est un phénomène qui pourrait engendrer une catastrophe globale. C'est peut être de la spéculation mais elle est légitime, même si tu te trompes, elle est justifiée : Réchauffement global, diminution de la salinité océanique, montée des eaux, effet de serre, etc. De quoi se poser la question : Qu'est-ce que tout ça va engendrer? Sachant qu'une multitude d'espèces et des milliards d'individus sont dépendant de ces conditions climatiques, et que les observations actuelles montrent une extinction de masse qui se profile dans un horizon plus ou moins proche.
Evidemment, quand un phénomène aussi complexe se présente, on ne , peut que spéculer, mais tant qu'à faire, pas comme des crétins.
Comme un jardiner spéculant sur l'avenir de ses plantations. Il n'y a pas besoin d'imaginer toutes les versions.
Dès l'instant où l'on sait, parce que des faits observables l'induisent, que cela peut être catastrophique, ça suffit amplement.
C'et pas devin qu'il faut être mais réaliste.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:C'est quoi une connerie au juste? Un sexe de femme qui rit? Du sexisme maintenant? Tu en as de belles manières!
J'avais pourtant pris le temps de t'instruire un peu.
C'est peine perdue.
À voir comment tu agis, je ne serais pas surpris que tu aies une carrière à protéger justement!
Je ne fais que contredire tes foutaises.
Tu pense que c'est anormal?
Du racisme maintenant!
Donc toi y'en a pas comprendre.
Y a que Dieudo qui a le droit de parler comme ça! Je te mets un point Godwin, et je le soustrais tout de suite en disant que Le Pen n'aurait pas fait mieux!
Et y'en a aussi devoir se faire soigner.
Le futur se façonne sans nous depuis des milliards d'années
Tu parlais de nous et tu disais : certaines sont sélectionnées par la société et la transforment, cette transformation crée des changements imprévisibles dans la société, changements qui serviront ensuite à sélectionner d'autres créations. Pendant que tout évolue, nous minimisons les risques, mais les risques actuels, pas les risques futurs.
Tu sais même plus de quoi tu parles.
et il va probablement continuer à se façonner sans nous un jour, alors croire que nous le façonnons comme nous le voulons est illusoire. Une théorie est une simple possibilité, une hypothèse qui reste à être admise. C'est en quelque sorte une erreur de reproduction d'une théorie admise. Toi tu crois que cette erreur est voulue, moi je crois qu'elle est issue du hasard, comme les mutations. Tes pensées n'ont pas assez de recul face à elles-mêmes pour comprendre ce que je dis. Concentre-toi sur celle qui concerne le recul, et applique-là aux autres!
Tes paraphrases idiotes ne moussent même plus.
Tu ne sais plus de quoi tu parles, c'est le gros bordel dans ta tête : Reprend-toi.
Je ne suis pas au courant de toutes les recherches en IA, mais selon moi, seule une IA capable de faire varier certains de ses paramètres au hasard pourrait s'inventer de nouveaux paramètres.
Tu es parfaitement incapable de faire varier tes paramètres, surtout au hasard.
Reviens dans la réalité au lieu de la fuir. Tu as tant de merveilles à découvrir.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Ce n'est pas archaïque de s'en tenir aux fondements d'une théorie, c'est le simple bon sens.
Ce sont les faits qui font les théories. C'est ça le bon sens.
Ben sinon, "s'en tenir aux fondements d'une théorie", c'est ce que fait Rael.
Ce n'est pas anthropocentrique de dire que le hasard fait partie de nos idées,
Tu es anthropocentriste parce que tu ramènes tout à tes critères humains.
On ne parle plus que du bordel anthropique de tes idées : Ca n'a rien d'un hasard. Tu es limité à cela.
Par dialectique, je suppose que tu veux dire que je cherche l'opposition pour elle-même, ce qui serait le cas si je n'avais rien de nouveau à proposer.
Tu cherches plutôt une persuasion qu'une vérité.
Je ne cherche pas l'opposition, mais je suis têtu, et je vais réitérer mon idée jusqu'à ce que quelqu'un la comprenne.
Ton "idée" est invalide, donc ce n'est plus la peine d'insister avec moi ou avec les autres personnes de culture scientifique.
Le dualisme, c'est la séparation entre la conscience et le cerveau
Esprit/matière, ça suffira.
et je n'arrête pas de dire que notre conscience est causée par la résistance au changement de fréquence de nos neurones
C'est vraiment n'importe quoi. Et tu appelles ça une proposition nouvelle?
Tu es en pleine mystification.
CLIC! Voilà, c'est fait, tu viens de te donner en cliché!
Le pauvre.
Alors je suis un artiste, parce que je me donne encore beaucoup d'années avant de sortir du lot!
Je l'espère pour toi.
Mais tu ne le feras avec ton baragouinage.
Je prétends qu'il va falloir de l'imprécision à notre électronique pour qu'elle devienne simplement intelligente
Tu veux nous dire que, parce que tu es totalement dans le flou, les I.A doivent être pareilles que toi pour être intelligentes.
Au lieu de chercher à justifier tes raisonnements inexacts, améliore les, corrige les, et là, ça sera intelligent.
toi, tu prétends que notre électronique sera plus intelligente que nous à cause de sa précision.
Pas sûr que l'I.A émergente soit électronique, elle peut être biotechnologique. Il me semble que ce sont les australiens qui travaillent sur un système biomoléculaire.
Et la précision, que tu le veuilles ou non, traduit la sensibilité de l'intelligence.
Mais depuis quand la précision est-elle un gage d'intelligence?
Depuis toujours. Plus il y a spécialisation, plus il y a intelligence, organisation, nécessité de traiter de plus en plus d'information.
Les sens des animaux sont parfois beaucoup plus précis que les nôtres, mais ils ne sont pas aussi intelligents pour autant.
Anthropocentrisme. Dans la diversité, rien n'est sensé ressembler à l'intelligence humaine.
Pour gagner de la diversité, donc des possibilités d'adaptation, la reproduction a dû perdre de la précision, et je crois que c'est ce qui est arrivé avec l'intelligence.
Avec la diversité, les stratégies de reproduction se sont amplifiées et spécialisées, c'est justement ce qui détermine précisément l'identité (bio) d'une espèce.
L'intelligence d'une espèce est donc sa spécialisation, sa faculté à répondre à des contraintes spécifiques.
Non, mais c'est le même genre de paramètres, et pour le mouvement, il n'y en a pas d'autres. En connais-tu d'autres pour l'évolution?
Le même genre de paramètres?
Donne moi le code génétique du mouvement d'une boule de pétanque.
Tu as plutôt intérêt à te donner beaucoup d'années avant de sortir du lot parce qu'avec le temps que tu perds, c'est pas gagné.
Tu ne convaincras personne en prétendant que je suis créationniste.
La finalité de l'évolution, c'est du créationnisme.
Tu n'es peut être pas créationniste, mais tu raconte n'importe quoi, que cela soit de la philosophie, de la psychologie, de la physique... - donc tu ne vois pas la différence.
Tout est bon à gober en vrac.
Et en vrac, tu raisonnes.
Il faut vraiment que tu sois à court d'argument pour dire ça!
Ce ne sont pas des arguments.
Je te fais remarquer que tu me dis la même chose que les créationnistes : Tu présupposes ou revendiques une finalité indémontrable, un truc quasi-religieux qui en appelle à la prédétermination d'un processus.
C'est totalement contradictoire, puisque tu prônes le hasard omniprésent, dont le hasard des mutations. Ces mutations produites par le hasard sont ensuite l'objet d'une sélection, même si on t'explique qu'il y a des pressions évolutives et que les mutation ont des causes précises, puisqu'on observes de convergences évolutives dominantes. Mais autant l'expliquer à une méduse.
Evident que si le hasard est causal, la sélection naturelle ne peut pas exister.
Le jour où tu auras fait le tri dans ta petite cervelle bordélique et auto-invalidante, on pourra peut être débattre.
Ne laisse pas le milieu faire le tri à ta place, fais le par toi-même comme un grand qui prend les choses en main et évite de radoter pour rien.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
Je savais que tu y arriverais! Je suis un devin! Un message complet sans arguments. T'as fait ça pour me faire plaisir?
Voyons voir ce qu'il y a dans le premier...
Ce serait donc grâce à ses erreurs de reproduction que notre intelligence serait devenue plus adaptative que celle des autres animaux: désolant n'est-ce pas? À sa place, je me poserais des questions sur ma prétendue supériorité, mais certaines diraient que c'est beaucoup trop anthropocentrique de faire ça! Contredire pour contredire, quel plaisir quand on peut spéculer à volonté.
Étudier le rapport entre l'intelligence artificielle et l'intelligence naturelle concerne ce genre de long terme, une des raisons pour laquelle ça n'intéresse personne quand j'en parle.
Voyons voir ce qu'il y a dans le premier...
Tu te rappelles quand tu disais que seule la Lune gravitait autour de la terre? Je ne sais pas encore si tu le faisais exprès ou pas, mais des tares qui sont sélectionnées, c'est à peu près du même acabit. Ou bien tu es abominablement orgueilleux, ou bien tu es autiste.dedale a écrit:C'est totalement idiot de considérer qu'un truc, dans la nature, est inutile. C'est pas de la science.M'enfin a écrit:Par définition, chez les animaux, une tare est soit inutile soit nuisible
Il faut aller au plus simple : Une tare est par exemple, une pathologie qui se transmet.
Bien sûr que c'est commercial, avec un point sur le i, parce que tu as vraiment besoin qu'on les mette!Dedale a écrit:Faudra élever le niveau.Chez les animaux de compagnie, c'est nous qui sélections les tares, pas la nature.
Il est évident que si l'homme sélectionne un caractère génétique, ce ne sera pas une tare à moins qu'elle présente des avantages commerciaux.
Ça me rappelle une autre discussion mémorable, celle sur le mot instantané! D'habitude, je me garde de faire ça, mais là, je crois vraiment que tu fais exprès pour dévier la conversation. Pris dans un cul de sac, au lieu d'abdiquer, tu cries au loup pour que je me retourne et que tu aies le temps de passer.Dedale a écrit:Dans la nature, il n'existe rien qui permette de prédéterminer ce qui sera peut être "utile" ou pas.Ce que tu veux peut-être dire, c'est que les erreurs de reproduction qui n'empêchent pas les porteurs de se reproduire se transmettent même si elles sont inutiles, mais ça ne veut pas dire qu'elles seront sélectionnées, ça veut simplement dire qu'elles font partie de l'ensemble des mutations qui risquent d'être utiles à l'évolution un jour, donc d'être sélectionnées.
C'est comme pour les "mutations qui risquent un jour d'être sélectionnées", c'est pour les clowns.
Comme celle des tares génétiques sélectionnées?Normalement si on réinvente une théorie, c'est pour la refaire en mieux, et non en plus nul.
Corriger une erreur, c'est avancer une autre possibilité, qui pourrait elle aussi s'avérer fausse. Les possibilités avancées par notre cerveau et celles avancées par les mutations sont toutes deux aléatoires, mais elles ne se produisent pas de la même manière et ne sont pas sélectionnées de la même manière non plus: celles du cerveau sont avancées une à une et elles sont sélectionnées une à une, celles des mutations sont avancées simultanément et sont toutes sélectionnées simultanément. Malgré leur nombre, les mutations agissent beaucoup plus lentement que les idées, à la fois parce que leur reproduction est plus lente, et que leur milieu évolue plus lentement. Une idée se reproduit pour ainsi dire toutes les secondes, et une nouvelle idée aussi. Dès qu'elle est émise ou mise en oeuvre, une nouvelle idée commence à être sélectionnée, et des corrections peuvent être apportées tout de suite, et être sélectionnées à leur tour rapidement.Dedale a écrit:Les erreurs sont utiles lorsqu'on les corrige. Sinon ça n'a aucun intérêt.Ce faisant, il se produisait d'avantage d'erreurs lors du processus de reproduction, erreurs qui se sont avérées utiles à long terme puisque nous sommes là.
Ce serait donc grâce à ses erreurs de reproduction que notre intelligence serait devenue plus adaptative que celle des autres animaux: désolant n'est-ce pas? À sa place, je me poserais des questions sur ma prétendue supériorité, mais certaines diraient que c'est beaucoup trop anthropocentrique de faire ça! Contredire pour contredire, quel plaisir quand on peut spéculer à volonté.
Je dis d'abord qu'il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et dans le paragraphe suivant, je dis qu'il y en a juste assez, et non pas assez, alors il me semble que c'est toi qui n'a pas tout lu avant de répondre, comme si tu pouvais te permettre de dire n'importe quoi pourvu que ça mousse, comme tu dis! Il y a deux manières de prendre des risques, soit pour tracer une nouvelle piste, soit pour l'entretenir une fois faite. Toi, c'est pour protéger nos anciennes idées que tu dis n'importe quoi, moi, c'est pour en développer de nouvelles. S'il y avait trop de gens comme toi, les pistes seraient bien entretenues mais il n'y en aurait plus de nouvelles. S'il y avait trop comme moi, il n'y aurait que des nouvelles pistes: elles ne partiraient de nulle part et elles ne mèneraient nulle part.Dedale a écrit:A mon avis, c'est toi qui ne t'es pas relu.Je dis juste après qu'il y a juste assez de mutations: tu as tout lu avant de répondre ou pas?M'enfin a écrit:Il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et elles ne pourraient pas produire trop de changement, sinon le risque serait trop grand.
Dans ce cas, oublions les théories et contentons-nous de ce qu'on a.Dedale a écrit:Un schéma théorique ne suffit pas à élaborer quoi que ce soit.Il est surtout fondamental, et il faut s'y référer quand on élabore sur l'évolution,
Regardez-le se débattre! Tu es en train d'induire les gens en erreur! Les tares génétiques sont transmissibles, et non sélectionnées! Dans la nature, les tares ne survivent pas longtemps, et elles sont donc rarement transmises.Dedale a écrit:Si on le dit, c'est qu'on peut le prouver.sinon on finit par dire que les tares génétiques sont sélectionnées!
Et vu le niveau de déficience que tu montres, on ne s'inquiète pas de tes remarques.
Faire attention, c'est réfléchir à ce que je dis avant de répondre, et je ne crois pas que tu te donnes la peine.Dedale a écrit:Donc faire attention, c'est raconter des conneries pour toi.Contrairement à toi, je fais attention à ce que je dis moi!
Je compare la résistance au changement de l'un à la résistance au changement de l'autre, l'intelligence électronique à l'intelligence neuronale, la sélection naturelle à la sélection intellectuelle. L'anthropocentrisme, c'est se prendre pour le nombril du monde, donc pour incomparable, l'inverse de ce que je fais. Tu me suis ou si c'est trop compliqué pour toi?Dedale a écrit:Je constate. Tu compares les atomes à l'être humain, l'intelligence artificielle à l'homme, l'évolution des espèces à l'évolution socioculturelle et psychosociologique de l'homme, etc : Tu es dans l'anthropocentrisme radical.Tu m'accuses d'anthropocentrisme
Nous disparaissons en tant qu'individus, et nous disparaîtrons en tant qu'espèce un jour. Croire l'inverse, c'est ça de l’anthropocentrisme.Il y a déjà eu des extinctions majeures, la nature ne juge pas de l'utilité ou de la "finalité" des choses, ce sont des forces aveugles.
Il y a une énorme différence entre spéculer pour améliorer son sort à long terme, et spéculer pour améliorer son sort à court terme. Presque personne n'a le temps ou les moyens de spéculer sur le long terme, et vu que les changements climatiques concernent le très long terme et qu'il est impossible de mesurer leur effet actuel sur notre bien être, personne n'agit. On est bien plus préoccupés par l'épuisement actuel du pétrole et par l'effet actuel de sa pollution sur notre santé que par les futurs changements climatiques qu'il pourrait induire.Tu fais comme tout le monde : Tu réfléchis et tu fais en sorte que ça tienne la route.
- Si tu me dis : les glaciers fondent à une vitesse inquiétante (c'est un fait vérifiable), c'est un phénomène qui pourrait engendrer une catastrophe globale. C'est peut être de la spéculation mais elle est légitime, même si tu te trompes, elle est justifiée : Réchauffement global, diminution de la salinité océanique, montée des eaux, effet de serre, etc. De quoi se poser la question : Qu'est-ce que tout ça va engendrer? Sachant qu'une multitude d'espèces et des milliards d'individus sont dépendant de ces conditions climatiques, et que les observations actuelles montrent une extinction de masse qui se profile dans un horizon plus ou moins proche.
Étudier le rapport entre l'intelligence artificielle et l'intelligence naturelle concerne ce genre de long terme, une des raisons pour laquelle ça n'intéresse personne quand j'en parle.
Tant que ça ne nous fera pas mal, on ne bougera pas. Pour l'instant, c'est la mondialisation qui nous fait mal, et nous ne sommes même pas en mesure de la réguler parce qu'il n'y a pas d'institution démocratique à l'échelle mondiale, alors avant que les pays s'entendent pour brûler moins de pétrole, il va en couler encore beaucoup sous les ponts.Dès l'instant où l'on sait, parce que des faits observables l'induisent, que cela peut être catastrophique, ça suffit amplement.
Attention de ne pas devenir surréaliste!C'est pas devin qu'il faut être mais réaliste.
M'enfin- Le Repteux
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Re: Intelligence artificielle
a) il n'y a pas de vérité, 2) toi aussi tu veux persuader, 3) je veux te persuader d'étudier l'idée, et non pas de l'adopter.dedale a écrit:Tu cherches plutôt une persuasion qu'une vérité.
Je vais faire ce qu'il faut pour que la question soit étudiée, avec ou sans toi!Ton "idée" est invalide, donc ce n'est plus la peine d'insister avec moi ou avec les autres personnes de culture scientifique.
C'est la même chose, alors le suffira est de trop.Dedale a écrit:Esprit/matière, ça suffira.Le dualisme, c'est la séparation entre la conscience et le cerveau
Et toi, en pleine résistance au changement!Dedale a écrit:C'est vraiment n'importe quoi. Et tu appelles ça une proposition nouvelle?et je n'arrête pas de dire que notre conscience est causée par la résistance au changement de fréquence de nos neurones
Tu es en pleine mystification.
J'attends qu'elle prenne de la valeur, et je la vends, histoire de me renflouer un peu! Je suis si pauvre!Dedale a écrit:Le pauvre.CLIC! Voilà, c'est fait, tu viens de te donner en cliché!
Donne-moi des vis et un tournevis au lieu de donner du marteau sur le même clou, et je verrai ce que je peux faire!Dedale a écrit:Tu veux nous dire que, parce que tu es totalement dans le flou, les I.A doivent être pareilles que toi pour être intelligentes.Je prétends qu'il va falloir de l'imprécision à notre électronique pour qu'elle devienne simplement intelligente
Au lieu de chercher à justifier tes raisonnements inexacts, améliore les, corrige les, et là, ça sera intelligent.
Notre intelligence n'est ni précise ni rapide, ce sont les outils qu'elle nous permet de développer qui le sont.Dedale a écrit:Et la précision, que tu le veuilles ou non, traduit la sensibilité de l'intelligence.toi, tu prétends que notre électronique sera plus intelligente que nous à cause de sa précision.
Nécessité que nous comblons maintenant avec nos ordinateurs, pas avec nos cerveaux, qui sont vraisemblablement toujours les mêmes depuis l'avènement de la technologie.Dedale a écrit:Depuis toujours. Plus il y a spécialisation, plus il y a intelligence, organisation, nécessité de traiter de plus en plus d'information.Mais depuis quand la précision est-elle un gage d'intelligence?
Tu fais de l'anthropocentrite aigüe, et le pronostic n'est pas bon: dépression puis coma irréversible!Dedale a écrit:Anthropocentrisme. Dans la diversité, rien n'est sensé ressembler à l'intelligence humaine.Les sens des animaux sont parfois beaucoup plus précis que les nôtres, mais ils ne sont pas aussi intelligents pour autant.
Pas très intelligent la spécialisation pour une espèce, parce que si le milieu change un peu...Dedale a écrit:Avec la diversité, les stratégies de reproduction se sont amplifiées et spécialisées, c'est justement ce qui détermine précisément l'identité (bio) d'une espèce.Pour gagner de la diversité, donc des possibilités d'adaptation, la reproduction a dû perdre de la précision, et je crois que c'est ce qui est arrivé avec l'intelligence.
L'intelligence d'une espèce est donc sa spécialisation, sa faculté à répondre à des contraintes spécifiques.
Au contraire, c'est justement parce qu'elle n'est pas spécialisée que l'intelligence peut s'adapter si vite au changement.
Le code génétique est ce qui permet de reproduire l'espèce telle quelle. Donc, ce qui permet de reproduire le mouvement de la boule tel quel, c'est la distance et la direction que ses atomes conservent durant chacun de leurs pas pour conserver la vitesse et la direction de la boule.Donne moi le code génétique du mouvement d'une boule de pétanque.
Tu m'inventes des paroles! Tu vas finir par perdre de la crédibilité avec tes calomnies!Dedale a écrit:La finalité de l'évolution, c'est du créationnisme.Tu ne convaincras personne en prétendant que je suis créationniste.
Toi, tu manques visiblement d'arguments.Et en vrac, tu raisonnes.
Des convergences évolutives dominantes? Comme celle qui mène à nous je suppose? Des pressions évolutives? Comme celles que nous exerçons sur les autres espèces je suppose? Et c'est toi qui me taxe d'anthropocentrisme! Faut le faire! Vous les français, vous avez de ces ramifications intellectuelles qui tiennent du nœud gordien. Pour que la sélection naturelle ait lieu, il faut justement qu'il n'y ait pas de pression sélective au départ de sorte que les mutations puissent se faire au hasard, donc qu'elles n'aient pas de cause précise. Le principe de la sélection naturelle, c'est que les mutations ne soient pas présélectionnées, sinon, pas besoin de sélection naturelle. C'est pour éviter ce genre de dérive que je dis qu'il faut s'en tenir au principe si on veut avancer. Mutation/sélection, c'est compréhensible et on peut s'en servir pour comprendre l'évolution de nos idées, mais ton idée de pression évolutive et de causes aux mutations, c'est incompréhensible donc inutilisable pour comprendre l'intelligence.Je te fais remarquer que tu me dis la même chose que les créationnistes : Tu présupposes ou revendiques une finalité indémontrable, un truc quasi-religieux qui en appelle à la prédétermination d'un processus.
C'est totalement contradictoire, puisque tu prônes le hasard omniprésent, dont le hasard des mutations. Ces mutations produites par le hasard sont ensuite l'objet d'une sélection, même si on t'explique qu'il y a des pressions évolutives et que les mutation ont des causes précises, puisqu'on observes des convergences évolutives dominantes. Mais autant l'expliquer à une méduse.
C'est parce que les mutations se sont produites au hasard que la sélection naturelle a eu lieu, donc on peut dire que les mutations favorables ont été une des deux causes de l'évolution, la sélection ayant été la deuxième. Mais il faut se garder de chercher des causes aux mutations pour expliquer l'évolution, et encore moins y voir des convergences. Nous sommes là par hasard et nous partirons par hasard aussi, c'est ça que ce principe signifie, et c'est uniquement à partir de ça que nous pouvons élaborer nos théories, pour le meilleur et pour le pire.Évident que si le hasard est causal, la sélection naturelle ne peut pas exister.
Le jour où je serai d'accord avec toi, il n'y aura plus rien à débattre, juste à tester notre hypothèse commune.Le jour où tu auras fait le tri dans ta petite cervelle bordélique et auto-invalidante, on pourra peut-être débattre.
Pour un problème spécialisé, je préfère sous-traiter, encore faut-il que je trouve le bon sous-traitant.Ne laisse pas le milieu faire le tri à ta place, fais le par toi-même comme un grand qui prend les choses en main et évite de radoter pour rien.
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:Corriger une erreur, c'est avancer une autre possibilité, qui pourrait elle aussi s'avérer fausse.
Ca c'est quand il n'y a rien à vérifier et donc rien à corriger.
Les possibilités avancées par notre cerveau et celles avancées par les mutations sont toutes deux aléatoires
Chercher à justifier des foutaises est une foutaise.
mais elles ne se produisent pas de la même manière et ne sont pas sélectionnées de la même manière non plus: celles du cerveau sont avancées une à une et elles sont sélectionnées une à une, celles des mutations sont avancées simultanément et sont toutes sélectionnées simultanément. Malgré leur nombre, les mutations agissent beaucoup plus lentement que les idées, à la fois parce que leur reproduction est plus lente, et que leur milieu évolue plus lentement. Une idée se reproduit pour ainsi dire toutes les secondes, et une nouvelle idée aussi. Dès qu'elle est émise ou mise en oeuvre, une nouvelle idée commence à être sélectionnée, et des corrections peuvent être apportées tout de suite, et être sélectionnées à leur tour rapidement.
Poubelle'.
Ne perdons pas de temps avec des délires qui ne réfèrent à rien de réel.
Ce serait donc grâce à ses erreurs de reproduction que notre intelligence serait devenue plus adaptative que celle des autres animaux: désolant n'est-ce pas? À sa place, je me poserais des questions sur ma prétendue supériorité, mais certaines diraient que c'est beaucoup trop anthropocentrique de faire ça! Contredire pour contredire, quel plaisir quand on peut spéculer à volonté.
Si tu reproduis une erreur, ça reste une erreur.
Un gars qui pense que la terre est plate reproduit une croyance fallacieuse, quelles que soient ses grandes spéculations à la gomme.
Je dis d'abord qu'il ne pourrait pas y avoir trop de mutations, et dans le paragraphe suivant, je dis qu'il y en a juste assez, et non pas assez, alors il me semble que c'est toi qui n'a pas tout lu avant de répondre, comme si tu pouvais te permettre de dire n'importe quoi pourvu que ça mousse, comme tu dis!
Y-a-t-il trop ou pas assez d'étoiles dans le ciel?
Il y a deux manières de prendre des risques, soit pour tracer une nouvelle piste, soit pour l'entretenir une fois faite. Toi, c'est pour protéger nos anciennes idées que tu dis n'importe quoi, moi, c'est pour en développer de nouvelles. S'il y avait trop de gens comme toi, les pistes seraient bien entretenues mais il n'y en aurait plus de nouvelles. S'il y avait trop comme moi, il n'y aurait que des nouvelles pistes: elles ne partiraient de nulle part et elles ne mèneraient nulle part.
Ah ah! Ces prétextes minables.
Tu n'offres aucune piste, sauf en matière de délire subjectif et pseudo-scientifique.
Toute personne connaissant les sciences te dira comme moi que tu racontes n'importe quoi. Ca se démontre et c'est démontré.
Faut être totalement ridicule pour prétendre innover avec un niveau tel que le tien.
Dans ce cas, oublions les théories et contentons-nous de ce qu'on a.
Si tu prends des faits, ça peut tout changer, surtout pour toi.
Tu comprendras enfin ce qu'et un vrai raisonnement.
Regardez-le se débattre! Tu es en train d'induire les gens en erreur!
Vu ce que tu connais de la génétique, c'est toi qui t'affoles.
Les tares génétiques sont transmissibles, et non sélectionnées!
Ben la sélection naturelle, c'est quand justement un caractère génétique se transmet au travers d'une stratégie de reproduction
Dans la nature, les tares ne survivent pas longtemps, et elles sont donc rarement transmises.
Tu as beaucoup de choses à apprendre.
Désolé, mais si tu es honnête, c'est à toi à te renseigner.
Déjà, il existe plusieurs modes de transmission des pathologies génétiques qui influent sur le déclenchement de celles-ci, qui est "reporté" dans certains cas, à plusieurs générations par exemple, ou permettre à l'altération du gène de se répandre ou pas, etc.
Il est évident que si l'on prend des grands nombres et que l'on applique ces modes de transmissions, on trouvera forcément des tares génétiques qui se sont répandues dans des groupes, même si ce groupe se distingue à la longue du groupe principal.
Par exemple, si l'on prend le nanisme des éléphants de la Méditerranée, ce n'est pas du tout l'altération génétique qui les a fait disparaître : Il s'étaient adaptés aux ressources limitées des îles, ne pouvant plus se reproduire avec les éléphants du continent, et donc, définissant un groupe à part.
- Est-ce qu'on peut considérer ce nanisme comme une tare? Oui et non. Oui si on la compare aux éléphants du continent.
- Il est évident que si un éléphant nain naît dans la savane, ses chances de survie sont extrêmement réduites face aux conditions et aux prédateurs. Mais pas dans ces îles.
Disons que la ressources très limitée des îles avait altéré, diminué, leur vigueur originale, engendrant une pression évolutive vers un métabolisme nécessitant moins d'énergie, et devenant plus fragile également.
C'est finalement la diminution des ressources qui aura eu raison d'eux et de leur adaptation. Ces îles qui étaient autrefois luxuriantes, et pouvant accueillir ces espèces, sont finalement devenues arides et insuffisantes à leur survie. L'adaptation n'est pas de la magie.
Les schémas tous prémâchés ne suffisent pas à faire des théories. Il faut des faits.
Si on prend des faits concrets, c'est toi qui ferme la voie aux possibilités.
Mais si on prend des palabres, j'admet que je suis réticent car ça ne me dis rien de gober n'importe quoi.
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Re: Intelligence artificielle
La sélection naturelle, c'est quand un gène se transmet à toute l'espèce, et non à quelques individus.Dedale a écrit:Ben la sélection naturelle, c'est quand justement un caractère génétique se transmet au travers d'une stratégie de reproduction
Si les éléphants nains ont survécu plusieurs générations, c'est justement que cette mutation a été sélectionnée. Ce qui aurait été une tare ailleurs s'est avéré un avantage où ils étaient. S'ils ont disparu ensuite, c'est que leur milieu a de nouveau changé et qu'aucune mutation ne leur a permit d'évoluer cette fois-là. Il y a aussi des nains dans la population humaine, mais ils sont sélectionnés par un milieu humain, pas par un milieu naturel. Je parie que les nains disparaissent rapidement du paysage dans les populations animales.Dedale a écrit:Par exemple, si l'on prend le nanisme des éléphants de la Méditerranée, ce n'est pas du tout l'altération génétique qui les a fait disparaître : Il s'étaient adaptés aux ressources limitées des îles, ne pouvant plus se reproduire avec les éléphants du continent, et donc, définissant un groupe à part.
- Est-ce qu'on peut considérer ce nanisme comme une tare? Oui et non. Oui si on la compare aux éléphants du continent.
De la pression évolutive, ça n'existe pas dans la nature. Le milieu change et l'espèce change aussi si elle est chanceuse, sinon elle disparaît. En tant qu'humain, tu aimes bien exercer des pressions évolutives toi, mais dis-toi bien que tu le fais aux dépends de ta crédibilité. J'en connais visiblement moins que toi en science, mais il semble que j'en connaisse mieux certains fondements que toi! C'est la troisième fois que je te prends en défaut et je ne te déconsidère pas pour autant. Sers-toi de tes connaissances pour aider les autres au lieu de les rabaisser!Disons que la ressources très limitée des îles avait altéré, diminué, leur vigueur originale, engendrant une pression évolutive vers un métabolisme nécessitant moins d'énergie, et devenant plus fragile également.
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit:De la pression évolutive, ça n'existe pas dans la nature.
Pourquoi? Tu es créationniste?
Tiens voici un petit lien qui t'explique : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le milieu change et l'espèce change aussi si elle est chanceuse
Alors là, mon cher, la chance, le père noel et tout le bataclan, ça n'existe pas dans la nature.
Ce sont des vues de gosses.
En tant qu'humain, tu aimes bien exercer des pressions évolutives toi, mais dis-toi bien que tu le fais aux dépends de ta crédibilité
Apprend ce qu'est la pression évolutive au lieu de braire.
Si les éléphants nains ont survécu plusieurs générations, c'est justement que cette mutation a été sélectionnée.
Le fait qu'une mutation soit transmise fait partie de ce qu'on appelle la sélection.
Ce qui aurait été une tare ailleurs s'est avéré un avantage où ils étaient.
Non pas un "avantage", mais une pression : La raréfaction des ressources alimentaires, de l'espace vital, a réduit leur capacité.
S'ils ont disparu ensuite, c'est que leur milieu a de nouveau changé et qu'aucune mutation ne leur a permit d'évoluer cette fois-là.
Non. N'interprète pas selon tes théories, reste dans les faits : Les îles en question sont devenues trop arides pour des espèce de cette sorte, qu'il y ait des mutations ou pas.
Aucune espèce supérieure ne résiste à la diminution extrême des ressources.
Il y a aussi des nains dans la population humaine, mais ils sont sélectionnés par un milieu humain, pas par un milieu naturel.
Donc tu veux dire que les éléphants nains ne sont pas naturels.
Il y a des populations humaines exclusivement naines : Les pygmées par exemple, mais il y en a d'autres et il y en a eu bien d'autres.
Les élephants nains étaient une population habitant les îles de la Méditerranée et ils étaient exclusivement nains.
Tout comme les hippopotames de Madagascar sont exclusivement nains.
En quoi ces milieux et leur nanisme endémique ne sont pas naturels?
J'en connais visiblement moins que toi en science, mais il semble que j'en connaisse mieux certains fondements que toi!
On voit ce que ça donne, tes fondements.
Si au moins tu te renseignais un peu.
C'est parce que les mutations se sont produites au hasard que la sélection naturelle a eu lieu,
Une mutation est la réaction de l'ADN (molécule) à un facteur mutagène (physicochimique).
Ca ne se fait pas par magie mon petit :
- On a des yeux pour voir, des oreilles pour entendre, un odorat pour sentir, etc. Donc les mutations se sont bien développées en fonction des informations à traiter.
Normal la base est moléculaire, donc c'est le produit d'une interaction qui est définit au même titre qu'une interaction de la physique.
On dit pas que la masse est produite par hasard, on sait que c'est pas dieu qui l'a fait, on cherche une cause précise à ce phénomène.
C'est pareil pour tout.
donc on peut dire que les mutations favorables ont été une des deux causes de l'évolution,
Oui, c'est évident.
la sélection ayant été la deuxième.
Ca n'a aucun rapport.
La sélection naturelle est un terme naturologique, qui s'applique aux espèces, qui est antérieur à la génétique : Sachant que l'on définit une espèce par sa stratégie de reproduction.
C'est à dire qu'au sein d'une espèce, il existe tout un processus de reconnaissance de certaines caractéristiques, de certaines spécialités propres à l'espèce, qui sont des critères de reproduction.
Tandis que la mutation est un terme génétique, postérieur à la naturologie.
Les mutations sont aléatoires : un chat peut naître avec le poil blanc, gris, noir, plus grand, plus petit, etc.
Mais il n'y a pas de mutations produites au hasard : un chat ne donne pas naissance à une grenouille au hasard.
Avec les mutations, il y a, disons, un potentiel défini par des séquences. Si ces séquences sont contraintes par un facteur mutagène, elles peuvent se recombiner.
Par exemple, il n'y a pas eu d'apparition de membres terrestres avant que le premier poisson ne se hisse sur une berge : Sauf pour les arachnides primitifs qui possédaient des pattes à l'état aquatique, donc pas besoin de muter. Mais dans le cas des poissons-marcheurs, la mutations de membres a été déclenchée par la contrainte.
Il n'y a pas eu des poissons primitifs avec des pattes qui ont ensuite été sélectionnés (par le saint esprit) pour venir ramper sur les berges.
Il y avait simplement des nageoires plus appropriées (potentiellement) que d'autres à cette opportunité, et l'opportunité de se hisser sur terre a déclenché une nouvelle contrainte, et donc de nouvelles pressions évolutives forçant des mutations. Tout comme si le manche d'un marteau exerce une pression constante sur la paume de ta main, tu vois de la corne qui se forme : Tu as déclenché une mutation.
Déjà, commence par remplacer le terme "chance" par "opportunisme" : la vie est opportuniste.
Les mutations, la sélection, c'est un tout qui marche ensemble ou pas du tout.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
Pourquoi me reprendre pour dire la même chose autrement??Dedale a écrit:Le fait qu'une mutation soit transmise fait partie de ce qu'on appelle la sélection.Si les éléphants nains ont survécu plusieurs générations, c'est justement que cette mutation a été sélectionnée.
Je vois pourquoi tu me reprends pour rien: tu assimiles un changement du milieu à une pression sur l'espèce. Depuis le temps qu'on en discute, pourquoi ne le disais-tu pas? Donc prendre le point de vue du milieu te permet de dire que la raréfaction a réduit leur capacité, alors que de mon point de vue, donc du point de vue de l'espèce, elle s'est tout simplement adaptée parce qu'elle a bénéficié d'une ou plusieurs mutations adéquates. Mais j'ai quand même l'impression que tu ne prends pas ce point de vue-là pour rien! Voyons la suite.Dedale a écrit:Non pas un "avantage", mais une pression : La raréfaction des ressources alimentaires, de l'espace vital, a réduit leur capacité.Ce qui aurait été une tare ailleurs s'est avéré un avantage où ils étaient.
Voilà, tu me reprends encore pour dire la même chose en tes termes, puis tu oblitères le fait qu'il a fallu des mutations à cette espèce pour qu'elle évolue, en insistant ensuite sur le même fait qu'elle aurait dû disparaître dans un tel milieu. Il s'agit du même fait Dedale, mais analysé de deux points de vue différents.Dedale a écrit:Non. N'interprète pas selon tes théories, reste dans les faits : Les îles en question sont devenues trop arides pour des espèce de cette sorte, qu'il y ait des mutations ou pas. Aucune espèce supérieure ne résiste à la diminution extrême des ressources.S'ils ont disparu ensuite, c'est que leur milieu a de nouveau changé et qu'aucune mutation ne leur a permit d'évoluer cette fois-là.
Non, je veux tout simplement dire que, contrairement aux autres animaux, nous gardons volontairement en vie nos tares génétiques.Dedale a écrit:Donc tu veux dire que les éléphants nains ne sont pas naturels.Il y a aussi des nains dans la population humaine, mais ils sont sélectionnés par un milieu humain, pas par un milieu naturel.
Je suis justement en train de vérifier si mes renseignements sont bons.Dedale a écrit:On voit ce que ça donne, tes fondements. Si au moins tu te renseignais un peu.J'en connais visiblement moins que toi en science, mais il semble que j'en connaisse mieux certains fondements que toi!
La seule raison de chercher une cause à une mutation particulière, ce serait pour la corriger, mais si nous commencions à faire ça pour tous nos gènes, nous réduirions la diversité génétique, et s'il se présentait soudain un virus inconnu, nous aurions peu de chances de nous en tirer. La seule raison pour laquelle nous cherchons des causes aux phénomènes, c'est donc pour mieux nous en tirer. Considérer que les mutations sont une cause de notre survie devrait nous inciter à les laisser se développer au hasard, pas à les contrôler, sauf bien sûr s'il se met à y en avoir trop, comme dans le cas de la pollution par exemple, mais dans ce cas, c'est la pollution qu'il faut contrôler, pas les mutations. Tu me reproches d'accorder de la magie au hasard, mais dans ce cas, tu pourrais reprocher sa magie à tout l'univers, parce qu'on ne saura jamais le fin mot de son histoire! Faut-il pour autant ne plus essayer de comprendre? Non, mais il ne faut pas faire tout un plat des causes que nous comprenons. Pour moi, le hasard est une cause de l'évolution, mais je n'en fais pas la cause finale. Par contre, considérer cette cause du point de vue de l'espèce me permet de l'appliquer à nos idées, alors que la considérer du point de vue du milieu implique l'idée du contrôle que nous exerçons sur nos idées, un contrôle qui, pour moi, n'est justement qu'une idée.Dedale a écrit:Une mutation est la réaction de l'ADN (molécule) à un facteur mutagène (physicochimique).C'est parce que les mutations se sont produites au hasard que la sélection naturelle a eu lieu,
Ca ne se fait pas par magie mon petit :
- On a des yeux pour voir, des oreilles pour entendre, un odorat pour sentir, etc. Donc les mutations se sont bien développées en fonction des informations à traiter.
Normal, la base est moléculaire, donc c'est le produit d'une interaction qui est définie au même titre qu'une interaction de la physique.
On dit pas que la masse est produite par hasard, on sait que c'est pas dieu qui l'a fait, on cherche une cause précise à ce phénomène.
C'est pareil pour tout.
L'espèce chat a des chances de devenir amphibie si son milieu devient progressivement aquatique, mais il faut qu'elle subisse les bonnes mutations au bon moment, il faut donc qu'elle soit très chanceuse.Mais il n'y a pas de mutations produites au hasard : un chat ne donne pas naissance à une grenouille au hasard.
Pour qu'un poisson se hisse sur une berge et y survive, il fallait déjà qu'il puisse respirer un peu d'air, et pour qu'il y trouve un avantage, il fallait déjà qu'il puisse s'y déplacer un peu mieux que les autres poissons, par exemple en ayant déjà des nageoires capables de s'accrocher au sol lors de ses contorsions, puis il fallait qu'il puisse déjà digérer la végétation qui s'y trouvait. Il fallait donc qu'il possède déjà ces trois caractéristiques avant de se hisser sur la berge, mais sans qu'elles l'empêchent de se reproduire avec ses semblables. Trois mutations différentes chez un même individu, qui ne sont pas apparues pour qu'il se hisse sur les berges, mais qui le lui ont permit, de sorte qu'il y a trouvé un avantage, une combinaison hautement improbable, mais qui s'est produite quand même. Toi, tu appelles-ça de la pression du milieu parce que tu crois qu'il fallait les berges pour que ça se produise, moi, j'appelle tout simplement ça du hasard parce que je crois que les berges n'y étaient pour rien au départ.Avec les mutations, il y a, disons, un potentiel défini par des séquences. Si ces séquences sont contraintes par un facteur mutagène, elles peuvent se recombiner.
Par exemple, il n'y a pas eu d'apparition de membres terrestres avant que le premier poisson ne se hisse sur une berge
Tu commences par dire la même chose que moi pour les nageoires, puis tu aboutis au déclenchement d'une mutation, alors que ce n'est même pas le cas pour la corne. Ton mauvais exemple est trop flagrant, tu as probablement besoin de ce genre de déclenchement pour expliquer autre chose, mais quoi??Mais dans le cas des poissons-marcheurs, la mutations de membres a été déclenchée par la contrainte.
Il n'y a pas eu des poissons primitifs avec des pattes qui ont ensuite été sélectionnés (par le saint esprit) pour venir ramper sur les berges.
Il y avait simplement des nageoires plus appropriées (potentiellement) que d'autres à cette opportunité, et l'opportunité de se hisser sur terre a déclenché une nouvelle contrainte, et donc de nouvelles pressions évolutives forçant des mutations. Tout comme si le manche d'un marteau exerce une pression constante sur la paume de ta main, tu vois de la corne qui se forme : Tu as déclenché une mutation.
Je tiens au terme hasard parce que je peux l'appliquer à nos idées, et tu tiens au terme opportunisme pour la même raison, ce qui me permet de proposer que nos idées évoluent au hasard, et toi de croire qu'elles sont opportunistes. Le problème avec la vision opportuniste, c'est qu'elle permet de pointer du doigt la poutre, et de ne pas voir la paille. C'est pour assurer la survie de nos propres idées que nous disons des autres que leurs idées sont opportunistes: cette idée est donc certainement utile, mais rien ne l'empêche de s'être développée par hasard, comme pour les mutations.Déjà, commence par remplacer le terme "chance" par "opportunisme" : la vie est opportuniste.
Nous voyons la même chose, mais par deux bouts de lorgnette opposés. Il me semble que mon bout a l'avantage de s'appliquer à différents types d'évolution, dont l'évolution sociale, et de pouvoir ainsi mieux les comprendre, mais comment te convaincre d'essayer l'autre bout?Les mutations, la sélection, c'est un tout qui marche ensemble ou pas du tout.
M'enfin- Le Repteux
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Re: Intelligence artificielle
M'enfin a écrit: Donc prendre le point de vue du milieu...
Alors là, mon cher, le "point de vue du milieu", c'est de l'hallucination.
Je vois pourquoi tu me reprends pour rien: tu assimiles un changement du milieu à une pression sur l'espèce. Depuis le temps qu'on en discute, pourquoi ne le disais-tu pas?
Tu es complètement déboussolé.
alors que de mon point de vue, donc du point de vue de l'espèce
Une espèce n'a pas de point de vue.
ne vas pas t'inventer de telles idioties.
elle s'est tout simplement adaptée parce qu'elle a bénéficié d'une ou plusieurs mutations adéquates.
Si une espèce est contrainte de s'adapter, c'est parce que justement elle ne bénéficie d'aucun avantage.
Mais j'ai quand même l'impression que tu ne prends pas ce point de vue-là pour rien! Voyons la suite.
On s'en tape de tes points-de-vue, ce sont les faits qui importent.
Voilà, tu me reprends encore pour dire la même chose en tes termes, puis tu oblitères le fait qu'il a fallu des mutations à cette espèce pour qu'elle évolue
Qu'est-ce tu vas chercher là?
Tu racontes et rabâche comme un imbécile que les mutations se produisent par/au hasard : le nanisme ilien n'est pas du hasard. C'est une conséquence liée à des conditions.
- Le nanisme, entre autre exemple, est une mutation généralement représentative des espèces iliennes : Crocodile, hippopotame, rhinocéros, éléphant, etc.
Tu confonds la génétique médicale (mutation aléatoire) avec la génétique tout court, comme tous les amateurs peu éclairés qui ne connaissent pas bien le contexte.
Et en plus, toi tu rajoutes le hasard des mutations, histoire que ça ne veuille plus rien dire.
en insistant ensuite sur le même fait qu'elle aurait dû disparaître dans un tel milieu. Il s'agit du même fait Dedale, mais analysé de deux points de vue différents.
Même quand on te prend des faits concrets et précis, tu es incapable de piger. On ne parle pas de points de vue, mais de faits.
Non, je veux tout simplement dire que, contrairement aux autres animaux, nous gardons volontairement en vie nos tares génétiques.
Il y a une finalité à cela : Nous essayons de les comprendre et de les soigner
- et nombre de pathologies d'origine génétique ne sont pas létales, on peut vivre avec; çn n'empêche pas d'être physicien ou pianiste, par exemple.
Cela dépend des pathologies, de la sévérité de l'infirmité, etc.
La seule raison de chercher une cause à une mutation particulière, ce serait pour la corriger,
Simplement la comprendre.
mais si nous commencions à faire ça pour tous nos gènes, nous réduirions la diversité génétique, et s'il se présentait soudain un virus inconnu, nous aurions peu de chances de nous en tirer.
Je ne pense pas que le but des sciences et de la recherche soit de réduire la diversité.
Le but des sciences est avant tout d'élargir le champ de conscience et de tirer parti des connaissances que l'on acquiert.
La seule raison pour laquelle nous cherchons des causes aux phénomènes, c'est donc pour mieux nous en tirer.
Ce n'est pas la seule raison mais c'est une raison valide et dominante.
Il est évident par exemple que, si on maîtrise admettons, le séquençage ADN, la médecine comme on la connaît aujourd'hui disparaîtra totalement. Plus besoin de carte vitale.
La génétique est au vivant ce que la MQ est à la matière.
On ne résistera pas à cette tentation : L'homme du futur risque fort d'être un OGM, du moins, en arrivera-ton à se soigner grâce à la, génétique, donc éradiquer certaines maladies, tares, à la source : Ce qui fera fatalement de nous des OGM. Je n'affirmes rien, je suppose.
-> Coucouche panier maintenant.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Intelligence artificielle
Tu ne t'imagines jamais à la place des autres? Essaye d'halluciner à ma place pour voir!dedale a écrit:Alors là, mon cher, le "point de vue du milieu", c'est de l'hallucination.
Bis! Tout le monde est capable de s'imaginer à la place de quelque chose d'autre. S'imaginer à la place d'un autre humain, ça s'appelle de l'empathie!Dedale a écrit:Une espèce n'a pas de point de vue.alors que de mon point de vue, donc du point de vue de l'espèce
ne vas pas t'inventer de telles idioties.
Ça cloche ton histoire: il n'y a rien à reprendre dans ma phrase, et tu la reprends quand même??Dedale a écrit:Si une espèce est contrainte de s'adapter, c'est parce que justement elle ne bénéficie d'aucun avantage.elle s'est tout simplement adaptée parce qu'elle a bénéficié d'une ou plusieurs mutations adéquates.
Au contraire, tu ne te tapes pas du tout de ton point de vue, tu y tiens mordicus.Dedale a écrit:On s'en tape de tes points-de-vue, ce sont les faits qui importent.Mais j'ai quand même l'impression que tu ne prends pas ce point de vue-là pour rien! Voyons la suite.
Tu tapes sur le même clou depuis le début: tu voudrais que les mutations soient contraintes, alors que si elles l'étaient, il n'y aurait pas besoin de sélection naturelle. Pour des raisons que je n'arrive pas à comprendre, je crois que tu cherches à contourner le principe mutation/sélection.Dedale a écrit:Qu'est-ce tu vas chercher là?Voilà, tu me reprends encore pour dire la même chose en tes termes, puis tu oblitères le fait qu'il a fallu des mutations à cette espèce pour qu'elle évolue
Tu racontes et rabâche comme un imbécile que les mutations se produisent par/au hasard : le nanisme ilien n'est pas du hasard. C'est une conséquence liée à des conditions.
- Le nanisme, entre autre exemple, est une mutation généralement représentative des espèces iliennes : Crocodile, hippopotame, rhinocéros, éléphant, etc.
Tu confonds la génétique médicale (mutation aléatoire) avec la génétique tout court, comme tous les amateurs peu éclairés qui ne connaissent pas bien le contexte.
Et en plus, toi tu rajoutes le hasard des mutations, histoire que ça ne veuille plus rien dire.
Le fait est que, contrairement à ce que ton exemple sous-entend, il ne faut pas de mutation pour développer de la corne. Ton exemple montre où tu veux en venir, mais il n'a pas de lien avec le principe mutation/sélection. J'en conclue que tu ne crois pas vraiment à ce principe, donc que tu as dévié de la ligne tracée par l'ensemble de la communauté scientifique à ce sujet. Je me trompe?Dedale a écrit:Même quand on te prend des faits concrets et précis, tu es incapable de piger. On ne parle pas de points de vue, mais de faits.en insistant ensuite sur le même fait qu'elle aurait dû disparaître dans un tel milieu. Il s'agit du même fait Dedale, mais analysé de deux points de vue différents.
Fondamentalement, c'est de l'empathie, mais il y a aussi un avantage réel à garder en vie nos tares génétiques: augmenter la diversité génétique. Faut croire que l'imagination humaine a le principe de diversité dans le sang comme on dit. Rappelle-moi comment la nature fait pour créer de la diversité génétique? Ah oui, je me rappelle: en contraignant l'évolution, c'est ça?Dedale a écrit:Il y a une finalité à cela : Nous essayons de les comprendre et de les soignerNon, je veux tout simplement dire que, contrairement aux autres animaux, nous gardons volontairement en vie nos tares génétiques.
La comprendre pour pouvoir la corriger le cas échéant! On ne fait rien pour rien. De mon point de vue, tu me reprends pour rien, mais du tiens, c'est certainement pour quelque chose!Dedale a écrit:Simplement la comprendre.La seule raison de chercher une cause à une mutation particulière, ce serait pour la corriger,
Ou des OGO, des organismes génétiquement auto-modifiés.Ce qui fera fatalement de nous des OGM. Je n'affirmes rien, je suppose.
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